Ça commence à bien faire ! «LES PAUVRES DOIVENT PAYER» tel est le “maux” d’ordre de l’ultralibéralisme triomphant. Si “l’intelligence” a quelque part qui soit dans cette entreprise, elle tient uniquement dans l’art de nous plumer ! Les pauvres ayant le plus grand tort d’être les plus nombreux comme le soulignait Jules Renard – l’auteur de «Poil de Carotte» - ne pas manquer d’y ajouter «L’écornifleur» ! pour stigmatiser ces bandes de frères Raptout associés à Picsou qui ne cessent de s’inviter dans nos porte-monnaies pour nous délester de la portion congrue qui subsiste sur nos déjà maigres subsides. Parfaite illustration également de l’aphorisme toujours d’actualité de Montaigne, à presque 500 ans de distance : «Le profit de l’un est dommage de l’autre». Rien de nouveau sous le soleil. A ceci près qu’il brille toujours davantage pour toute cette oligarchie politico-margoulinesque dont l’insolence n’a d’égale que l’avidité.

Or donc, j’appris hier dès potron-minet - avant de mettre très tôt la clef sur la porte pour une journée longue et chargée - qu’EDF envisageait - sur l’injonction de la Commission européenne ! chef d’orchestre du grand air à la mode ultralibérale : “Par-ici-l’oseille” qui ne doit rien à Verdi non plus qu’à Puccini, Rossini ou autres Wagner, Vivaldi et Purcell - d’installer systématiquement chez tous les particuliers de France et de Navarre des compteurs électriques de nouvelle génération…

On ne dira plus «Viens voir mon compteur bleu», plaisanterie naguère entendue dans ma lointaine enfance quand l’opérateur public entreprit de renouveler son parc de compteurs, ce qui dans ma mémoire ne coûta pas le moindre maravédis aux usagers - autre temps, autre mœurs, nous étions par encore des “clients” qu’il faut plumer à tout bout de champ ! – ce qui n’eût pas manqué de faire regimber mes parents autant que leurs ami(e)s.

C’est que la facture va être drôlement salée : 230 euros. Et hop ! Passez muscade…Ça pousse sous les sabots d’un cheval, c’est bien connu. De quoi devrais-je encore me priver pour satisfaire à cette nouvelle exigence ? Et je ne suis pas la seule, avec mes 900 euros de retraitée privilégiée. Certains touchant encore moins, et j’imagine sans difficulté le même casse-tête chez les smicards, chômeurs – bien évidemment volontaires ! - et autres bénéficiaires des piteux “minima sociaux” lesquels ne portent que trop bien leur nom. Au moment même où ce pouvoir qui ne se prive décidément de rien, envisage des coups de rabot sur tout ce qui dépasserait au profit des plus démunis et précaires. Ils ont consciencieusement et systématiquement vidé les caisses de l’Etat : nous devons les remplir !

Comme j’ai toujours et encore mauvais esprit, je me demande qui va fabriquer ces compteurs et combien ils coûtent en réalité. Par ce qu’il y aura nécessairement des entreprises “amies” – multinationales désargentées – qu’il faut favoriser. En comptabilité analytique, on nommerait cela “prestations croisées”… Plusieurs entreprises ayant été mis en lice, je ne sais laquelle a été choisie entre les entreprises ayant répondu à l’appel d’offres — Landis & Gyr, Itron-Actaris et Iskrameco — d’ErDF.

Landis & Gyr est une société suisse dont il semble bien qu’elle soit dans le giron du puissant groupe allemand Siemens. Itron-Actaris a naguère défrayé la chronique économique apprends-je sur un article de l’Usine nouvelle du 26 février 2007 Le fabricant de compteurs Itron acquiert Actaris - Electronique… qui soulignait que “l’opération, qui devrait être bouclée au deuxième trimestre 2007, prévoyait la reprise de 580 millions de dollars de dettes”. Autrement dit, comme il faut bien que quelqu’un épongeât la facture, autant qu’elle soit à la charge des consommateurs ! Quant à Iskrameco, ce serait une société hongroise… Hé ! Hé !

Je tiens à souligner qu’ERDF – en charge de la distri-bution de l’électricité en France et qui a a reçu mission de piloter le déploiement des nouveaux compteurs intelligents (!) - est une filiale d’EDF (à 100 %) créée par la loi du 7 décembre 2006 sur l’énergie qui prévoit l’ouverture totale du secteur à la concurrence à partir du 1er juillet 2007 pour répondre aux exigences de Bruxelles dictées par la directive de 2006.

Autrement dit, l’opérateur historique de la production et de la distribution d’électricité - maintenant privatisé – continue d’avoir le monopole de la distribution et d’imposer ses décisions. Belle illustration de la concurrence voulue par Bruxelles ! qui nous fait nager en pleine connerie ultralibérale. Je ne puis m’empêcher de voir des analogies chaque jour plus flagrantes avec feu le système économique soviétique : d’énormes usines à gaz plus inopérantes les unes que les autres mais assurant de confortables largesses aux apparatchiks.

Qui bono ? La privatisation des fournisseurs de gaz et d’électricité - il en va de même pour l’eau, les transports en commun, les médias audio-visuels, etc… - est une source inépuisable de profits. Pour les dirigeants – faut bien financer la retraite dorée de Proglio ! réflexion de bon sens entendue hier de plusieurs personnes – et les actionnaires. D’où la nécessité d’augmenter sans cesse les tarifs. De 30 % selon leurs exigences récurrentes qu’ils finiront bien par obtenir. Nous sommes captifs.

Quousque tandem ? That’s the question… S’il ne tenait qu’à moi, je me ferais une grande joie de leur organiser une belle “reconduite” avec plumes et goudrons comme il sied aux barons voleurs et autres joueurs de poker ou truands du même acabit qui cachent des cartes dans leur manche ou pipent les dés.

Qui plus est, ce matériel – expérimenté en Indre-et-Loire - n’est même pas fiable ! Prétendument, parce que toutes les fonctionnalités ne seraient pas encore opéra-tionnelles. Air connu sous l’emprise de l’ultralibéralisme : les consommateurs doivent essuyer les plâtres tout en payant plein pot.

Le réseau de distribution d’EDF - lire l’interview de Vincent Hernandez, délégué syndical central de Force ouvrière pour ERDF et GRDF “Il est plus urgent de moderniser le réseau que les compteurs” – qui part à vau l’eau faute d’entretien et de modernisation – est loin d’être suffisamment performant pour que les consom-mateurs bénéficient des avantages qu’on leur fait miroiter en termes d’économie d’énergie… environ 50 euros par an pour une note de 400 euros selon ERDF.

J’aimerais bien ne payer “que” 400 euros ! Sans doute ne faut-il pas se chauffer car même en utilisant un chauffage relativement peu gourmand, ma note annuelle est plus proche de 1000 euros que de 400 euros, et encore pour un logement de taille modeste, environ 45 m², avec de surcroît une bonne isolation. Arrêtez de nous prendre pour de parfaits cons, SVP !

Encore une bonne louche de lait d’beu : à qui fera-t-on croire que c’est au niveau du compteur électrique individuel que l’on ferait faire des économies à l’usager ? L’objectif annoncé à quoi de faire rigoler un cheval mais grincer nos dents : consommer plus intelligemment, en régulant l’électricité consommée en fonction de différents paramètres, tels que l’occupation du logement, la météo ou encore les saisons. A moins d’être complètement stupides, il y a belle heurette que les consommateurs savent tenir compte de ces paramètres !

Jean-Louis Borloo ne craint pas d’être pris en flagrant délire de stupidité chronique en déclarant : «L’objectif, c’est que le consommateur paie moins cher en réduisant sa consommation». Si tel était le cas, point n’est besoin de dépenser 8 milliards d’euros pour ces compteurs et d’en faire peser toute la charge sur les seuls consommateurs. Ils eussent été amplement mieux employés à rénover le réseau de distribution et si nous n’avions pas désormais affaire à “l’Etat-Pénitence” il ne semblerait nullement incongru que l’Etat assumât le coût des infrastructures nécessaires à la satisfaction de besoins d’intérêt général. Preuve une fois de plus que nous revenons à la logique féodale des péages. Les multinationales ayant remplacé les seigneurs.

Par ailleurs, il semble bien qu’au moment de l’installation du matériel il ait été procédé à des réglages visant à rendre incompatible le nouveau compteur avec la puissance souscrite par client entraînant des dysfonc-tionnements à répétition dont le moindre n’est pas que le compteur disjoncte quand le client met en route certains appareils. D’où l’obligation de souscrire un abonnement supérieur et donc plus onéreux, est-il constaté dans un article du Monde du 8 juin 2010 La difficile mise en service des nouveaux compteurs électriques : foin donc de l’économie annoncée !

Je lis par ailleurs qu’ErDF estimerait à 1 ou 2 euros par mois sur 10 ans le coût des nouveaux compteurs électriques. Comme il s’agira plus vraisemblablement de 2 euros puisque les premières estimations avancées par ErDF ont explosé, nul besoin d’avoir fait math sup’ pour estimer le surcoût à la charge du consommateur à 24 euros par an… Il ne devrait rester que des clopinettes sur l’économie annoncée.

En effet, ErDF avançait jusqu’à présent un coût global d’environ 4 à 5 milliards d’euros, chiffre qui devrait être multiplié par deux selon la Fédération nationale des collectivités concédantes et régies (FNCCR) – laquelle recevrait 900 millions d’euros par an pour moderniser les équipements électriques en France ! - soit entre 8 et 9 milliards d’euros, à la charge des usagers via le Tarif d’utilisation des réseaux publics d’électricité (Turpe). Coût qui “intègre la fourniture et la pose des compteurs, la fourniture des concentrateurs chargés de collecter les données de chacun des compteurs pour les réémettre vers le système de gestion et d’exploitation d’ErDF et la création des systèmes informatiques de gestion et d’exploitation des données”.

Sans doute demain nous fera-t-on intégralement payer les factures de remise en état du réseau de distribution, des centrales nucléaires, etc… Bref, tout ce qu’EDF a négligé depuis des dizaines d’années. Faut bien se payer sur la bête – entendre les con…sommateurs. Que cela ne gêne nullement Jean-Louis Borloo – au demeurant atteint de la redoutable et contagieuse “maladie de la taxe folle” selon lequel «il n’y aurait “rien de déraison-nable” à ce que le coût de l’installation soit supporté par les usagers, ceux-ci profitant ensuite des économies engendrées» n’est pas fait pour me surprendre.

Ce n’est pas la cerise des prétendues économies que nous devrions réaliser qui nous fera passer l’indisgestion de ce gâteau aussi empoisonné que la pomme de la marâtre de Blanche-Neige : évidente tarte à la crème comme je l’ai suffisamment démontré… combien aimerais-je la lui retourner en pleine poire comme l’entarteur sut le faire à moult reprises contre des personnalités !

Mais peu importe le flacon pourvu qu’il y ait l’ivresse : nous devons succomber sous le poids des charges diverses que refusent d’assumer les multinationales qui ont réussi à se faire concéder la quasi totalité des services publics. Parfaite illustration du credo ultralibéral : «privatisation des profits, nationalisation des pertes» et comme l’Etat est devenu une entreprise tout aussi ultralibérale : maintenant payez, braves gens !

Sur ces dérives qui nous entraînent fort loin de l’idéal démocratique autant que de la justice sociale, je ne peux que vous conseiller de lire le Monde diplomatique de juin 2010. Un passionnant dossier «Après l’orgie spéculative, l’austérité pour (presque) tous»… Et entre autres, l’article de Serge Halimi Le gouvernement des banques qui démontre brillamment comment les politicards – de droite comme de gauche, aux Etats-Unis comme en Europe et en France - deviennent les meilleurs relais des multinationales. Lobbyistes de tous les pays unissez-vous !

Il faut toute la prétention stupide et le culot imbécile d’un Alain Minc pour oser prétendre que «L’intérêt général peut être servi ailleurs que dans l’Etat, il peut être servi dans les entreprises» !

Je crois plus volontiers le constat amer autant que lucide de François Hollande en 2006 – ça ne s’est pas arrangé depuis, bien au contraire ! – «Une haute bourgeoisie s’est renouvelée au moment où la gauche arrivait aux responsabilités en 1981 (…) c’est l’appareil d’Etat qui a fourni au capitalisme ses nouveaux dirigeants (…) Venus d’une culture de service public, ils ont accédé au statut de nouveaux riches, parlant en maîtres aux politiques qui les avaient nommés».

09-06-2010 om 23:24 geschreven door Vorser-Raadgever  

08-06-2010 om 23:23 geschreven door Vorser-Raadgever  

08-06-2010 om 22:14 geschreven door Vorser-Raadgever  

08-06-2010 om 21:25 geschreven door Vorser-Raadgever  

What are “smart meters” and how do they work?
Smart meters are expensive devices that allow electric companies to track and control electricity usage in an individual household. Consumers are skeptical that they are worth the $5.4 billion California utilities are charging for them.

Are the meters supposed to save electricity?
No. Smart meters merely track electric usage, just like their older, dumber predecessors. Consumers who purchase additional devices can receive detailed information on the energy costs of individual appliances. Utilities will encourage customers to sign up for high “time of use” rates in order to reduce peak demand.

What additional expenditures will be required on the consumer end?
Existing air conditioning cycling programs, energy efficiency measures and consumer education programs are the most direct way to reduce demand for electricity, especially during peak times. Consumers who take advantage of existing programs can already lower their bills and carbon footprint substantially.

What additional expenditures will be required on the consumer end?
In order to get the purported benefits of smart meters, consumers will purchase their own communications devices, computers, high speed internet, special thermostats, appliance chips and other automated equipment. The cost of retrofitting or replacing existing appliances alone will be astronomical.

Without the expenditures, consumers will not see any difference from the new meters except higher electric bills.

Why are so many consumers complaining about smart meters?
Many consumers believe the meters are inaccurate, or that their usage data is not being transmitted correctly. Due to the hundreds of complaints TURN and others have received about smart meters, the CPUC recently launched an investigation. TURN is demanding a moratorium on smart meter installations until the investigation is complete.

What other problems are associated with smart meters?

• Elimination of meter reader jobs.
• Allows utilities — or hackers — to shut customers off remotely.
• Risk of private data being lost, stolen or accessed.

• Privacy protections to prevent loss, theft or misuse of customer data.
• Moratorium until CPUC investigation is completed.
• Allow customers to opt-out.
• Provide rebates and energy efficiency assistance to consumer whose bills have increased due to smart meters.

Electricity: The New Math

One of modern life's most durable features—fixed-price electricity—is slowly being pushed to the sidelines, a creeping change that will influence such things as what time millions of Americans cook dinner and what appliances they buy.

Driving the change is the rollout of so-called smart meters, which can transmit data on how much power is being used at any given time. That gives utilities the ability to charge more for electricity at peak times and less during lulls.

Spreading out electricity consumption more evenly across the day leads to more efficient use of power plants and lower emissions.

Digital meters let utilities charge more at peak times and less in lulls.

Advanced meters "put consumers in charge of an expense that's often thousands of dollars a year and in ways that were never possible before," said John Geary, vice president of innovation for TXU Energy, a Texas power seller. "They won't be flying blind anymore."

Utilities, economists and even behavioral psychologists are still trying to figure out the best way to convince consumers to cut their power at the right time. They worry that folks will be in for a jolt if they suddenly are exposed to wildly fluctuating prices—possibly prompting a smart-meter backlash.

But if prices don't change, it would undercut the purpose of rolling out the costly smart meters in the first place.

"Regulators are conflicted about whether to protect people from volatile prices or let people experience them so they change their habits," said Stanford University economist Frank Wolak, an expert on energy markets.

Consumers have mixed feelings, too. Some say it feels coercive. Others say it is needed to cut down on the emission of greenhouse gases.

Houston-based Reliant Energy Inc. started offering a rate plan this year that has two prices for electricity in the winter and three in the summer. The highest price occurs from 4 p.m. to 6 p.m. in the summer.

Dennis Banks, a retired computer database designer, signed up for the new Reliant plan because utility bills for his 1,350-square-foot home in Richardson, Texas, have run as high as $600 a month. He has cut his bills in half, he said, by cooking dinner before 4 p.m., when higher prices kick in, and running his electric tools for a new furniture-refinishing business when juice is cheapest.

"I've had months where the power bill is as low as a hundred dollars," he said. "That's a first."

He likes the weekly emails he gets from Reliant that tell him how much power he has used and projecting his monthly bill. "If I need to squeeze my nickels, I change what I'm doing," he said.

Although Mr. Banks likes the program, he thinks it may be hard for working families with inflexible schedules to adjust as he has, especially without home automation.

Other people fear the rate plans, if they are pushed out too fast, could hurt vulnerable members of society.

"How can you expect a frail, elderly person to turn down the air conditioning on a hot day to avoid high prices?" said Irwin "Sonny" Popowsky, Consumer Advocate for Pennsylvania, a state that is moving more slowly toward dynamic pricing.

Currently, some utilities have completely flat rates, while others charge tiered prices to discourage heavy consumption.

In either case, old-fashioned meters typically keep a running tally of usage and are read once a month.

The new system uses digital meters to charge prices that vary during the day.

Though fewer than 10% of U.S. homes have smart meters now, the Department of Energy is funding efforts that will boost that number to nearly a third by 2015. The majority of homes in California and Texas, the two most populous states, will have smart meters by 2013.

Smart meters lie at the heart of efforts to get Americans to use less electricity. Power generation accounts for about 40% of greenhouse-gas emissions in the U.S. A 2009 federal study found that smart meters could help cut peak electricity use by 20%.

In California, power plants totaling 30,000 to 35,000 megawatts of capacity are needed on a typical day. But 50,000 megawatts or more are needed on hot days. That forces generators to turn on their least efficient and most polluting plants to meet demand. In New York, average demand is 42% less than peak-time demand. Flatten peak use, experts say, and system costs drop, as does pollution.

In Davis, Calif., schoolteacher Jean Salk and her family get power under a plan, similar to the one in Texas, that is offered by her utility, Pacific Gas and Electric Co. Fifteen times a year, it can notify her that it is jacking up the price of electricity to 60 cents a kilowatt hour from 2 p.m. to 7 p.m. That is about five times the normal price.

In exchange, she gets a discount on electricity the other 350 days a year. Her family, which includes two teenagers, kept an eye on the energy-guzzling air conditioner last summer on the days with peak prices.

"We'd go as long as we could without turning on the air conditioner," she says. "I remember one day my son announcing, 'Half an hour to go!' We sort of liked the challenge."

Appliance makers like Whirlpool Corp. and General Electric Co. are working on products that can respond to price changes by switching to energy-saving modes—for example, a clothes dryer that can decrease its heat but keep tumbling and refrigerators that can delay its ice-making function.

Some utilities are toying with the idea of using cash rebates instead of high prices. Mark Spellmann, a psychologist who has worked for Reliant Energy, thinks rebates send the message that utilities are uncertain they're doing the right thing. Utilities shouldn't soft-pedal change that's coming, he said, but should explain why change is needed.

07-06-2010 om 23:58 geschreven door Vorser-Raadgever  

Wegens wat technische problemen met onze internetverbinding hebben we jullie wat moeten verwaarlozen en we trachten dat natuurlijk zo snel mogelijk te herstellen. Intussen moest de schrijver van dit artikel merken dat volgens Israëlische normen, mijn garage een echte opslagplaats is van zware wapens. Als ik de gepubliceerde foto's van de in beslag genomen wapens zie van de geënterde Gazaboten...als dat moet goedpraten dat de best getrainde commando's ter wereld hiervoor moeten beginnen mensen dood te schieten....en ik zeg er meteen bij dat die ganse actie om met boten naar Gaza te varen mij niet meteen een erg slimme zet schijnt te zijn, maar als die commando's dus ooit mijn garage binnenvallen ben ik zo dood als een pier...mijn dopsleutels, koevoet, tuinpaaltjes...amaai daarmee herover ik binnen de 24 uur gans Israël...
Maar daar zullen we verder geen woorden aan verspillen. Het gaat nu over de slimme meters...


Frankrijk begint ook de gevaren in te zien en kent plots nederlands




http://www.bastamag.net/article890.html

Energies
Le compteur électrique « intelligent » : outil écolo ou mouchard social ?
Par Sophie Chapelle (10 février 2010)
Prévu pour remplacer nos bons vieux compteurs électriques d’ici 2017, le compteur dit « intelligent » - nommé linky - sème le trouble au niveau européen. Cette nouvelle technologie devrait faciliter les économies d’énergie et donc lutter contre le réchauffement climatique. Mais derrière ce boîtier numérique jaune se profilent des enjeux financiers colossaux et de possibles régressions sociales.

« Il fait peur aux techniciens, vous savez ». « Il » c’est le « linky », un nouveau compteur qui pourrait remplacer d’ici 2017 les 35 millions de compteurs électriques actuellement en fonctionnement dans l’hexagone. Le linky – également appelé compteur « intelligent » - est un appareil électronique théoriquement capable de transmettre en temps réel au fournisseur d’énergie des informations sur la consommation du client. Les données transitent du compteur installé chez les clients vers des concentrateurs qui centralisent les données, grâce aux câbles électriques [1] avant d’être transmises au fournisseur d’énergie. Ce dernier peut donc relever à distance, automatiquement et en temps réel la consommation d’énergie sans recourir au déplacement d’un agent. ERDF, la filiale d’EDF pour la distribution d’électricité, se réjouit de cette future « révolution technologique ». Les syndicats ne partagent pas cet enthousiasme. La CGT évoque « une catastrophe économique » : la disparition programmée des techniciens EDF. « Ce compteur va aussi remplacer l’intervention clientèle, alerte Guy Habai, de la CGT Mines Énergie d’Annecy. Avec les départs à la retraite non remplacés, nous descendrons à moins de 1200 techniciens d’ici 2020. Aujourd’hui, nous sommes six fois plus ! » Outre ses conséquences sociales, la généralisation du « compteur intelligent » soulève d’autres questions.
L’Italie, talonnée par la Suède, est un pays pilote en Europe avec 85 % de foyers équipés. En France, l’heure est à l’expérimentation : ERDF teste depuis avril 2009 la pose de 300 000 compteurs et de 5 000 concentrateurs en Touraine et dans la région lyonnaise. Ces expériences pourraient valider en 2012 la généralisation du linky sur le territoire national. L’adoption par la Commission européenne le 9 octobre 2009 d’une recommandation pour accroître l’utilisation de « technologies intelligentes » dans la lutte contre le réchauffement climatique accélèrera l’arrivée du linky. Convaincue qu’avec cette technologie « certains consommateurs pourraient réduire leur consommation d’énergie de 10 % », la Commission invite les Etats-membres à adopter au plus tard fin 2012 « un calendrier de déploiement des compteurs intelligents dans les ménages européens ».

La main invisible d’un lobby
Convaincue oui, mais par qui ? Un lobby répondant au nom sans ambiguïté de Groupe industriel européen des compteurs intelligents rôde dans les couloirs des institutions de l’Union européenne. Parmi les 23 membres de ce groupe, on retrouve les fournisseurs de modules comme Sagem communications et des fabricants de compteurs tels que Siemens. Le remplacement du parc de compteurs au niveau européen représente un énorme enjeu financier et stratégique dans le secteur de l’informatique, des télécommunications et de l’énergie. Dans une directive adoptée en juillet 2009, le Parlement prévoit qu’ « au moins 80 % des clients seront équipés de systèmes intelligents de mesure d’ici à 2020 » sous réserve d’une « évaluation économique à long terme de l’ensemble des coûts et des bénéfices pour le marché et pour le consommateur, pris individuellement ».
Les promoteurs du linky mettent en évidence « une maitrise de la consommation d’énergie facilitée » pour le consommateur. A l’aide d’une clé USB glissée dans le compteur, le client aura la possibilité de charger des informations sur sa consommation, repérer les postes qui lui coûtent le plus cher et ainsi faire la chasse au gaspi. « On a maintenant une économie de 500 euros à l’année » témoigne ainsi un père de famille allemand dans une vidéo réalisée par EDF. Dans les faits, aucune étude indépendante n’a à ce jour été réalisée pour appuyer l’influence réelle des compteurs sur la consommation des ménages. « Imagine t-on que chaque ménage descendra quotidiennement dans sa cave pour examiner sa consommation d’énergie du jour ? » interroge le Collectif Solidarité Contre l’Exclusion. « Ce n’est pas de nouveaux compteurs dont les ménages ont besoin pour améliorer l’isolation de leur logement, mais de moyens de réaliser les investissements utiles ». Pour les locataires d’un appartement très mal isolé, savoir que leurs convecteurs consomment beaucoup trop d’électricité en hiver pour maintenir une température à 19°C ne leur sera pas d’une grande utilité.
Une atteinte à la vie privée ?
Plusieurs journaux ont également dénoncé l’intrusion dans la vie privée permise par ce compteur, après la tenue à Madrid en novembre 2009 de la 31ème Conférence internationale de protection des données et de la vie privée. A cette occasion, Elias Quinn du Centre pour la sécurité énergétique et environnementale de l’Université du Colorado, a pointé le risque d’une tentation par les compagnies électriques de vendre les données collectées par les compteurs intelligents. « La vision instantanée de la consommation électrique s’apparente à une fenêtre ouverte sur le mode de vie de son utilisateur, constate t-il. Ne peut-on imaginer que des fabricants de somnifères soient intéressés par des clients allumant souvent leur lumière au milieu de la nuit ? » Le chercheur préconise donc « un strict encadrement juridique ».

Surtout, pour les ménages ayant des difficultés à payer leur facture, la sanction sera désormais instantanée. « Avec le linky, ce sera la coupure ferme et immédiate pour le client qui n’aura pas payé sa facture », prévient le syndicaliste Guy Habai. En permettant l’ouverture et la fermeture de l’alimentation à distance, les fournisseurs pourront d’un simple clic couper ou limiter l’accès à l’énergie de toute personne en défaut de paiement, voire l’obliger à prépayer sa consommation. « Nous, les techniciens, avons du mal à arriver chez le client et à lui couper l’électricité. Nous avons la possibilité de le mettre en consommation restreinte en posant des fusibles avec moins d’ampères, témoigne le syndicaliste. Dans plus de 80 % des cas, après avoir discuté avec le client qui a des difficultés de paiement, l’agent repart avec un chèque ou la preuve que ça a été payé la veille.
Augmentation du prix de l’électricité en perspective ?
Les détracteurs du linky pointent également du doigt la facturation basée sur la consommation réelle mensuelle : les montants seraient très élevés en hiver et très faibles en été. Sans estimations de factures, la possibilité pour les ménages les moins argentés de lisser sur l’année le surcoût hivernal disparaît. FO Énergie et Mines dénonce également le coût prévisionnel de l’opération qui s’élèverait à 4 milliards d’euros. « Qui va payer la note ? interroge le syndicat. La Commission de régulation de l’énergie ? L’entreprise et par voie de conséquence le client ? » En Belgique, l’installation de ces compteurs représenterait un surcoût annuel de 25 à 50 euros pour les consommateurs.
Au niveau européen, les réactions divergent. Stockholm s’est lancée dans l’installation d’un réseau de distribution électrique « intelligent » à grande échelle dans un nouveau quartier. La Belgique, elle, reste divisée en l’absence d’évaluation. Si la Flandre s’engage pleinement dans le processus, la Commission wallonne pour l’énergie met la pédale douce estimant qu’ « un examen scrupuleux » est nécessaire avant tout investissement. Le débat fait également rage aux Pays-Bas depuis plusieurs mois. Un projet de loi organisant la mise en place du compteur intelligent prévoyait rien de moins qu’une amende de 17 000 euros et 6 mois de prison pour ceux qui s’opposeraient à cette installation. Les mobilisations citoyennes ont conduit le Sénat hollandais à refuser d’adopter le projet de loi en avril dernier. « En France, la fédération CGT discute avec les collectivités de l’arrivée du compteur, explique Guy Habai. Et avec la libéralisation totale des prix de l’énergie à partir du 1er juillet 2010, les maires et les élus de la région ont tendance à être sur la réserve. »
Sophie Chapelle
Notes
[1] Grâce à la technologie du « courant porteur de ligne » qui permet de faire passer des informations numériques sur le réseau électrique, un peu comme l’ADSL via les lignes téléphoniques.


http://www.lejim.info/spip/spip.php?breve529

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France : le nouveau compteur « intelligent » : une bonne nouvelle ?
jeudi 18 février 2010
Il s’appelle « Linky ». C’est le nouveau compteur « intelligent » prévu pour remplacer les compteurs électriques français d’ici 2017. Selon ses promoteurs, il faciliterait les économies d’énergie et donc la lutte contre le réchauffement climatique. Oui mais…
Le boitier électronique est théoriquement capable de transmettre au fournisseur d’énergie des informations sur la consommation du client en temps réel. Plus besoin d’un agent. La CGT dénonce la disparition programmée des techniciens EDF.
Les promoteurs du Linky parlent d’« une maitrise de la consommation d’énergie facilitée » pour le consommateur. Difficile, notamment en tant que locataire, de maitriser sa consommation d’énergie quand les châssis laissent passer le froid ou que les convecteurs sont défectueux, ce que dénonce Le Collectif Solidarité contre l’Exclusion.
Par ailleurs, pour les ménages équipés du Linky, la facturation est basée sur la consommation réelle mensuelle. Cela donne des montants très élevés en hiver et faibles en été. Difficile dès lors pour ceux vivant dans la précarité d’étaler sur l’année le surcoût hivernal.
Quant au coût prévisionnel de l’opération, il s’élèverait à 4 milliards d’euros selon le syndicat Énergie et Mines qui demande « Qui va payer la note ? ». En Belgique, le surcoût annuel de l’installation de ces compteurs serait de 25 à 50 euros pour les consommateurs.
Enfin, des craintes liées à l’intrusion dans la vie privée sont exprimées, notamment le risque que les compagnies électriques soient tentées de vendre les données collectées par les compteurs intelligents.
Cette nouvelle nouvelle technologie ne convainc donc pas tout le monde et soulève de nombreuses préoccupations. Mais le remplacement des compteurs au niveau européen représente un enjeu financier et stratégique énorme dans le secteur de l’informatique, des télécommunications et de l’énergie. Son lobby, le Groupe industriel européen des compteurs intelligents, qui compte parmi ses membres des fournisseurs de modules comme Sagem communications et des fabricants de compteurs tels que Siemens, est très actif dans les couloirs des institutions de l’Union européenne. Nous y voilà…
Source et développements : Sophie Chapelle, « Le compteur électrique intelligent : outil écolo ou mouchard social ? », Basta !, 10 février 2010

03-06-2010 om 07:57 geschreven door Vorser-Raadgever  

‘Electrabel knoeit al 20 jaar'

• maandag 31 mei 2010
• 
  
• Auteur: Pascal Dendooven

mr

© Mark Renders

31-05-2010 om 22:42 geschreven door Vorser-Raadgever  

30-05-2010 om 22:27 geschreven door Vorser-Raadgever  

Winstmarge kernenergie bijna 2 miljard'

CREG pleit ook voor aanpasing steunsysteem groene energie

(tijd) - De CREG schat de winst­mar­ge die de Bel­gi­sche kern­cen­tra­les in 2007 ge­ne­reer­den op 1,75 tot 1,95 mil­jard euro. Dat is het re­sul­taat van een erg lage pro­duc­tie­kost­prijs van 17 à 21 euro per me­ga­watt­uur (MWh) en een ge­mid­del­de markt­prijs van 60 euro per MWh.

In dat jaar pro­du­ceer­den de zeven kern­cen­tra­les 45,9 mil­joen MWh. Elec­tra­bel con­tro­leert het me­ren­deel van deze kern­cen­tra­les in België, SPE en EDF heb­ben slechts een klein be­lang.

'We zijn be­hoor­lijk zeker van deze be­re­ke­nin­gen omdat we de ba­sis­ge­ge­vens van Elec­tra­bel zelf heb­ben ge­kre­gen', aldus CREG-di­rec­teur Guido Camps.

De CREG on­der­zocht ook het sys­teem van groe­ne­stroom­cer­ti­fi­ca­ten en stelt vast de het hui­di­ge sys­teem te veel kost. Daar­om pleit de re­gu­la­tor voor een al­ter­na­tief sys­teem om groe­ne ener­gie te steu­nen naar het voor­beeld van Ne­der­land en Duits­land.

Het ren­de­ment dat pro­du­cen­ten van groe­ne ener­gie van­daag halen op hun in­ves­te­ring schom­melt tus­sen 54 pro­cent voor zon­ne­pa­ne­len en 166 pro­cent voor wind­mo­lens op het land. Het ge­volg is dat ook de dis­tri­bu­tie­ta­rie­ven voor de con­su­ment fors zijn ge­ste­gen, aldus de CREG

29-05-2010 om 20:27 geschreven door Vorser-Raadgever  

Worker Dissatisfaction Reaches All-Time High

Hopelessness in the Workplace

By DAVID MACARAY

Founded in 1916, the Conference Board, Inc. (originally known as the National Industrial Conference Board) is a non-profit organization supported by leading business executives from all over the world.

With offices in New York, Hong Kong and Brussels, the Conference Board holds regularly scheduled meetings, convenes leadership project groups, and conducts management research, connecting more than 1300 corporations in nearly 60 nations. Its worldwide conferences attract more than 12,000 senior executives each year.

In early May, the Board issued a sobering report. It noted that only 45-percent of world’s workers were “satisfied” with their jobs, down from 61-percent in 1987. These weren’t crazy people conducting the surveys. These were international business leaders who had nothing to gain by inflating the numbers. Indeed, the survey’s results, while demoralizing, didn’t come as any surprise. Similar studies have shown American worker satisfaction to be at an all-time low.

The Conference Board’s study indicated that the drop-off wasn’t tied primarily to worries over job security, as critical as that concern is. Rather, the responses were quite specific. Among the complaints: on-the-job pressure, longer hours, bad bosses, workplace intimidation, arbitrary decision-making and evaluations, and a sense of general hopelessness.

Even acknowledging that the human psyche is complex and that cross-cultural differences must come into play, the recent spate of worker suicides in Chinese factories has to be seen as a symptom of something deeper and more disturbing than the Chinese government’s pathetic explanation of “copy-cat” behavior (“Hey, some guy just jumped to his death from a tall building; maybe I should do that, too”).

By all accounts, the pressure on Chinese workers to increase their productivity by working faster and harder and putting in longer hours in order to keep the vaunted national economy churning away must be enormous. And even though people in China are regularly depicted as being far more amenable to regimentation and group-think than their Westerners counterparts, they obviously have their limits.

But the steep decline in worker satisfaction is traceable to more than hard work and long hours. It derives from a lack of a sense of empowerment. It’s no coincidence that the dramatic increase in dissatisfaction corresponds directly to a drop in union membership. Whether or not people realize it, belonging to a labor union provides a great deal more than the higher wages and generous benefits typically associated with union affiliation.

In addition to better wages and bennies, a labor union offers a built-in and reliable means of problem-solving. You have a bad boss? You’re tired of being harassed or held to arbitrary standards? You’re getting all the crappy assignments? A union rep can help. He can file a grievance; he can go over the boss’s head; he can go over the boss’s boss’s head; he can yell and scream with total immunity; in short, he can wage a Holy War on your behalf.

Management takes union officers seriously. They take them seriously because they know they have the jurisdictional right to address workplace problems, which is why so many corporations resist their employees organizing. With a union representing the workers, the boss can’t get away with being a petty tyrant. It’s no longer simply bad form; it’s now contractually illegal.

And even in those cases when the union rep can’t “remedy” the situation—even when, in truth, it’s the employee himself who’s contributing to the problem—having the union as a Father Confessor or shoulder to cry on is a critical safety valve, a way of blowing off steam and, hence, minimizing on-the-job stress. With a union representing you, you’re never alone.

Conversely, when you have no union, it’s every man for himself. Being stuck with a bad boss in a non-union setting means you’re at the boss’s mercy. Dr. Samuel Culbert, a UCLA psychology professor cited in the Conference Board’s finding, maintains that too many Americans work in “toxic” environments. Consider: other than quitting or internalizing the problem until he grows a tumor, what can he do? Without a union, he has no lobby, no support group, no safety net.

And don’t say the NLRB (National Labor Relations Board) can help because that’s wildly misleading. People who say that have obviously never tried to contact the Board. First of all, good luck in reaching them by telephone. Just ask anyone who’s ever tried. I’ve personally gotten a busy signal for 45 straight minutes, before giving up.

Second, as noble as their intentions may be, these people (like OSHA reps) are weary bureaucrats. They’ve heard everything you’re going to say a hundreds times. And once you’ve gotten their attention, they are going to automatically assume the company is right and you’re wrong, and have to be dragged kicking and screaming to your side. In our dealings with the NLRB, we often asked ourselves: Whose side are these guys on?

Clearly, the antidote to worker dissatisfaction, frustration, and alienation is a sense of empowerment….a sense of dignity. While some workers are fortunate enough to have compassionate, enlightened bosses, most are not. That’s where labor unions ride to the rescue.

David Macaray, a Los Angeles playwright, is the author of “It’s Never Been Easy: Essays on Modern Labor” (available at Amazon, Borders, Barnes & Noble, etc.) He can be reached at dmacaray@earthlink.net

28-05-2010 om 23:28 geschreven door Vorser-Raadgever  

Philippe Geluck: En Belgique, c'est devenu irrespirable

Actu-Société

Autrefois belgicain, le chatoyant dessinateur-humoriste ne veut plus de cette Belgique-là. Et ça ne l'amuse pas.

Si une majorité de Flamands veut foutre le camp, qu'elle foute le camp!

Lorsqu'on évoque les très prochaines élections, même les responsables politiques ont beaucoup de mal à dissimuler leurs pieds de plomb. Mais il y a plus profond: dans la population, ce pays a fini par susciter une profonde lassitude. Parce que les extrémistes du Nord ont fini par donner le cap des comportements politiques, le sentiment que la Belgique a déjà franchi un point de non-retour est plus que perceptible au Sud. Sentiment aggravé par la conviction qu'un palier supplémentaire sera franchi le 13 juin, par un vote massif en faveur des nationalistes flamands. Mais cette Belgique de l'exclusion, certains n'en veulent plus.

Parmi eux, Philippe Geluck. Le dessinateur du Chat était un unitariste jusqu'ici convaincu, imprégné qu'il était par la grâce biculturelle dont bénéficiait notre petit pays. Mais les comportements d'une certaine Flandre ont tout chamboulé: "J'ai passé ma jeunesse et le début de ma vie d'adulte à Bruxelles. Puis j'ai longtemps habité en Wallonie, où j'ai peut-être moins perçu ce qui se tramait réellement au nord du pays. Récemment, je suis revenu habiter à Bruxelles. Cette plus grande proximité avec la Flandre d'aujourd'hui m'a ouvert les yeux. Je ressens plus fortement le virage qu'ont pris trop de Flamands. Et ce que je vois est détestable. Inconciliable, en tout cas, avec ma conception du vivre ensemble, et même de la démocratie. Ma déception est immense." Et le coup de sang est à la hauteur du désenchantement.

Récemment, vous déclariez dans un quotidien que "ce qui faisait la spécificité et la richesse de la Belgique est devenu sa principale raison de se séparer".
Philippe Geluck - Oui. La vraie Belgique, celle de la diversité, du mixage linguistique et culturel, représente quelque chose pour moi. J'ai toujours dit et je continue de dire que j'aime la culture flamande et les Flamands. Mais quand la Flandre me crache constamment au visage, ça va comme ça. Disons que je suis patriote. Mais le patriotisme, c'est l'amour des autres. Le nationalisme, c'est la haine des autres. Je suis très triste de voir qu'au nord de mon pays, il y a de moins en moins de patriotes et de plus en plus de nationalistes.

Ils le sont tous?
On nous dit qu'une majorité de Flamands tient encore à ce que j'aime dans la Belgique. Mais alors, j'aimerais bien qu'ils me le montrent! Or, c'est tout le contraire qui se passe. Qu'ils me le montrent le 13 juin par les urnes. Qu'ils me le disent dans la presse. Qu'ils me le montrent en arrêtant toutes ces mesures "anti-francophones". Qu'ils me le montrent en arrêtant de participer par dizaines de milliers au Gordel, cette "promenade" cycliste autour de Bruxelles. Des pères et mères de famille avec leurs enfants font le tour de Bruxelles à vélo, pour bien dire aux Bruxellois francophones: vous êtes nos prisonniers, on vous encercle! Sous couvert d'une randonnée familiale, c'est une manifestation de mépris et de haine.

[...]

Vous rejoignez donc Olivier Maingain, qui a comparé certaines pratiques flamandes avec celles de l'Occupation allemande?
Je trouve qu'il y a des parallèles. Il faut voir ce qui se passe sur le terrain, en Flandre. Quand la commune d'Overijse organise un bureau de délation anti-francophone, ça doit quand même nous rappeler quelque chose. Ce qui m'inquiète le plus, c'est que tout est écrit. Que des intellectuels flamands ou des autorités se mobilisent pour organiser l'exclusion, puis en fassent des écrits. Cette manière d'étouffer Bruxelles en la sous-finançant pour en faire un objet de chantage, ils l'ont écrite! La "doctrine Maddens", du nom de ce professeur d'université de la KUL qui préconise d'assécher l'Etat fédéral de ses ressources pour que, finalement, les francophones soient demandeurs de plus d'autonomie, c'est un écrit. Des décrets comme le "Wooncode" sont des mesures d'exclusion de type raciste, et c'est écrit! Tous ces écrits font froid dans le dos. Comme Mein Kampf aurait dû alerter l'opinion internationale. Tout était écrit!

Et s'est réalisé...
Les Flamands pourraient encore empêcher la réalisation de ces doctrines d'exclusion et de haine par voie démocratique. Mais le pire, c'est que certains veulent vraiment les réaliser. C'est ça qui est devenu irrespirable. En Flandre, les nationalistes et les extrémistes tiennent le gouvernail. Et négocier avec ces gens-là, c'est entrer dans leur logique. Si vous faites une concession pour montrer votre bonne volonté, ils la saisissent puis exigent le truc suivant en inventant d'autres exclusions pour mettre la pression. On ne peut pas entrer dans cet engrenage. C'est pour cela qu'il faut changer la Constitution, et y inscrire la possibilité de faire des référendums.

Pour définitivement poser aux Flamands la question de la rupture avec la Belgique francophone?
Oui. Si c'est non à la rupture, il faudra qu'ils en déduisent une série de choses: le respect des solidarités, des minorités et des droits humains fondamentaux qu'ils ne respectent pas pour l'instant. Si c'est oui, il faudra que les démocrates flamands se demandent où commence et où s'arrête la solidarité au sein d'une Flandre devenue indépendante. Après s'être désolidarisés des francophones, que feront-ils si une partie de la Flandre est plus pauvre qu'une autre? Ils vont aussi l'exclure pour ne conserver qu'une Flandre triomphante? Ça peut aller loin, ce genre de logique. Ça peut aller jusqu'à une logique de sous-citoyens. C'est là que ça rejoint la logique du IIIe Reich.

Le 13 juin, la N-VA pourrait devenir le premier parti flamand. Quelle serait votre réaction?
Je commencerai à regarder les annonces immobilières à l'étranger. Sans déconner! Ces gens me glacent. Est-ce que je pourrai encore vivre dans un pays où des nationalistes et des néo-fachos du Vlaams Belang façonnent les mentalités? Est-ce que, comme les Juifs dans les années 1930, je ne dois pas me dire: il est temps de quitter l'Allemagne?

Vous seriez prêt à entamer un processus de séparation dès maintenant?
Moi, je suis un démocrate. Si une majorité de Flamands dit qu'elle veut foutre le camp, eh bien qu'elle foute le camp! Nous signerons l'acte de séparation. Mais pas à n'importe quel prix. Vous avez votre indépendance, mais à condition que nous gardions le nom de Belgique, qui sera composée de Bruxelles, de la Wallonie et aussi des communes à facilités. Ce qui assure donc un lien territorial entre la Wallonie et Bruxelles, via Rhode-Saint-Genèse et quelques kilomètres carrés de forêt de Soignes, au sud de Bruxelles, où les arbres ne parlent aucune langue. S'ils veulent qu'on respecte leur volonté d'indépendance, il faudra aussi qu'ils respectent le vou d'une majorité de francophones: vivre dans un autre espace que le leur. Mais avec une grosse nuance par rapport à la Flandre actuelle: les démocrates flamands seront les bienvenus dans cette nouvelle Belgique. Et ils seront respectés dans leur identité linguistique.

Vous avez le sentiment d'un énorme gâchis?
Tout ça m'attriste. Je parle les deux langues, je crois en la richesse de l'intégration des cultures. Mais aujourd'hui, trop de Flamands se fichent de cela. Vous pouvez être parfait bilingue, ouvert à leur culture, vous serez toujours le francophone à exclure. Une fois de plus, malheureusement, on peut refaire un parallèle avec ce qui s'est produit en Allemagne: vous aviez beau être Allemand, parler la langue parfaitement, aimer Beethoven et Goethe, si vous étiez Juif, vous deviez être exclu. C'est là qu'on est dans l'apartheid, le racisme, la haine de l'autre. Tout ça m'est odieux.
Vincent Peiffer

La suite dans votre TéléMoustique

27-05-2010 om 22:56 geschreven door Vorser-Raadgever  

Ambitie tonen
Als N-VA politicus kan ik me nu al afvragen: wat morgen weer? Er gaat immers geen dag voorbij of iemand roept op om niet voor de N-VA te stemmen of wordt de N-VA links of rechts gebasht. Het waarom dat men niet voor de N-VA mag stemmen is dan nooit erg duidelijk. Zeker als je ziet in welke impasse het land nu zit. Dehaene beet vorig jaar de spits af. Hij zei dat de mensen niet voor kleine partijen mochten stemmen. De kiezer gehoorzaamde. De N-VA haalde 13% en was daarmee opslag geen kleine partij meer. Dank u Jean-Luc.
Dit jaar komen ze langs verschillende kanten aanzetten met klap op de vuurpijl professor Torfs die zijn instap in de politiek legitimeerde door op te komen tegen de N-VA. Allemaal tegen de N-VA. Waarvoor ze wel opkomen? Joos mag het weten. Veel mist en onduidelijkheid.
Als N-VA scheppen we die duidelijkheid wel. En ook dat is voor sommigen een doorn in het oog. Neem nu het volgende:
Binnen Europa werden een paar jaar terug ambitieuze Lissabon-doelstellingen geformuleerd. Eén van die doelstellingen was een werkzaamheidsgraad van 70% tegen 2010. D.w.z. dat tegen 2010 70% van de mensen in de arbeidsleeftijd ook daadwerkelijk aan het werk zouden moeten zijn. Noodzakelijk om de boel draaiende en betaalbaar te houden. Denk maar aan sociale zekerheid, gezondheidszorgen, pensioenen, en ga zo maar door.
Omdat we in België met een serieuze achterstand zitten wat dat betreft (62% in 2010) stellen we als N-VA dat we tegen 2015 toch aan 67% zouden moeten kunnen geraken. Een jaarlijkse groei van 1%... Van 62% naar 67%... En dan zitten we nog onder de Europese doelstelling…
Die groei betekent in absolute cijfers een toename van 500.000 jobs. Dat getal poneren was er blijkbaar te veel aan. Die duidelijkheid scheppen was er over. Die ambitie in concrete cijfers omzetten, is volgens verschillende media bluffen. “Dat cijfer gaat hen achtervolgen”, lees ik professor De Vos verklaren. Jawadde, jongens. Procenten omzetten in absolute cijfers en de N-VA is een bende fantasten. Begrijpen wie kan. Zeg dan ineens dat de Lissabon-doelstellingen niet deugen. Maar waarom onderschreven we die dan wel? Alle voorgaande federale regeringen deden dat zonder morren. Of is de afwijzende reactie nu het plat op de buik gaan voor datgene dat we gewoon aan het worden zijn? De lamlendigheid en geen enkele ambitie meer vertonen? Niet met ons.
Neen, het klopt dat we van die 500.000 geen fetish mogen maken. En dat doen we ook niet. Maar het is wel gewoon een vertaalslag. In Vlaanderen schrijft elke krant, elke politoloog, elke econoom, al jaren dat we ons activeringsbeleid dringend moeten versterken. Dit op het Europees gemiddelde brengen betekent plus 500.000 voor heel België. Daar leggen wij onze ambitie! Die doelstelling is indrukwekkend, maar zegt ook iets over hoe diep we al weggezakt zijn. En welke achterstand we moeten inlopen. Tussen 2000 en 2008, jaren van hoogconjunctuur, is de werkzaamheidsgraad in Europa toegenomen met 3,3%. In België met slechts 2,2%. De achterstand werd dus groter. In Wallonië en Brussel is slechts 57% en 55% van de bevolking op actieve leeftijd effectief aan het werk. Daar is nog veel ruimte voor progressie. En het is nodig!
Met structurele ingrepen: staatshervorming (en dus responsabiliseren), versterkte activering (inclusief langer werken) en een forse loonlastverlaging van 2 miljard euro waarbij RSZ-bijdragen voor kinderbijslag en gezondheidszorg geleidelijk uit de loonkost gehaald worden, moeten we de weg effenen om uit het dal te kruipen.

Kris Van Dijck

Trend werkzaamheidsgraad in de gewesten, België en EU-27

Vlaams Gewest 4de kwartaal 2009: 65,8%

Trendniveau werkzaamheidsgraad (België en de gewesten, EU27; Q1 2000 - Q4 2009)

Bron: FOD Economie – Algemene Directie Statistiek – EAK, Eurostat, LFS (bewerking Steunpunt WSE/Departement WSE)

Kwartaalevolutie trend (Q1 2007 - Q4 2009)

Bron: FOD Economie – Algemene Directie Statistiek – EAK, Eurostat, LFS (bewerking Steunpunt WSE/Departement WSE)

Trendniveau werkzaamheidsgraad volgens leeftijd (Vlaams Gewest; Q1 2000 - Q4 2009)

Bron: FOD Economie – Algemene Directie Statistiek – EAK, Eurostat, LFS (bewerking Steunpunt WSE/Departement WSE)

Trendevolutie werkzaamheidsgraad naar leeftijd (Vlaams Gewest; Q1 2006 - Q4 2009)

Bron: FOD Economie – Algemene Directie Statistiek – EAK, Eurostat, LFS (bewerking Steunpunt WSE/Departement WSE)

Trendniveau werkzaamheidsgraad volgens geslacht (Vlaams Gewest; Q1 2000 - Q4 2009)

Bron: FOD Economie – Algemene Directie Statistiek – EAK, Eurostat, LFS (bewerking Steunpunt WSE/Departement WSE)

Definitie

De werkzaamheidsgraad meet het aandeel werkenden in de beroepsbevolking op arbeidsleeftijd (15-64 jaar). Onder ‘werkenden’ verstaan we iedereen die in een bepaalde referentieweek minstens één uur betaalde arbeid heeft verricht (definitie van de Internationale Arbeidsorganisatie).

Bespreking

Tussen 2003 en het derde kwartaal van 2008 steeg de Vlaamse werkzaamheidsgraad ononderbroken van 63% naar een recordhoogte van 66,6%. Eén (crisis)jaar later is de Vlaamse werkzaamheidsgraad met ongeveer 1 procentpunt gedaald naar 65,8%. De Europese Lissabon-doelstelling bestond erin om in 2010 een werkzaamheidsgraad van 70% te behalen. Ondanks de vorderingen van de voorbije jaren zal het Vlaams Gewest dus ruim onder deze doelstelling blijven.

In het Vlaams Gewest is de arbeidsdeelname ruim hoger dan in de andere gewesten. In het vierde kwartaal van 2009 bedroeg de Vlaamse werkzaamheidsgraad 65,8%, tegenover 56,2% in het Waals Gewest en 55,1% in het Brussels Gewest. De Vlaamse werkzaamheidsgraad is de laatste jaren sneller toegenomen dan in de andere gewesten, maar daalt nu ook sneller. Het Vlaams Gewest blijft het wel iets beter doen dan het Europese gemiddelde (64,7%).

Wellicht zal de werkzaamheidsgraad minstens tot in 2010 blijven dalen. Volgens sommige ramingen (FPB, HRW) zou de Vlaamse werkzaamheidsgraad tot zo’n 64,5% kunnen dalen vooraleer ze opnieuw toeneemt. Doorgaans duurt het ongeveer drie jaar vooraleer de werkzaamheidsgraad opnieuw haar niveau van voor de economische crisis haalt, maar de ernst van de huidige crisis maakt dat de herstelperiode dit keer mogelijk langer zal duren dan dat. De stabilisatie in het vierde kwartaal van 2009 stemt echter hoopvol.

De Vlaamse werkzaamheidsgraad wordt voornamelijk geremd door een bijzonder lage arbeidsdeelname van 55-plussers. In het vierde kwartaal van 2009 waren slechts 35,7% van de Vlaamse 55-plussers aan het werk. Het Vlaams Gewest is hier wel aan een inhaalbeweging bezig, de werkzaamheidsgroei van de voorbije jaren is voornamelijk te danken geweest aan de toegenomen werkzaamheid van ouderen. Deze evolutie blijkt vooralsnog niet te zeer beknot te worden door de economische crisis. De jongeren daarentegen hebben wel sterk te lijden onder de crisis. Op een jaar tijd is de werkzaamheidsgraad van Vlaamse 15 tot 24-jarigen gedaald van 31,7% naar 28,6%.

Het Vlaams Gewest heeft sinds 2008 de Lissabondoelstelling van 60% werkzaamheid bij vrouwen behaald. De economische crisis blijkt ook iets minder invloed te hebben op de vrouwelijke werkzaamheid dan op de mannelijke. In het vierde kwartaal van 2009 bedroeg de werkzaamheidsgraad van vrouwen 60,5%.

Methodologie

De Eurostat Labour Force Survey (LFS) is een door Eurostat gecoördineerde bevraging in de lidstaten van de Europese Unie, waarvan de Enquête naar de Arbeidskrachten (EAK) van de FOD Economie – Algemene Directie Statistiek de Belgische uitvoering is.

We berekenden het trendniveau van de werkzaamheidsgraad op de kwartaalgegevens. Het trendniveau betreft een voortschrijdend gemiddelde van vier kwartalen. Dit maakt dat het trendniveau van het laatste kwartaal van een jaar overeenstemt met het betreffende jaargemiddelde.

27-05-2010 om 00:23 geschreven door Vorser-Raadgever  

• dinsdag 25 mei 2010, 16u26
• Bron: belga
• Auteur: svh

SP.A wil akkoord met Suez opnieuw onderhandelen

Pol De Wilde

LEUVEN - De SP.A wil dat de volgende federale regering het akkoord met Suez over het langer openhouden van de drie oudste kerncentrales opnieuw gaat onderhandelen.

Tijdens een persontmoeting in Leuven ondertekenden de partijkopstukken Johan Vande Lanotte, Caroline Gennez en Bruno Tobback een brief aan de top van Suez waarin ze stellen dat het akkoord voor hen onbestaande is, onder meer omdat het parlement het nooit heeft goedgekeurd.

Vande Lanotte beklemtoonde dat het akkoord het monopolie van de Franse energiemaatschappij in ons land voor jaren bevestigt. Door dit monopolie stegen van juli 2007 tot juli 2008, ondanks het afgeschreven zijn van de oude kerncentrales, de elektriciteitsprijzen met 22 procent, terwijl de gemiddelde stijging in Europa slechts 16,2 procent bedroeg.

Electrabel verhoogde bovendien de gasprijzen in 2007 met 20 procent. Dit is niet alleen nadelig voor de consument, maar ook voor concurrentiepositie van onze bedrijven. SP.A raamt de winst die Suez in 2009 in ons land haalde op 1,25 miljard euro.

De SP.A wil dat de nieuwe regering deze monsterwinsten afroomt via een 'single buyer'-systeem, waarbij de overheid de in ons land geproduceerde elektriciteit opkoopt tegen productieprijs en verder verkoopt. De partij schat de opbrengst van een dergelijke operatie op 500 tot 700 miljoen euro per jaar en wil dat niet de consument, maar de bedrijven die afgeschreven centrales exploiteren opdraaien voor de groenestroomcertificaten.

De CREG moet bovendien meer bevoegdheden krijgen om de prijzen van de elektriciteit en distributie van de elektriciteit binnen de perken te houden.

Five of the UK's 14 coal stations must retire by 2015 and seven of the 10 nuclear stations will close by the end of the decade. Photo: Christopher Furlong/Getty Images

The proposal is a vague one that could mean anything from the Government asking a central body to make sure the UK has gas in storage to, at the far more extreme end of the scale, the introduction of "Soviet-style central planning", according to consultancy McKinnon & Clarke.

"Ofgem is effectively admitting that it, and the government, have lost a decade of energy planning," says McKinnon analyst David Hunter.

Ofgem's other ideas – a lower limit on the carbon price, payments for providing extra capacity and forced obligations to build more power plants – are not quite so radical, but nevertheless considerable changes in a market left largely to its own devices for the past 20 years.

But the alternative, refusing to admit that change is needed, will inevitably lead to "blackout Britain", according to Ian Parrett, from energy experts Inenco, with industry and homes facing regular power cuts as early as 2012.

The problem is simple. Britain needs £200bn of investment in new nuclear, gas, wind and clean coal power stations over the next decade. But the market conditions are not right to encourage this investment. Returns are too uncertain, some technology is a long way off and there are deep concerns about the ability of the industry to deliver such a huge amount of extra capacity in the right time frame.

Five of the UK's 14 coal stations must retire by 2015 and seven of the 10 nuclear stations will close by the end of the decade. The first new nuclear station will not be built until 2017 and there are doubts over whether Britain will be able to build a huge number of wind farms quickly enough to meet the shortfall.

If the Government does not prod industry into action, the country is facing problems within just a few years, according to Ofgem.

"In 2017 we get to the really sweaty-palm moment in terms of possible shortages," says Alistair Buchanan, the straight-talking chief executive of the regulator. "It is the scale of collapse in energy supply from 2013 up until 2017 that is profound and worrying. Companies say that there are X-gigawatts of new power stations in the pipeline, but you can't rely on this until the earth is cut."

Many companies believe Ofgem's predictions are actually too optimistic, according to Mr Buchanan, despite its warnings of energy bills rising 50pc and the potential of industrial shortages.

The CBI, the business group, said it was a "stark warning that existing policy will not deliver the balanced energy mix", while EEF, the manufacturing organisation, said it was "the final nail in the coffin for the view that we can continue to muddle along with our current approach".

However, some companies such as Centrica are likely to oppose any moves to force through extra regulation. The utility has recently withdrawn from Europe to concentrate on the US, frustrated that the landscape is dominated by state-run monopolies.

Mark Hanafin, managing director of Centrica Energy, fears that more meddling in the market will only delay investment, although the company is known to support a higher carbon price. And if the UK backpedals on its firmly held liberal policies, it could make it a less attractive market for many major players.

In contrast, EDF and E.ON, the French and German energy giants, tentatively welcomed Ofgem's suggestions, while National Grid was also broadly positive about the proposals, acknowledging the need for a regulatory overhaul. It is understood to be considering the idea that it could take on the role of central buyer on behalf of the state.

There are, however, significant hurdles to reform. The European Union is unlikely to look kindly on the UK's efforts to reverse liberalisation, despite the fact that many large utilities in other countries take a loose approach to the rules.

It would also mean the Government acknowledging its energy planning has been inadequate. Ed Miliband, the Energy Secretary, yesterday defended measures for the next 10 years. His acknowledgment that more intervention would be needed to secure supply from 2020 onwards may mean that he can set out plans for a shake-up without losing face.

But ironically, it may fall to a new Conservative government to make crucial decisions on whether to tear up the Thatcherite legacy of its predecessor.

http://www.telegraph.co.uk/finance/newsbysector/energy/7147006/Britain-may-need-national-energy-buyer-to-avoid-shortages-regulator-warns.html

Britain may need national 'energy buyer' to avoid shortages, regulator warns

Britain may need to reverse its liberalisation of the energy market and create a “central buyer” of national supplies to avoid shortages in the next decade.

By Rowena Mason
Published: 1:28PM GMT 03 Feb 2010

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Ofgem, Britain's energy regulator, has suggested that a national buyer of energy may be needed to avoid a crisis

Ofgem, the energy regulator, believes that there is “reasonable doubt” over whether the Government’s current plans are adequate to ensure the UK has the gas and electricity it needs. Prices may also become unaffordable for a large number of households.

In a new report, the regulator recommended a series of interventionist measures that could effectively return parts of the energy sector to state control.

Britain is facing a potential supply shortage because five of the UK’s 14 coal stations must retire by 2015 and seven of the ten nuclear stations will close by the end of the decade. The first new nuclear station will not be built until 2017 and there are doubts over whether Britain will be able to build a huge number of wind farms quickly enough to meet the shortfall.

“It is the scale of collapse in energy supply from 2013 up until 2017 that is profound and worrying,” said Alistair Buchanan, chief executive of the regulator. “Companies say that there are X-gigawatts of new power stations in the pipeline, but you can’t rely on this until the earth is actually cut.”

The regulator is concerned that new capacity is not being built quickly enough owing to a lack of investment, with major new stations being mothballed or delayed. Its most radical suggestion is a central energy buyer, which could be a state-run company or a heavily regulated one like National Grid.

This could take day-to-day responsibility for buying all the UK’s energy, or certain parts of it, such as supplies for gas storage.

But it might also take charge of longer-term policy, ensuring that £200bn in new power stations and wind farms are built by the end of the decade and enter into long-term supply contracts.

“There are real concerns about how this will be financed,” Mr Buchanan said. “Most energy companies actually think we have been too optimistic.”

Ofgem also suggested that the Government could impose obligations on the big energy groups to build new power plants, guarantee returns on investment in renewable energy projects and pay companies for supplying extra capacity.

The regulator also backed the idea of a lower limit on the price of carbon permits bought and sold as part of the European Union emissions trading system. The regime is meant to incentivise investment in green energy projects like nuclear and wind power, but the price is currently too low to provide much encouragement.

Ofgem’s report, code-named Project Discovery, puts the regulator on a collision course with the Government. In response, Ed Miliband, the Energy Secretary, immediately released a statement defending his current plans for the sector over the next decade.

“The Government is confident that Britain will meet its security of supply needs in the years ahead,” he said. However, the Conservatives seized on the implication that Britain is under-prepared to meet demand.

Greg Clark, shadow Energy Secretary, called the report a “devastating verdict on Labour’s 13 years of neglect of Britain’s energy security”.

“It is a sign of desperation that the regulator, which is supposed to execute government policy, is having to urge the government to adopt a policy for energy security,” he added.

Ook in onze eigen contreien klinkt dat allemaal niet erg "ver van ons bed". Veel herkenbaar lezen we hier. En dus haalden de sossen daar de mosterd ofwel, maar dat kunnen we amper geloven, lazen ze dit blogje. In dit laatste geval zijn we bereid onze mening over onze kameraden lichtjes aan te passen in positieve zin. WXant wat ze daar vertellen, vertellen we hier al een tijdje. Maar we zijn natuurlijk maar een piepkuiken in vergelijking met politieke partijen. Of ze nu sossen zijn of tsjeven of confederalistische separatisten...

We zijn al blij dat er eens zinnige praat wordt verteld door een partij over onze energie. In plaats van te kissebissen over B-H-V zou men hier wat meer over nadenken. Dit wordt DE uitdaging voor de komende decennia. En niet B-H-V zoals sommige rattenvangers ons willen laten geloven...

ook het idee van de groene stroomcertificaten niet lmeer te laten betalen door de consument staat ons aan. Maar het moet dan wel gepaard gaan met de afschaffing van onzinnige groene stroomcertificaten. We hebben hier al lang genoeg gefoeterd op de zonnepanelen van een ooit eerder geziene financiële transfert van zwakke gebruikers naar midden- en hogere klassen, beter bekend als het Mattheüseffect (wie a lveel heeft zal nog meer krijgen...). Dit is sociaal onaanvaardbaar voor elke sos met het hart aan de linkerkant!

Het "single buyer"-systeem laat ook toe om aan te kopen volgens een aantal vooraf bepaalde en eventueel vastgelegde prioriteitsregels en kan een anzet geven tot een versnelde vergroening van het productiepark of het uitbouwen van de zogenaamde "supergrids" om alsdus toegang te krijgen tot groene energie die nu niet tot hier geraakt...

Dat de CREG meer bevoegdheden moet krijgen is ook wiedes maar we herinneren er toch maar fijntjes aan dat het onze sossen geweest zijn die het vroegere controlecomité hebben afgeschaft. Het zijn net de bevoegdheden van het controlecomité die terug moeten gegeven worden aan de CREG onder een geactualiseerde vorm.

Het is echter nooit te laat om zijn kar te keren en we geven toe dat dit een hoopvol teken is dat men begint na te denken over energie...à la bonheur...we zijn benieuwd voor het vervolg...alleen al voor dit punt op het programma zouden we zo al durven opropen om voor de sossen te stemmen om dan te kijken of ze er iets van zullen realiseren....

Doe in elke geval zo verder, kameraden, jullie komen nog op het goede pad...

25-05-2010 om 23:45 geschreven door Vorser-Raadgever  

22-05-2010 om 23:41 geschreven door Vorser-Raadgever  

22-05-2010 om 23:04 geschreven door Vorser-Raadgever  

Achille Van Acker

Uit Wikipedia

Achille Van Acker (8 april 1898 - 10 juli 1975) was een Bruggelienk die by de grotste polletiekers van achter den Twiddn Weireldôorloge mag geteld worden. Binst z'n grote carrière in de Belgische pollitiek ei tie vier keren eerste minister gewist:

• 12/02/1945 - 02/08/1945
• 02/08/1945 - 13/03/1946
• 31/03/1946 - 03/08/1946
• 23/04/1954 - 26/06/1958

Achille Van Acker was een echte selfmade mens. An z'n elf joar ei tie moetn stoppn van no 't schole te goan vo tuus te kunnen elp'n by z'n oeders.

Achter da tie eerst gewerkt had in 't socialistisch syndikoot (socialistischn vakbond) , is tie in 1927 in 't Parlement gerocht vo de BWP, de Belgische Werkliedenpartij, wa da nu SP.a is (Socialistische Partij Anders).

Z'n eerste drie goevernementen een èn nie lange meegegoan deur de Keuniengskwestie met da styf moeilik werekeren van Leopold III. Da was één van de moeilykste momentn vor 't land.

Z'n grotste verdienste was da tie 't sistèm van de Sociale Zekerheid eit ip z'n poaten gezet, wa datter toe vandage vooren gezorgd eit da vil geweune menschen an d'ormoe ontsnapt zien.

J'is ook bekend omdat ie achter den orloge de Belgische koolpitten were in gank ei gestoken. Je was ton (oender andere) minister van Steenkolen.

Achille klapte Brugs en in ‘t Brugs dialect wordt de Fransche J uutgesprookn lik Z en de CH lik S. (Ze kykn no de mats teegn Sarleroi en goan no de Zeruzalemkerke). Lik veel Bruggeliengn kost ‘n die klankn ook nie uutspreekn ot ‘n Frans klapte. Ze voundn da nateurlik styf komiek en ze zeien: 'Assiel parle le bruzois dans les deux langues nationales' en d’r wierdn moppn verteld à la manière d'Assiel. Ot ‘n minister van steenkool wierd kreegt ‘n z’n lapnoame Assiel Sarbon.

Je was ook lid van de loge (Vriemetseloarie).

Zyn derde zeune Frank Van Acker was volksvertegenwoordiger, senateur, minister en burgemeester van Brugge.

22-05-2010 om 00:25 geschreven door Vorser-Raadgever  

CNN: ‘Smart dust’ aims to monitor everything

CNN reports on a proposal by Hewlett-Packard to deploy sensors across the planet in order to gather data.

In the 1990s, a researcher named Kris Pister dreamed up a wild future in which people would sprinkle the Earth with countless tiny sensors, no larger than grains of rice.

These “smart dust” particles, as he called them, would monitor everything, acting like electronic nerve endings for the planet. Fitted with computing power, sensing equipment, wireless radios and long battery life, the smart dust would make observations and relay mountains of real-time data about people, cities and the natural environment.

Now, a version of Pister’s smart dust fantasy is starting to become reality. [...]

The latest news comes from the computer and printing company Hewlett-Packard, which recently announced it’s working on a project it calls the “Central Nervous System for the Earth.” In coming years, the company plans to deploy a trillion sensors all over the planet.

The wireless devices would check to see if ecosystems are healthy, detect earthquakes more rapidly, predict traffic patterns and monitor energy use. The idea is that accidents could be prevented and energy could be saved if people knew more about the world in real time, instead of when workers check on these issues only occasionally. [...]

Even when deployed for science or the public, some people still get a Big Brother feeling — the uncomfortable sense of being under constant, secret surveillance — from the idea of putting trillions of monitors all over the world.

“It’s a very, very, very huge potential privacy invasion because we’re talking about very, very small sensors that can be undetectable, effectively,” said Lee Tien, an attorney at the Electronic Frontier Foundation, a privacy advocate. [...]

“Clearly, there are security concerns and privacy concerns,” [Pister] said, “and the good news is that when the radio technology was being developed for this stuff, it was shortly after all of the big concerns about Wi-Fi security. … We’ve got all the security tools we need underneath to make this information private.”

Further privacy concerns may arise if another vision for smart dust comes true. Some researchers are looking into making mobile phones into sensors.

In this scenario, the billions of people roaming the Earth with cell phones become the “smart dust.”

20-05-2010 om 23:57 geschreven door Vorser-Raadgever  

19-05-2010 om 22:59 geschreven door Vorser-Raadgever  

18-05-2010 om 23:34 geschreven door Vorser-Raadgever  

Photo from Flickr: fazen

Organophosphate Pesticides Linked to ADHD

Megan Brooks

Authors and Disclosures

May 17, 2010 — In a representative sample of US children, those with higher levels of organophosphate pesticide metabolites in their urine were more likely to have attention-deficit/hyperactivity disorder (ADHD) than children with lower levels, indicating less exposure to these compounds, researchers report in the June issue of Pediatrics, published online May 17.

"Each 10-fold increase in urinary concentration of organophosphate metabolites was associated with a 55% to 72% increase in the odds of ADHD," first study author Maryse F. Bouchard, PhD, of the Department of Environmental and Occupational Health, University of Montreal, Quebec, Canada, told Medscape Psychiatry.

Previous similar investigations, Dr. Bouchard noted, have focused on "special groups with high levels of exposure, such as children from agricultural communities, and reported pesticides-related cognitive deficits (involving memory and attention), and behavioral problems. The present study is the first investigation on children's neurodevelopment to be conducted in a group with no particular pesticide exposure."

"Groundbreaking Study"

Michael L. Goldstein, MD, who was not involved in the study, said the study results are "very interesting findings from a very well-done study from a good database." The report, he said, "certainly got my attention when I read it; I was really impressed by it. I think it is a groundbreaking study, added Dr. Goldstein, a specialist in child neurology with Western Neurological Associates in Salt Lake City, Utah, and a faculty member of the American Academy of Neurology.

The findings are based on cross-sectional data on 1139 children, aged 8 to 15 years, from the National Health and Nutrition Examination Survey (2000-2004). One hundred nineteen of the children met current diagnostic criteria for ADHD. When children taking ADHD medication were included as case subjects, there were 148 cases.

Six urinary dialkyl phosphate (DAP) metabolites, resulting from the degradation of different organophosphates, were measured in urine to provide an indicator of the body burden of common organophosphates. The proportions of children with urinary DAP concentrations below the detection limit were between 35.7% and 80.0%. Most children (93.8%) had one or more detectable metabolites of the 6 DAPs measured. Sex, race/ethnicity, and fasting duration were not significantly associated with DAP metabolite concentrations (all P > .3).

For the most commonly detected pesticide metabolite, dimethyl thiophosphate (64.3%), those with levels higher than the median of detectable concentrations had nearly twice the odds of ADHD (adjusted odds ratio [OR], 1.93; 95% confidence interval [CI], 1.23 – 3.02) compared with children with undetectable levels. The adjusted OR was higher when children taking ADHD medication were included as case subjects (adjusted OR, 2.12; 95% CI, 1.32 – 3.43).

Link Makes Biologic Sense

Several biological mechanisms might underlie an association between organophosphate pesticides and ADHD.

"It is very well established that organophosphates disrupt brain neurochemical activity. Indeed, their efficacy as pesticides result from their toxic effect on the central nervous system of insects," Dr. Bouchard noted.

"In particular, organophosphates disrupt the activity of acetylcholine, a neurotransmitter also implicated in ADHD. In addition, certain organophosphates affect growth factors, several neurotransmitter systems, and second messenger systems. These changes in brain activity could well result in ADHD-like symptoms," she said.

Dr. Goldstein said the data on organophosphate pesticides and ADHD "look like the data we saw 30 to 40 years ago with lead exposure, and it may turn out to be the same thing — that even small exposures (to organophosphate pesticides) are very harmful to kids."

Need for Replication of Results

The current study, Dr. Bouchard's team points out, had several limitations — the most important one being the use of only 1 spot urine sample to assess organophosphate exposure.

"Given the cross-sectional nature of our analysis, we cannot rule out the possibility that children with ADHD engage in behaviors that expose them to higher levels of organophosphates," they write.

However, given that DAPs are eliminated from the body after 3 to 6 days, their detection in the urine of most children studied indicates continuing exposure.

Approximately 40 organophosphate pesticides are registered with the US Environmental Protection Agency (EPA), the investigators note in their report. In 2001, 73 million pounds of organophosphates were used in both agricultural and residential settings. Diet is a major source of pesticide exposure for children. According to a 2008 US report, detectable concentrations of the organophosphate malathion were found in 28% of frozen blueberry samples, 25% of strawberry samples, and 19% of celery samples.

"This is the first study to link exposure to pesticides at levels common in the general population with adverse health effects," said Dr. Bouchard. "These findings should be replicated before strong conclusion can be made. However, it seems prudent to reduce pesticides exposure by reducing their use in agriculture."

Industry Response

In a written statement to Medscape Psychiatry, CropLife America, an industry group representing the developers, manufacturers, formulators, and distributors of plant science solutions for agriculture and pest management in the United States, said their review of the study "leads us to believe much more research is needed to ascertain if there is a direct link between exposure to organophosphate pesticides and the development of ADHD in children.

"All crop protection products are extensively reviewed by regulatory agencies before approval for market use. Many scientific factors are examined by government pesticide regulators, based on extensive laboratory testing, all of which are intended to guarantee safety for the environment and people, including children," the statement reads. "The class of crop protection compound that is the subject of this study has been approved and registered by the US EPA, and when used according to the label, the EPA has determined it to be safe."

The study was supported by a grant from the National Institute of Environmental Health Sciences. The study authors and Dr. Goldstein have disclosed no relevant financial relationships.

Pediatrics. Published online May 17, 2010.

17-05-2010 om 22:32 geschreven door Vorser-Raadgever