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KOLOMMETJE N° 337

donderdag 15 september 2011

Le Petit La Rousse, de Kleine Rosse,

Is terug van weggeweest….

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En ons Frans oefenen zal nodig zijn! Als straks in gans Vlaanderen, zelfs tot in Zoutenaaie, een dorpje met een 30-tal inwoners, Franse scholen en Franse theaters (op onze kosten) uit de grond zullen rijzen, zullen wij dat goed kunnen gebruiken! Laat er dus geen de minste twijfel over bestaan : het ‘Minderheden Verdrag’ dat Europa ons oplegt, komt er door. We weten het alleen nog niet! Zodat die arme dutskes van Franscouillons eindelijk onze kabeljauws kunnen leren Frans tateren.

Voor wie het soms mocht vergeten zijn (of het anders gedroomd had) = we leven nog steeds in een aan Frankrijk en aan de Franse taal onderworpen Staat. Een Staat die de onze niet is, maar waar onze Grote Geesten ons weer aan handen en voeten gebonden, hebben aan overgeleverd. Energie en bankwezen worden gedirigeerd (en geïncasseerd) van uit de Lichtstad, waar horden Muzelmannen gewoon dagelijks op straat mogen samenkomen om …daar hun Godsdienst van de Wrede te demonstreren (*). Ons koningshuis minacht ons, want is volledig op het Frans en op Frankrijk georiënteerd. Paola minacht niet alleen de Vlamingen, ze minacht ook haar Italiaanse afkomst, vermits het koninklijk koppel liefst in Nice verblijft. Maar ook Nice verloochent zijn afkomst, want eigenlijk is de echte naam Nizza….en de stad was sedert de Romeinen, tot in de Moderne Tijden, gewoon Italiaans grondgebied…

Enfin, laten we maar zeggen : soort zoekt soort….koekoeksvolk onder elkaar!

Een blik achter de Vaderlandsche Fransdolle schermen spreekt boekdelen. Moesten de woorden kunnen grijnzen, hun dagbladen zouden bijna allemaal Ensor-schilderijen worden! Al moet ik toegeven, dat sedert Madam Beatrice Saccoche niet meer op de voorgrond treedt, het bij de Soir toch iets is gebeterd. Met spottende triomf  (of is het triomferende spot?) wordt daar kond gedaan, dat enfin die stomme Flamins het koppeke in de schoot hebben gelegd : de Patrie Une et Indivisible mag weer ademhalen, de afgrond is wat op afstand gekomen. Dank zij de Jeanette van Mons..

Mangain daarentegen….die man ziet er wel kerngezond uit, maar volgens mij lijdt die aan een ongeneeslijke ziekte die hij uitwerkt op de hand die hem voedt : grootheidswaanzin.

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Comment Di Rupo a arraché un accord

Martin Buxant

Mis en ligne le 15/09/2011

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Le formateur a jeté toutes ses forces dans la négociation afin d’accorder les 8 formations politiques sur BHV. Et a tapé du poing sur la table: “Bande d’irresponsables !”, a-t-il même lancé aux négociateurs.

Récit

Lundi soir. Yves Leterme invite Elio Di Rupo à le rejoindre : il veut faire savoir au formateur qu’il est en partance pour l’OCDE à Paris où il va être désigné secrétaire-général adjoint. Di Rupo félicite Leterme et les deux hommes conviennent de rester le plus discret possible à ce sujet. Ils discutent ensuite du budget à venir. Mardi, alors que Leterme annonce aux pontes de son parti qu’il met les voiles, le formateur reprend son bâton de pèlerin et consulte les partis flamands. Il retrouve De Croo, Van Besien et Gennez - mais pas Wouter Beke qui s’est cloîtré dans une salle du Sénat avec son directeur de cabinet, Eddy Peeters, pour formuler de nouvelles propositions concernant la nomination des bourgmestres de la périphérie. "Ce que fait Beke est irresponsable, lance Di Rupo aux trois Flamands, il doit quand même se montrer capable de boucler un accord : le pays est suspendu à sa décision. S’il ne le fait pas, tous ses électeurs vont finir par aller à la N-VA " Di Rupo est excédé et lance son GSM sur la table; il réclame un peu de compréhension et d’indulgence pour le président du MR Charles Michel qui tente d’éviter l’implosion de son parti. Beke rejoint le groupe et fait savoir au formateur que ses nouvelles propositions sont inacceptables pour le CD&V. Il formule lui-même des contre-propositions qui lancent sur la procédure de nomination des bourgmestres de la périphérie et sur la réforme du Sénat. Beke veut en fait en revenir à ses propres propositions - ce qui laisse Elio Di Rupo abasourdi. "Beke chicanait sur tout, se souvient un président de parti. De quoi parle-t-on ici ? On a les nuages socio-économiques qui s’amoncellent au-dessus de la Belgique et on passe notre temps sur trois bourgmestres qui de toute façon gèrent leurs communes depuis cinq ans. Je suis affligé".

Elio Di Rupo sent que les choses sont en train de lui échapper, il ne parvient pas à raisonner le patron des démocrates-chrétiens flamands. La CDH Joëlle Milquet est au Parlement et elle n’est pas du tout au courant que la situation s’envenime Ainsi clame-t-elle son optimisme : "Nous sommes proches d’un accord", dit-elle. Dans les couloirs du Parlement. L’humaniste traduit là un sentiment général des autres francophones : "Honnêtement, confie un président de parti, ce qu’a dit Joëlle Milquet à ce moment-là n’était pas faux". Di Rupo se rend une nouvelle fois en fin d’après-midi et dans la soirée auprès des quatre partis flamands. Il leur signifie que leurs demandes ne passeront jamais la rampe côté francophone. "Ça ne va pas !", leur dit-il, énervé. Le formateur a l’impression que le CD&V essaye de torpiller purement et simplement les négociations et se ménage une porte de sortie honorable.

Et il s’en retourne voir les responsables francophones. Il leur fait part des demandes du CD&V. Les francophones sont scandalisés. Le MR Charles Michel est atterré par ces nouveaux points avancés par le CD&V. Il ne quitte pas la table de négociations mais demande à pouvoir s’isoler cinq minutes Le formateur comprend l’agacement du président du MR : "Ce qu’est en train de faire le CD&V est inacceptable, confie-t-il à plusieurs négociateurs. Je comprends les difficultés de Charles", répète-t-il. Des caucus et petites réunions entre présidents d’une même famille politique ont lieu. On tente d’assouplir la position de Wouter Beke par tous les moyens. Mais rien n’y fait, et le formateur s’en désole L’un ou l’autre négociateur francophone s’inquiète même de voir Elio Di Rupo d’humeur aussi noire. Laurette Onkelinx est chargée d’essayer d’apaiser son président de parti. C’est qu’une réunion plénière entre Flamands et francophones a été convoquée et "il serait bon qu’Elio y arrive détendu", souligne alors un négociateur. Mais Elio Di Rupo est fâché devant les atermoiements des démocrates-chrétiens flamands. A plusieurs reprises, il a même menacé de se rendre au Palais - en guise d’avertissement. Il sait pertinemment bien que le Roi n’est pas là mais en vacances "Je vais leur dire ma façon de penser", lance alors Di Rupo au moment de se rendre à la séance plénière. Celle-ci débute vers 2h30 du matin. Elle durera en tout et pour tout une grosse dizaine de minutes. Le formateur se lève, se dirige vers la sortie, interrompant les palabres qui ne mènent à rien et lance : "Bande d’irresponsables !" "Di Rupo s’est épuisé physiquement et mentalement à essayer de convaincre Wouter Beke", constate un francophone. Ulcéré, il balance un communiqué de presse au vitriol vers 2h45 du matin appelant à un sursaut devant le blocage des négociations. Lucide, le patron des libéraux Alexander De Croo, postait un message sur son compte Twitter vers 3h du matin : "Point n’est besoin d’espérer pour entreprendre ni de réussir pour persévérer. Un pays sans gouvernement, sans Premier. Ce ne pouvait être un plus mauvais jour"

Quelques heures plus tard, cependant, dans la matinée du mercredi, le formateur reprenait ses consultations - notamment avec le CD&V - afin de constater si, oui ou non, les positions avaient une chance d’évoluer - alors qu’une réunion "de la dernière chance" était convoquée l’après-midi même. On apprenait également que le Roi revenait dare-dare de son lieu de villégiature dans le Sud de la France, ce qui ajoutait à la théâtralisation du moment.

De nouveaux textes de compromis sur Bruxelles-Hal-Vilvorde ainsi que sur la désignation des bourgmestres de la périphérie bruxelloise étaient imprimés et mis sur la table par le formateur. Et la négociation apparaissait finalement bien mieux embarquée puisque, dès la fin de l’après-midi, des signaux positifs faisaient état d’un accord entre les huit partis sur le dossier de BHV et des bourgmestres. Quelques fuites du contenu du préaccord sur Twitter en début de soirée ont, un temps, agité quelques négociateurs - avant que le calme et la sérénité ne regagnent les rangs. Alors dramatisation savamment orchestrée par le formateur afin de décrocher un accord ou véritables périls menant au bord du précipice ? Peu importe, finalement, voilà un formateur qui a décroché un (pré)accord historique sur BHV. Et qui s’en allait le dire au Souverain le soir-même.

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Diagonaal herlezen

Het is nu, op het middaguur van The Day After, grotendeels windstil. De Vlaamse Regering houdt de adem in : het minste geluid zou immers overkomen als storend trompetgeschal : juichen kan niet, weglopen nog minder. In de grond kruipen van schaamte dan? We zullen zien, zegt Meneerke Peeters….

JaJa, en morgen scheert men gratis….

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(*) In Italië wordt er druk reclame gevoerd om dat ‘bidden’ op straat door Muzelmannen te concentreren in de straten van Venetië. De eerste proef-biddingen waren een onverhoopt succes : er werden na afloop bij de 300 slachtoffers geborgen!

De mossel : 

CV en Amper Zand…

Mise en plat op 15/09/2011 12:15:47

Gepeperd en gezouten, opgediend om 13:13:01