Di Rupo, stopt er dus mee om preformateur te zijn. Hij begeestert op zulkdanige wijze de geesten dat ook kabouter Wesley besluit om er mee te stoppen; Valt nu het doek over België? In elk geval zal het moeilijk worden olm nog met elkaar te praten. Als we de lezersbrieven lezen in De Standaard dan kunnen we slechts besluiten dat de meeste Vlamingen die een reactie opsturen één grote afdeling zwakzinnigen zijn. Maar als we de Franstalige pers erop na vlooien is het daar al niet beter. Daar duikt nu plots het "plan B" op en dat gaat dan over niks minder dan de totale splitsing van Belgistan. Wil er ons hier nu iemand komen uitleggen wie dat gaat onderhandelen als we nog niet eens de splitsing van Brussel-Halle-Vilvoorde met elkaar deftig kunnen afspreken?
« Il faut préparer le plan B »
BEATRICE DELVAUX
vendredi 03 septembre 2010, 08:35
Elio Di Rupo a soumis une dernière offre. La
galère ou lenfer : cest le choix cornélien qui semble offert au monde
politique, si lon en croit lambiance détestable qui règne désormais au
sein du groupe de négociateurs. Par Béatrice Delvaux, rédactrice en chef du Soir
La galère ou lenfer. Cest le choix
cornélien qui semble offert au monde politique, si lon en croit
lambiance détestable qui règne désormais au sein du groupe de
négociateurs.
Il était évident que les négociations pour cette
grande réforme institutionnelle ne seraient pas une partie de plaisir et
ne seraient pas réglées en deux coups de cuillère à pot. Mais elles ne
devaient pas forcément devenir ce jeu de cache-cache dans lequel elles
ont sombré depuis la fin de la semaine dernière.
Un accord de
cette ampleur et de cette importance mérite quon y passe du temps,
quon se bagarre, quon multiplie les pistes de solutions, quon défende
bec et ongles ses impératifs, quon discute jusquau bout de la nuit.
Mais il nimplique pas forcément ce jeu de dupes, où nombre de partis,
les francophones et certains flamands, se demandent toujours deux mois
après louverture des négociations, à quoi joue la N-VA. Bart De Wever
et ses amis peuvent-ils enfin jouer le jeu, cadrer leurs demandes :
négocient-ils une séparation sans le dire ? (Incroyable en fait quon en
soit toujours à cette question).
La clarté vaut mieux quun
processus qui mine la confiance, transforme la négociation en un piège
et les négociateurs en dindons dune mauvaise farce.
Pendant
ce temps, lusure fait son travail et un sentiment grandit, croissant
chez des francophones qui petit à petit font leur deuil de leur
Belgique. Et de se dire que si un accord par consensus devait être
synonyme de mascarade et de jeu de dupes, alors vaudrait-il mieux
franchement prendre lautre voie : la séparation, ou quelque chose
dapprochant.
Que la N-VA ne se réjouisse pas trop vite. Si
cette séparation ou son ersatz devenait plus quune hypothèse décole,
elle ne se fera pas à ses conditions. Les francophones se doivent de
préparer cette épure dans les détails, en veillant à ce que Bruxelles y
figure comme Région à part entière. Car entre une galère imposée ou un
enfer subi, ils doivent le moment venu, pouvoir offrir une autre porte
de sortie à leurs concitoyens, qui leur rende la maîtrise de leur
destin. Il faut préparer le plan B.
De
gewezen woordvoerder van cdH-voorzitster Joëlle Milquet en nu directeur
van een communicatiebureau, Alain Raviart, heeft in een open brief
N-VA-voorzitter "Bonabart" De Wever opgeroepen de Franstaligen niet te
behandelen als "stoofvlees". Het cdH distantieert zich van de open
brief.
Raviart
en De Wever kennen elkaar van tijdens de oranje-blauwe onderhandelingen
op Hertoginnedal tijdens de zomer van 2007. Raviart schrijft dat ze
toen een soort van verstandhouding hadden. "'Ik heb gelijk en Milquet
heeft gelijk'", zei je toen.
'Delpérée
is les aan het geven en daarvoor zijn we niet hier', mijmerde je toen
terecht. 'Het einde van Belgi' zal ik misschien nooit meemaken. Ik
respecteer het democratisch systeem', verzekerde je toen. Charmant.
Bijna", schrijft Raviart in de open brief.
Twee
verkiezingen later heeft de N-VA-voorzitter niet ingeboet op zijn
communicatietalent, merkt Raviart op. De ex-woordvoerder en journalist
voegt er wel aan toe dat de ongecompliceerdheid van De Wever nu gepaard
gaat met simplisme en geeft daarbij het voorbeeld van preformateur Di
Rupo die zijn gemeenschap zou moeten laten vallen indien hij eerste
minister wil worden.
"Een ondergeschikt ras" "Wat
een onverbiddelijke logica. Maar het betekent ook dat Walen en
Brusselaars het niet verdienen om verdedigd te worden, in tegenstelling
tot de zwaarste criminelen. Jullie zijn een minder goed merk, om niet te
zeggen een ondergeschikt ras", fulmineert Raviart, die het ook niet
neemt dat De Wever eist dat enkel PS en N-VA onderhandelen, "alsof de
kiezers van andere partijen alleen maar hebben gekozen voor ja-knikkers
die niets te zeggen hebben".
Raviart
vergelijkt De Wever met de Libische leider Khadafi, die deze week
enkele honderden Italiaanse schoonheden opriep zich te bekeren tot de
islam. "Bart je Khadafiseert jezelf, je behandelt de Franstaligen als
stoofvlees en doet alsof het volstaat dat ze smelten of vervlaamsen",
luidt het. (belga/mvdb)
Par Frédéric Cauderlier dans Divers , le 2 septembre 2010 11h09
Salut Bart, On
se connaît un peu. En 2007, nous avons échangé quelques idées dans les
salons de Val Duchesse. Les autres négociaient à côté létrange Orange
Bleue. Nous
avions trouvé une sorte de complicité sur lanalyse de la situation : «
jai raison et Milquet aussi», disais-tu; « Delpérée donne des leçons
et on nest pas là pour ça», rêvais-tu à juste titre; « la fin de la
Belgique, je ne la vivrai peut-être pas, je respecte le système
démocratique », assurais-tu. Charmant. Presque. 1 000 jours et deux élections plus tard. Tu
as compris et restes fidèle à ce que beaucoup dautres narrivent pas à
appliquer : la communication politique doit être simple. Et cest sa
principale difficulté parce quen Belgique tout est compliqué. Mais elle
doit se baser aussi sur des principes de réalité, de cohérence,
dhonnêteté intellectuelle et de crédibilité au risque un jour de passer
de lefficacité à la débilité. La communication politique doit donc être simple mais pas simpliste. Et Bart, tu es aujourdhui un communicant simple et simpliste. Car quoi ? «
Di Rupo doit lâcher sa communauté » Simple en effet comme argument,
cest le prix pour devenir 1er ministre. Quelle logique implacable !
Mais cela signifie que Wallons !, Bruxellois !, vous ne méritez même pas
dêtre défendus, au contraire du pire des criminels. Vous êtes une sous
marque pour ne pas dire une sous race. Ça, cest pire que du simplisme. Autre
revendication simple de Bart, négocions rien quentre PS et NVA te
faire voir celui qui ne suit pas. Electeurs de Ecolo, du cdH voire du MR
vous avez élu des presse-boutons mono-neuronaux, qui nont rien à dire,
privés quils sont de tout libre examen et de toute pensée libre. Toi,
Napoléon Bonabart, Empereur de droit divin. A 12h15, Di Rupo dit non à
ta formule à deux ; 18 heures, peu importe, tu lances ton exigence. En
Belgique comme au tennis, il faut être au moins deux pour monter sur le
terrain. Et voilà que tu joues au jokari politique. En réalité, tu veux
être tout seul. Définitivement, tu es un petit polisson. Par
ailleurs, Jules Verne prédisait lui le tour du monde en 80 jours et il
ta fallu 80 jours pour te rendre compte que ce serait bien décrire les
accords. Avec toi, Phileas Fogg naurait jamais vu le jour. Voyage en
Bartsurdie où un gouvernement nest éternellement pas pour demain. Autrement
plus cocasse. Même les journalistes francophones de RTL et de la RTBF
ne pouvaient pas lundi te poser de questions. Leurs confrères flamands
ont dû les poser à leur place. Les scribouillards de la langue de
Voltaire nont plus accès à toi, ô toi, nouveau maître de la langue de
Vondel. Enfin,
pour terminer lapologie de ton discours : « pas de chèque en blanc
pour Bruxelles ! » Bien sûr, encore une évidence communicationnelle.
Mais, attention, Bart, les chèques en bois et en noir sont beaucoup plus
dangereux. Bref,
Bart, tu te Kadhafises. A linstar du dictateur lybien qui proclamait
cette semaine que la majorité des italiens devraient se convertir à
lIslam, tu prends juste les francophones pour des carbonades quil
suffirait de fondre ou de flamandiser. Au plaisir de te lire, Alain Raviart, chroniqueur et très ancien porte-parole de Joëlle 2 septembre 2010.
Jef Ulburghs was de jongste zoon in een relatief
welstellend landbouwers- en kleinhandelaarsgezin te Zolder. Zijn vader,
een veekoopman, was de promotor van de lokale coöperatieve melkerij en
de aan- en verkoopvereniging. In de zomer van 1941 besloot Ulburghs om
priester te worden. Als seminarist ontwikkelde hij een grote
belangstelling voor de sociale pastoraal, hierbij duidelijk beïnvloed
door zijn KSA-gouwproost Philips en KAJ-voorman Jozef Cardijn. "De
christelijke God", zo verwoordde Ulburghs het zelf, "kan je alleen maar
ontdekken in de gelaatsuitdrukking van de lijdende, strijdende en
hopende mens. Het lijden van Christus herhaalt zich elke dag opnieuw in
de vernederingen en het onrecht waarvan de onderdrukte mens het
slachtoffer wordt en waartegen hij zich verzet".
Na zijn
priesterwijding in 1947 werd hij onderpastoor in een wijkkapel van de
Paroisse Saint-Rémy in Grâce-Berleur. Het is een grauwe
mijnwerkersparochie waar in juli 1950 bij onlusten n.a.v. de
koningskwestie drie doden vielen. In 1955 werd de kapelanij de nieuwe
Paroisse de Notre-Dame Auxiliatrice van Berleur en promoveert Ulburghs
tot pastoor.
In 1962 werd Ulburghs benoemd tot proost van sociale
werken te Seraing. Hij stichtte er een volkshogeschool voor arbeiders,
de Ecole Supérieure de Formation Ouvrière. Met de zogenaamde
Schoolgemeenschappen, een tweede initiatief, streefde Ulburghs naar een
vernieuwing van het onderwijs voor arbeiderskinderen, door het nauwer te
laten aansluiten bij hun concrete leefwereld. Zelf ging Ulburghs in de
jaren 1960 aan de Leuvense universiteit catechese en politieke en
sociale wetenschappen studeren.
In 1969 moest Ulburghs
(duidelijk tegen zijn zin) uit Seraing terugkeren naar Limburg. Van
bisschop Jozef Heusschen kreeg hij daar de ruimte om zijn experimenten
met sociaal vormingswerk verder te zetten. Hij werd adjunct -secretaris
van de diocesane Pastorale Raad, begeleider van de parochieraden en
voorzitter van de diocesane Commissie Justitia et Pax. De door Ulburghs
naar Luiks voorbeeld gestichte vormingsbeweging Gemeenschap en
Ontwikkeling, in 1970 herdoopt tot Wereldscholen, probeerde door lokale
vormingsactiviteiten een zo ruim mogelijk publiek te sensibiliseren en
te mobiliseren rond actuele maatschappelijke thema's. Er kwamen al snel
afgeleide initiatieven zoals een Arbeidersuniversiteit, het Centrum
voor Vorming en Actie en de basisvormingsbeweging Vorming tot
Bevrijding.
Het sociaal-bewogen en maatschappijkritisch
engagement van Ulburghs bracht hem in de jaren 1970 herhaaldelijk in
aanvaring met zijn kerkelijke oversten. In 1977 werd hij benoemd tot
onderpastoor te Zwartberg. Daar zette hij zijn basiswerk verder.
Ulburghs steunde uitdrukkelijk de syndicale strijd van de Limburgse
mijnwerkers en zette zich in voor de politiek-onmondige migranten. In
kansarme wijken (bv. Nieuw Sledderlo) werden buurthuizen en
huurdersorganisaties opgericht. Tot de slopershamer veroordeelde
volksbuurten als Texas-Waterschei en Mommeplas-Heusden werden na
aanhoudende acties van de bewoners gerenoveerd. Ulburghs en zijn
medewerkers uit Wereldscholen namen het voortouw bij het massale
Limburgse protest tegen de aanleg van de autosnelweg A 24.
Al
tijdens de jaren 1960 (als voorzitter van Justitia et Pax Limburg) begon
Ulburghs zich te interesseren voor de derde-wereldproblematiek en de
bevrijdingstheologie. Hij legde tal van internationale contacten,
richtte een Internationaal Ontmoetingscentrum van Basisgroepen op,
werkte mee in het NCOS en Broederlijk Delen en nam in 1971 voor het
eerst deel aan de UNCTAD-conferentie te Santiago. Ulburghs zette zich in
voor politieke vluchtelingen, gevangenen en minderheden en kloeg in
binnen- en buitenland de groeiende noord-zuidkloof aan.
Als
onafhankelijke "Doorbraak"-kandidaat van de SP was Ulburghs lid van de
Genkse gemeenteraad van 1982 tot 1988 en lid van het Europees Parlement
van 1984 tot 1989. Zijn wedde van EP-lid wer
d voor een groot gedeelte gestort in een Sociaal Fonds waarmee
allerhande maatschappelijke projecten werden gefinancierd. In 1989 werd
hij door de SP niet meer voorgedragen voor het EP omwille van de
leeftijdsgrens. Voor Agalev werd hij senator en lid van de Vlaamse Raad
van 1991 tot 1995 en gemeenteraadslid in Genk van 1994 tot eind 1995.
en hier zijn we dan weer, beste lezertjes, met ons favoriete onderwerp en doorn in ons oog: de slimme meters. Onlangs
verscheen in lEcho de la Bourse een interview met Francois Ghigny, de
grote baas van de CWAPE die de Waalse tegenhanger is van de Vlaamse
VREG. Terwijl het stilaan vrij duidelijk aan het worden is dat de VREG
met alle middelen de slimme meters promoot, hebben we de indruk dat
men het in Wallonië verstandiger wil aanpakken en in elk geval
financieel gunstiger voor de klant. Wat we hier nu al een tijdje beweren
dat niemand, behalve de commerciële diensten van de leveranciers, echt
zit te springen om alle individuele meetgegevens per klant te ontvangen,
wordt nu ook bijgetreden door de CWAPE. Men
is niet tegen slimme meters maar men moet de uitrol verstandig
aanpakken. Niet overal meteen overal slimme meters plaatsen. Enkel daar
waar ze onmiddellijk hun nut kunnen bewijzen en voor de rest volstaat
een veel kleiner aantal meetpunten om de netten reeds intelligent te
maken...resultaat? Veel minder duur voor de consument...Dank u Meneer
Ghigny, we zien het jouw Vlaamse collega Pictoel nog niet meteen doen,
deze stelling verdedigen... De
werkgroepen die door de VREG werden opgericht hebben nog NOOIT deze
stelling zelfs maar willen onderzieken. Sterker nog, toen binnen de
wekgroepen door zowel ACV als het Vlaamse ABVV werd aangedrongen op een
nieuwe kosten-batenanalyse omdat de VREG zelf beweerde dat de ongunstig
uitgevallen Kema-studie zogezegd onvoldoende onderbouwd was, werd er
rond deze vraag gefietst dat het niet meer mooi was. Het verslag van de
werkgroepen werd volgens onze getuigen (verschillende dus) die deelnamen
aan deze werkgroep zwaar gemanipuleerd zodat er op deze vraag niet
moest worden ingegaan. Maar we noteren met veel plezier dat er dus
vanuit de vakbonden begint reactie los te komen. In elk geval bewijst de
uitspraak van de baas van de CWAPE zeer duidelijk dat er alternatieven
zijn die niet meteen de klanten op torenhoge kosten jagen en dat er een
gefaseerde uitrol van de slimme meters mogelijk is.
Le
directeur de la Commission wallonne pour lénergie dresse un bilan
positif de la libéralisation. Pour préparer la suite, il veut lancer une
réflexion avec les acteurs concernés. Pour
Francis Ghigny, le directeur de la Commission wallonne pour lénergie
(CWaPE), il est urgent dadapter les réseaux de transport et de
distribution délectricité au développement des énergies renouvelables.
Le père des certificats verts, un mécanisme quil a conçu lorsquil
était au cabinet du ministre de lEnergie José Daras, appelle les
gestionnaires de réseau (GRD) à investir dans les réseaux intelligents,
ou "smart grids". Encore
faut-il faire les bons choix. Et là, le directeur de la CWaPE avertit :
il faut éviter les investissements trop hâtifs, comme les "compteurs
intelligents", dont linstallation coûterait 600 euros par ménages. Ces systèmes calculent en temps réel la consommation dun foyer et renvoient linformation au GRD. Ils
ont un avenir, mais lorsque le réseau sera adapté aux énergies
renouvelables, affirme Francis Ghigny. Aujourdhui, ce serait la dépense
de trop : leur installation coûterait 600 euros par ménage. Pour
avancer, la CWaPe propose au ministre wallon de lEnergie Jean-Marc
Nollet de créer un groupe de réflexion sur
les réseaux du futur, les "REDI" (réseaux électriques durables et
intelligents), avec les acteurs concernés, dont les entreprises et les
GRD. Après trois ans, quel bilan tirez-vous de la libéralisation?
Francis Ghigny: Plutôt
positif. Ceux qui attendaient une forte baisse des prix ont été déçus.
Cétait pourtant prévisible. A lépoque, il y avait une sorte de pensée
unique pour que les prix baissent. En réalité, cétait loin dêtre
évident. Le plus important, aujourdhui, cest que les gens ont enfin
pris conscience de ce quils consomment. On peut désormais aller plus
loin et les faire agir. Les clients sont aussi beaucoup plus
revendicatifs quavant. Autre constat, le système fonctionne, même sil
est un peu plus complexe. Il ny a pas eu de blackout. Dernier avantage,
et non des moindres, louverture du marché a permis à de nouveaux
acteurs de y pénétrer en sappuyant sur lénergie renouvelable, grâce au
mécanisme des certificats verts mis en place en 2003. Tous les trois
ans, la production wallonne délectricité renouvelable double. Cest un
grand succès. Electrabel
reste dominant. Ne faut-il pas accélérer lentrée dautres producteurs,
par exemple pour réduire les prix payés par lindustrie? Ghigny:
Electrabel a lavantage de posséder les installations de production.
Une solution serait de lobliger à en vendre une partie à de nouveaux
opérateurs. Mais cela ne ferait pas forcément baisser les prix, que du
contraire, car lachat de ces installations devrait être amorti.
Aujourdhui, la diversification se fait plutôt à léchelle européenne.
Electrabel a trouvé des nouveaux marchés et ses centrales servent à
alimenter les clients à létranger, ce qui laisse la place pour des
nouveaux opérateurs en Belgique. Quant aux prix, on constate une
harmonisation entre les différents pays. Les industriels wallons payent
le même prix dans toute la zone couverte par Belpex (Belgique, France,
Allemagne, Pays-Bas). Contrairement
à la Belgique, les Etats voisins restent présents dans leurs groupes
énergétiques. Cela ne risque-t-il pas daccroître notre dépendance ? Ghigny:
Si certains pays conservent la maîtrise de leur parc de production,
cest que la libéralisation ne sy déroule pas bien. Si Electrabel était
restée sous la coupole belge, on aurait pu mieux linfluencer, mais la
concurrence aurait été, au final, encore moins bonne quaujourdhui.
Donc, je ne déplore pas quElectrabel soit intégrée dans GDF Suez. Si on
veut la libéralisation, il faut pouvoir accepter que des acteurs
agissent sur un territoire plus large que la Belgique. La Wallonie est-elle prête à la sortie du nucléaire? Ghigny:
Nous pouvons sortir du nucléaire si nous contrôlons notre consommation
délectricité et si nous développons de nouvelles centrales de
production. Il faudrait créer un cadre stable pour inciter les
opérateurs à installer davantage de capacités en Wallonie, mais cest
une compétence fédérale. De plus, les producteurs naiment pas être en
surcapacité, car cela diminue leurs marges. La difficulté vient aussi de
certaines incertitudes quant aux décisions à prendre en matière daménaLEurope
a cédé au lobby des équipementiers, qui font croire que tous les
problèmes pourront se régler avec une technologie sophistiquée. Mais
pour moi, ce nest par clair. Il faut dabord se demander à quoi ils
vont servir. Il y a une volonté industrielle de développer les compteurs
intelligents, mais cela ne rejoint pas nos priorités en termes
dintégration des renouvelables et de limitation des consommations.
Dautant plus que la facture finale serait payée par le consommateur.gement
du territoire. Au niveau régional, il faut encourager la production
décentralisée à partir du renouvelable, et là, ça se passe bien, sur un
rythme très élevé. Les certificats verts continuent à donner une grande
impulsion. Quel est lenjeu le plus urgent pour le marché wallon de lénergie? Ghigny:
Lenjeu, cest le développement des énergies renouvelables : éolien,
hydraulique, photovoltaïque, biomasse. Nous avons les moyens de le
faire. Par contre, ce qui manque, cest parfois la capacité du réseau à
accueillir ces productions supplémentaires. Les gestionnaires de réseau
(GRD) doivent investir maintenant dans une gestion dynamique du réseau :
les "smart grids" (réseaux intelligents). Cest fondamental. Le GRD
doit sarranger pour que le réseau puisse absorber dans toutes les
conditions la production centralisée. Il faut pouvoir, par exemple,
arrêter une unité de production si le réseau est saturé. Ces situations
sont rares, mais il faut pouvoir agir quand cest nécessaire. Il faut
aussi moduler la consommation finale en fonction de la production. Les
panneaux photovoltaïques fleurissent dans certains quartiers. En été,
les gens ne sont pas là et ne consomment pas, ce qui crée un surcroît
délectricité que le réseau narrive pas à absorber. LEurope veut généraliser les "compteurs intelligents". Quen pensez-vous? Ghigny: Quel est le coût de ces compteurs ? Ghigny:
Le coût est estimé à un milliard deuros pour la Wallonie, si on fait
un placement généralisé, quartier par quartier. A charge du
consommateur. Les réseaux wallons sont déjà plus chers que dans les
autres régions, en raison dune densité de population moindre. Les
Wallons doivent donc faire preuve de plus dingéniosité quant aux choix
des techniques à mettre en uvre. Les compteurs intelligents vont
arriver bien sûr, mais il faut commencer par les mettre là où cest le
plus pertinent : là où les gens consomment beaucoup et là où il y a des
compteurs à budget. Sinon, le surcoût par ménage serait compris entre 50
et 100 euros par an, sans quil y ait toujours de réels bénéfices. Nous
préconisons donc de commencer par développer les réseaux intelligents,
ce qui demande seulement dinstaller un millier de points de mesure,
localisés dans les cabines de transformation, plutôt que de remplacer
1,7 million de compteurs. Comment la Région wallonne peut-elle éviter le dérapage ? Ghigny:
Jai écris cette semaine une lettre au ministre de lEnergie pour lui
proposer de constituer un groupe de réflexion sur lavenir des réseaux
électriques. Lobjectif sera de définir les priorités du secteur en
termes de renouvelable, de diminution de la consommation, de limitation
du coût, des pertes de réseau Si on se met daccord, on pourra
facilement définir les investissements. Si on ne le fait pas, on risque
de se faire imposer les priorités par dautres. Vous sentez une ouverture du côté du ministre de lEnergie ? Ghigny:
Oui. Cela rejoint très fort leurs préoccupations. Le seul risque est de
succomber à la poussée venant de certains acteurs européens et de
décider de manière précipitée. Pensez-vous quil faille transférer plus de compétences énergétiques aux Régions ? Ghigny:
Cela dépend jusquoù on va. Si la tarification des réseaux de
distribution est accordée aux régions, cest une avancée. Cest
dailleurs ce qui se discute dans le cadre des négociations fédérales.
Actuellement, cest la Creg, le régulateur fédéral, qui approuve les
tarifs de distribution. Ce nest pas cohérent, car ce sont les
gouvernements régionaux qui décident du développement du réseau, des
énergies renouvelables et des obligations de service public. Or tout
cela conditionne les coûts. Par contre, je ne vois pas la nécessité de
régionaliser les compétences relatives au transport de plus de 70.000
volts, au nucléaire ou aux grandes centrales. La Région wallonne met en place une redevance de voirie sur le gaz. Quen pensez-vous ? Ghigny:
Le principe dune redevance ne me choque pas. Elle existe pour
lélectricité depuis 2001. Mais une redevance sur le gaz pénalise une
énergie plus propre que le mazout ou lélectricité. Linitiative est un
peu risquée. Francis Ghigny: Plutôt
positif. Ceux qui attendaient une forte baisse des prix ont été déçus.
Cétait pourtant prévisible. A lépoque, il y avait une sorte de pensée
unique pour que les prix baissent. En réalité, cétait loin dêtre
évident. Le plus important, aujourdhui, cest que les gens ont enfin
pris conscience de ce quils consomment. On peut désormais aller plus
loin et les faire agir. Les clients sont aussi beaucoup plus
revendicatifs quavant. Autre constat, le système fonctionne, même sil
est un peu plus complexe. Il ny a pas eu de blackout. Dernier avantage,
et non des moindres, louverture du marché a permis à de nouveaux
acteurs de y pénétrer en sappuyant sur lénergie renouvelable, grâce au
mécanisme des certificats verts mis en place en 2003. Tous les trois
ans, la production wallonne délectricité renouvelable double. Cest un
grand succès. Electrabel
reste dominant. Ne faut-il pas accélérer lentrée dautres producteurs,
par exemple pour réduire les prix payés par lindustrie? Ghigny:
Electrabel a lavantage de posséder les installations de production.
Une solution serait de lobliger à en vendre une partie à de nouveaux
opérateurs. Mais cela ne ferait pas forcément baisser les prix, que du
contraire, car lachat de ces installations devrait être amorti.
Aujourdhui, la diversification se fait plutôt à léchelle européenne.
Electrabel a trouvé des nouveaux marchés et ses centrales servent à
alimenter les clients à létranger, ce qui laisse la place pour des
nouveaux opérateurs en Belgique. Quant aux prix, on constate une
harmonisation entre les différents pays. Les industriels wallons payent
le même prix dans toute la zone couverte par Belpex (Belgique, France,
Allemagne, Pays-Bas). Contrairement
à la Belgique, les Etats voisins restent présents dans leurs groupes
énergétiques. Cela ne risque-t-il pas daccroître notre dépendance ? Ghigny:
Si certains pays conservent la maîtrise de leur parc de production,
cest que la libéralisation ne sy déroule pas bien. Si Electrabel était
restée sous la coupole belge, on aurait pu mieux linfluencer, mais la
concurrence aurait été, au final, encore moins bonne quaujourdhui.
Donc, je ne déplore pas quElectrabel soit intégrée dans GDF Suez. Si on
veut la libéralisation, il faut pouvoir accepter que des acteurs
agissent sur un territoire plus large que la Belgique. La Wallonie est-elle prête à la sortie du nucléaire? Ghigny:
Nous pouvons sortir du nucléaire si nous contrôlons notre consommation
délectricité et si nous développons de nouvelles centrales de
production. Il faudrait créer un cadre stable pour inciter les
opérateurs à installer davantage de capacités en Wallonie, mais cest
une compétence fédérale. De plus, les producteurs naiment pas être en
surcapacité, car cela diminue leurs marges. La difficulté vient aussi de
certaines incertitudes quant aux décisions à prendre en matière
daménagement du territoire. Au niveau régional, il faut encourager la
production décentralisée à partir du renouvelable, et là, ça se passe
bien, sur un rythme très élevé. Les certificats verts continuent à
donner une grande impulsion. Quel est lenjeu le plus urgent pour le marché wallon de lénergie? Ghigny:
Lenjeu, cest le développement des énergies renouvelables : éolien,
hydraulique, photovoltaïque, biomasse. Nous avons les moyens de le
faire. Par contre, ce qui manque, cest parfois la capacité du réseau à
accueillir ces productions supplémentaires. Les gestionnaires de réseau
(GRD) doivent investir maintenant dans une gestion dynamique du réseau :
les "smart grids" (réseaux intelligents). Cest fondamental. Le GRD
doit sarranger pour que le réseau puisse absorber dans toutes les
conditions la production centralisée. Il faut pouvoir, par exemple,
arrêter une unité de production si le réseau est saturé. Ces situations
sont rares, mais il faut pouvoir agir quand cest nécessaire. Il faut
aussi moduler la consommation finale en fonction de la production. Les
panneaux photovoltaïques fleurissent dans certains quartiers. En été,
les gens ne sont pas là et ne consomment pas, ce qui crée un surcroît
délectricité que le réseau narrive pas à absorber. LEurope veut généraliser les "compteurs intelligents". Quen pensez-vous? Ghigny: LEurope
a cédé au lobby des équipementiers, qui font croire que tous les
problèmes pourront se régler avec une technologie sophistiquée. Mais
pour moi, ce nest par clair. Il faut dabord se demander à quoi ils
vont servir. Il y a une volonté industrielle de développer les compteurs
intelligents, mais cela ne rejoint pas nos priorités en termes
dintégration des renouvelables et de limitation des consommations.
Dautant plus que la facture finale serait payée par le consommateur. Quel est le coût de ces compteurs ? Ghigny: Le
coût est estimé à un milliard deuros pour la Wallonie, si on fait un
placement généralisé, quartier par quartier. A charge du consommateur.
Les réseaux wallons sont déjà plus chers que dans les autres régions, en
raison dune densité de population moindre. Les Wallons doivent donc
faire preuve de plus dingéniosité quant aux choix des techniques à
mettre en uvre. Les compteurs intelligents vont arriver bien sûr, mais
il faut commencer par les mettre là où cest le plus pertinent : là où
les gens consomment beaucoup et là où il y a des compteurs à budget.
Sinon, le surcoût par ménage serait compris entre 50 et 100 euros par
an, sans quil y ait toujours de réels bénéfices. Nous préconisons donc
de commencer par développer les réseaux intelligents, ce qui demande
seulement dinstaller un millier de points de mesure, localisés dans les
cabines de transformation, plutôt que de remplacer 1,7 million de
compteurs. Comment la Région wallonne peut-elle éviter le dérapage ? Ghigny:
Jai écris cette semaine une lettre au ministre de lEnergie pour lui
proposer de constituer un groupe de réflexion sur lavenir des réseaux
électriques. Lobjectif sera de définir les priorités du secteur en
termes de renouvelable, de diminution de la consommation, de limitation
du coût, des pertes de réseau Si on se met daccord, on pourra
facilement définir les investissements. Si on ne le fait pas, on risque
de se faire imposer les priorités par dautres. Vous sentez une ouverture du côté du ministre de lEnergie ? Ghigny:
Oui. Cela rejoint très fort leurs préoccupations. Le seul risque est de
succomber à la poussée venant de certains acteurs européens et de
décider de manière précipitée. Pensez-vous quil faille transférer plus de compétences énergétiques aux Régions ? Ghigny:
Cela dépend jusquoù on va. Si la tarification des réseaux de
distribution est accordée aux régions, cest une avancée. Cest
dailleurs ce qui se discute dans le cadre des négociations fédérales.
Actuellement, cest la Creg, le régulateur fédéral, qui approuve les
tarifs de distribution. Ce nest pas cohérent, car ce sont les
gouvernements régionaux qui décident du développement du réseau, des
énergies renouvelables et des obligations de service public. Or tout
cela conditionne les coûts. Par contre, je ne vois pas la nécessité de
régionaliser les compétences relatives au transport de plus de 70.000
volts, au nucléaire ou aux grandes centrales. La Région wallonne met en place une redevance de voirie sur le gaz. Quen pensez-vous ? Ghigny:
Le principe dune redevance ne me choque pas. Elle existe pour
lélectricité depuis 2001. Mais une redevance sur le gaz pénalise une
énergie plus propre que le mazout ou lélectricité. Linitiative est un
peu risquée. L'Echo
Zo, beste lezertjes. We zitten middenin de grote impasse tijdens de preformatie. Jullie lezen het goed, tijdens de preformatie. Er worden niet genoeg garanties op papier gezet...er staat gewoonweg niks op papier. Punt uit! Dus we gaan nog niet eens iets kunnen "formeren" want het zit strop. We begrijpen het niet helemaal. Ofwel was iedereen tijdens dit soort onderhandelingen het eens over de gebruikte werkmethode van Di Rupo, ttz, discussiëren, aftasten, polsen enz...zonder in deze fase iets op papier te zetten. Ofwel was er reeds een probleem van bij het begin maar durfde blijkbaar niemand zijn bek opentrekken. Dat De Wever garanties vraagt. Ok, dat moet iedereen begrijpen. Minder duidelijk is het ogenblik waarop zoiets op papier moet. Gennez kan zagen en zuchten dat er nog nooit zo veel op tafel gelegd werd. We geloven haar blindelings. Maar er staat dus wel niks op papier omdat wij begrepen hadden dat dit tijdens deze zoegnaamde preformatie niet nodig was en dat dit pas later tijdens de formatie zou gebeuren. Waarom eist De Wever dan nu plots papieren garanties over dit deel van het akkoord. Had hij dan al iets op papier over de rest? Welke rol onze tsjeven hier spelen snappen we evenmin. Ze lijken wel plots een ééneïige tweeling, CD&v en NVA. Zelfs in de tijd dat ze een coalitie vormden was er nooit zo vèèl eensgezindheid. We beginnen te geloven dat ze eerst hun partner moeten buitengooien om dan te beseffen dat ze in feite niet meer zonder hem kunnen verder bestaan...Met deze strategie geven ze de Vlaamse kiezer alle gelegenheid om massaal NVA te stemmen. Sossen en Groenen orakelen dan maar weer dat de buit binnen was terwijl er inderdaad niks op papier staat... Maar pas op, de sociale partners zullen het zaakje wel vlot trekken. Zijn de sociale partners nu plots democratische partijen geworden die door de kiezer werden gemandateerd? Voor de patronale kant kunnen we hier moeilijk spreken wegens te weinig affiniteiten. Voor de vakbonden kunnen we enkel zeggen, blijf weg uit die rattennest. Een vakbond moet niet in een preformatie van een regering zitten. Een vakbond moet op de werkvloer staan en als het moet op straat als drukkingsgroep maar niet als beleidsmakers. Zelden maakten we zulke zielige vertoning mee....
Zuster Gabrielle, Pierre Mertens, Gaston Mornie.....DEEL III
Op
het uitstekende blog van Willy Vandamme lezen we dus dat de abt van de
Norbertijnerabdij van Grimbergen, kanunnik Mornie wegens herhaaldelijk
wangedrag zou hebben verbannen. Dat is niet geheel juist want Mornie
werd na de verdwijning van Zuster Gabrielle nog opnieuw in bescherming
genomen in de abdij van Grimbergen. Het is pas nadat Maurits
Robberechts, de broer van Zuster Gabrielle ook daar protesteerde voor de
deur dat Gaston Mornie naar andere oorden werd gestuurd zonder dat er
ooit van enige sanctie sprake is geweest tot in 1991.
Een anonieme reactie op het blog van Willy Vandamme spreekt nog
boekdelen over het personage van Gaston Mornie en zijn zogenaamde
behandeling... De
bewering over de broeders van liefde die in Vlaanderen bijna een
monopoliepositie hebben wat betreft de psychiatrische instellingen laten
we volledig over aan de anonieme schrijver...
Beste, Ik
heb nog gewerkt als verpleegkundige op de afdeling in het PC DR
Guislain in Gent waar Mornie weggemoffeld werd. Voor hij opgenomen werd
kwam de directeur ons eerst de les spellen hoe we hem moesten
behandelen. Gewoon walgelijk. Tijdens de opname deed hij alsof hij van
niets wist. Sukkelaars met een chronische problematiek zat hij na te
doen en uit te lachen. Verschillende keren heb ik tussenbeide moeten
komen wanneer hij zwakkeren wou strelen en zijn zin doen. Wanneer er
kinderen op bezoek kwamen moesten we hem naar zijn kamer brengen maar na
een tijdje weigerde hij dat. Het gaat hier me een gevaarlijk man met
zeer perverse en psychopate trekken. De broeders van liefde zijn net zoals heel het instituut kerk een zieke boel! Mvg
We herhalen dus nogmaals, het wordt de hoogste tijd dat er eindelijk een ernstig onderzoek gevoerd wordt in deze zaak en misschien zit er in de bewuste 140 meter dossiers die nu zijn in beslag genomen wel interessant materiaal.... Dat er in deze zaak zelfs overgegaan werd tot een publicatieverbod van een Nederlands tijdschrift om Mornie in bescherming te nemen is toch wel een duidelijk bewijs van doofpotoperatie. Men is zelfs nooit ingegaan op wat dit inderdaad niet altijd erg objectieve tijdschrift publiceerde over Mornie. Doodgewoon verboden. Bij ons weten is er evenmin echt een klacht neergelegd tegen het blad voor laster want dat had misschien kunnen leiden tot een objectief onderzoek van de feiten wat absoluut moest vermeden worden... Maar dit zijn dingen die misschien kunnen opgespoord worden in onze 140meter.... Laat ons in elk geval hopen dat er een vervolg komt!