La jurisprudence belge présente des
excès très exceptionnels, ce qui signifie qu'elle doit être qualifiée de
perverse et peu fiable.
Il y a d'abord et avant tout le fait que
le pouvoir judiciaire est dirigé par une seule et même partie, à savoir la
profession d'avocat.
L'évaluation du fait que le juge
lui-même et la représentation des parties soient donc effectuée par des
avocats, de sorte que trois personnages principaux et le pouvoir judiciaire
lui-même restent au sein d'un organe interconnecté.
Naturellement, la jurisprudence est
contrôlée, mais celle-ci est exercée par un procureur ou son représentant,
substitut, qui propose à son tour des avocats en règle pour être nommé juge, ce
qui pose la question de savoir dans quelle mesure cette branche du parquet,
peut être considérée comme indépendante et neutre.
La pratique nous a appris que le pouvoir
judiciaire en Belgique est une cacophonie inégalée, tandis que chaque session
judiciaire expose davantage à la corruption, car le nombre d'années d'activité
au barreau détermine l'ordre dans lequel les avocats peuvent se présenter,
tandis que le plus ancien a purgé sa peine. priorité.
En fin de compte, ce système, et le lien
mutuel, conduit inévitablement à des excès supplémentaires dans le système,
allant des accords mutuels et de la distribution du gâteau, indépendamment des
droits des parties représentées dans le différend, les déclarations défiant
souvent toute imagination, mais restant loin de tous l' intention de la loi et
de l'ordre.
De toute évidence, le vieil homme a le
plus de relations dans l'ensemble, donc peut en tirer le meilleur parti, est
souvent le plus proche de son collègue qui a été promu à juge, donc déterminé
plus d'une fois le cours des événements et l'issue de la procédure, et peut
donc aussi être le plus élevé demander des remboursements.
Il est allé si loin que les gens ont
besoin d'une assurance juridique pour tout et n'importe quoi, ce qui, après
tout, vous évite beaucoup de misère, mais ne donne aucune certitude, car ici
aussi, les accords mutuels entre les avocats déterminent l'affaire.
Il est clair qu’un tel système ne peut
qu’être un aliment pour la corruption, et il nous est présenté chaque jour à
travers des reportages et des médias.
Devant le barreau, les lois et les
textes juridiques sont jonglés, sans égard à la loi et à l'ordre, afin de
favoriser finalement pseudo-légalement la personne qui veut favoriser, et ce
pendant que le juge et l'avocat écoutent tranquillement et lui permettent de
prospérer.
Les nouveaux membres de la profession
juridique qui ne jouent pas au jeu disparaissent du barreau en un rien de temps
et sont contraints de faire carrière ailleurs.
Apparemment, la question de savoir dans
quelle mesure les avocats et leurs représentants peuvent être considérés comme
indépendants et neutres ne devrait pas être posée ici, la réponse est
clairement négative.
Il convient toutefois de souligner que,
du point de vue politique, ce système a été délibérément maintenu et chéri à ce
jour par tous les gouvernements et tous les partis au pouvoir impliqués au fil
des ans