Ainsi font font font... Combien de gens sont médiatisés je ne sais pas, mais il faut bien concevoir que cette propagande doit avoir un certain impact sur leur vie, qui sait. Le journal de droite catholique collaborationniste nous mentionnait en première page le taux de suicide assez élevé pour le moment. Quand l'Etat chancelle ici on revient avec l'histoire de pédophile assassin, ça c'est une chose. Quand le système capitaliste chancelle ce sont les socialistes qui sont dans le collimateur, mais c'est alors structurel et le crash serait comme toujours inévitable. Que dire aux pauvres socialistes dont ses représentants refusent de donner quelques euros en plus par mois quand loyers, Belgacom et toutes les autres factures doivent être payées quand ces derniers remarquent qu'un socialiste (responsable?), violeur ou pas, sait donner 1 millions de dollars pour une caution, que la juge refuse. On montre dans tout le micmac par exemple un responsable de Axa Investment qui parle des conséquences en Bourse et/ou au FMI. Quand Axa banque-assurance donne un seul salaire de un seul mois pour un estropié et accidenté (cicatrisé à vie) ayant droit à indemnités de réparation. Quand ces gens de Axa font de la pub et feraient une gestion de milliards. Est-ce normal, et qui sont-ils? Certes ils sont en costume gris cravate et tout aussi produit d'une sexualité détraquée, perverse mais encore? On remarque par ailleurs ces gens obligés de se regrouper pour leur carrière. On remarque alors qu'ils sont mal fringués (sans couleurs) en train de péter, de parler (pour ne rien dire) et de fumer. Eux aussi disent le hasard absent car il y a toujours non loin un affreux boche frustré (avec gsm) qu'on voit pas à la télé, mais qui leur rappelle une certaine réalité. Mais n'étais-ce pas le capitaliste sans culture qui a même eu tout intérêt de préconiser les congés payés car ainsi le petit peuple a fait glouglou miam miam et le patronat s'est encore mieux rempli les poches en se frottant dans les mains, tout en jubilant comme leurs 'curés' vicieux flamands à la radio car eux catholiques (nationalistes), mais refusant d'être chrétiens ou juifs car ceci serait synonyme d'une souffrance soumise à des structures féodales où en effet on ne fait plus de distinction entre police, bureaucrates ou curé de paroisse. Entre temps on parle bien entendu plus de disons le Blog intelligent de madame Anne Sinclair, et ses programmes journalistiques à Tf1 pour lesquelles la moitié de la France la voulait dans son lit car on a oublié. S'en suit bien entendu le micmac de tous ceux dont la famille et eux-mêmes étaient dans la collaboration, aussi pendant la deuxième guerre mondiale. Là aucunement de problèmes pour payer les factures, et petit à petit l'oiseau a fait son nid quand nous serions nous réduits a chanter: ainsi font font font les petites marionnettes et puis s'en vont. Et on les retrouve dans le parti catholique (et à la tête du Vatican) ; ces 'infiltrés' deviennent ministre sur le plan fédérale et passent dans les médias pour tout faire basculer, sans les socialistes qui ne sont plus des socialistes. Et ces lécheurs de culs (de boches) font donc de la politique et du fric en mentant, mais quoi de plus normal quand tout est devenu mensonge. Ils disent par exemple nous libérer des sirènes et des trams gris à Bruxelles en donnant de la couleur à votre vie, aidant même et surtout les handicapés et les vieux. La réalité nous montre juste le contraire. Mais en fin de compte à quoi bon car ils espèrent votre départ. Je vis par exemple dans une boulangerie où le pain est plus important que le livre. Pour le livre il n'y a pas d'argent ; pour le pain il y a un chiffre d'affaire de plusieurs millions par an. Quand il y a par moment question de 'socialisme', entre les sirènes, 'on' (les nanas au sexe mielleux de la caisse) vous envoie le pauvre type Marocain responsable des poubelles au grenier pour vous faire sursauter vu tout ce qu'il fait tomber au dessus de votre tête. La dispute avec ce pauvre type devient ainsi inévitable & évidente, et si vous n'êtes pas égorgé, c'est en tout les cas votre plafond qui en pâti car nouvelle fissure dû à son énervement. Car là aussi réagir -(ce qu'ils veulent si ils ne sont pas châtrés)- équivaut à ce que les choses deviennent dix fois pire. Mais c'est pas votre plafond, mais celui de la propriétaire qui elle vu les millions et le pouvoir (du pain) est devenue toute difforme. Et voilà pour la symbolique qui resterait symbolique si tout n'était pas devenu absurde et dramatique. Chercher alors un job comme eux mais impossible car 'on' vous refuse, ce qui vous réduit aux sons d'un Blog que presque plus personne ne lit car les gens sont submergés et ont d'autres choses à faire. On remarque alors une impossibilité d'avoir un euro en main quand ces gens (socialistes ou pas) de la télé savent tout se permettre et vivent eux sous palmiers, là où les gens ne sont pas mal fringués ni mal baisés, c'est en tous les cas cette impression qu'on vous donne. C'est alors remarquer un petit docteur (ayant aussi fait l'université comme vous) qui réussit lui là où pour vous tout est devenu impossible. Grande villa dans le résidentiel, cabinet dans un second résidentiel, sans droit cette fois à cette mutuelle misérabiliste, mais lui reçoit e.a. de l'argent de Axa, même beaucoup plus que l'accidenté ne comprenant plus rien si ce n'est de souffrir de douleurs aigu. Ainsi va le monde quand tout devient en même temps contrôlé, épié et sous nationalisme 'inévitable'. Voilà donc tous les éléments 'clés' pour nous faire oublier l'essentiel, pour effacer notre 'nous-mêmes' en traitant au quotidien les méandres de ces pouvoirs, qui nous donneraient l'impression d'exister, de se profiler et de faire partie de quelque chose quand en fin de compte remarquer ne faire partie aucunement de ces gens et de leurs pics-assiettes et c'est tant mieux, mais ne vous étonnez alors pas d'être réduit à du spaghetti quand eux c'est le culinaire voire caviar bien entendu. Mais ne vous en faites pas la ministre socialiste préconise une campagne pour prévenir les maladies de peau de votre sexe. De même il s'agirait chez eux soit disant de sacrifices d'argent et de temps. C'est ainsi -(qui se rappelle Max Weber?)- constater les directeurs de grands instituts de médecine et de science n'ont plus le temps d'être professeur ou recteur à l'université. Pour cela ils ont quelques 'négriers' qui doivent aussi être payé avec l'appât (la carotte) un jour remplacer le directeur des Sciences pour carrière de faite. On en connait la cause, mais Max oublie de dire ainsi, même avec chauffeur, ce même directeur perdrait au moins trois heures dans les files chaque jours pour le véhiculer dans les embouteillages entre les sirènes de son résidentiel vers son boulot. Quand en même temps il s'agit bien entendu de s'approprier l'esprit du groupe, son autorité et son autorisation car 'mandaté'. L'enjeu est autrement important quand il s'agit de faire avancer cette science, voire la faire évoluer (?), une fois tous les bâtons dans les roues superflus. Mais là est sans doute un autre défis dans une réalité (sous sirènes) devenu tout ce qui a de plus médiocre.
"L'argent est semblable à un sixième sens sans lequel vous ne pouvez pas faire un usage complet des cinq autres." W.-S Maugham, Esclavage humain.
A quoi bon... Hier j'ai entendu une blague. Question: quelle est la différence entre un fou et un psychiatre. Réponse: le salaire. C'est comme ce constat: ce magistrat là aussi est de droite, sous petites manies, mettant les points sur les 'i', mais n'ayant aucunement notion de ce que peut être vivre dans la pauvreté ou d'une manière marginale, mais il est honnête, ce qui est devenu rare, c'est déjà ça. Réponse: il est payé pour être honnête. Le même jour on remarque une interview du petit flamand au Congo (jamais belge) auprès du fils Moboutou, imposant, en parfaite santé, bien habillé sur lourds fauteuils pur cuir. Et quoi?, lui demande l'escroc. Et bien oui dit le petit belge: la mentalité. Quelle mentalité? Et bien oui, continue le petit, de vous demander pour tout de l'argent. Connaissez-vous un pays où ce ne serait pas le cas?, réplique le fils du dictateur. Et voilà. Et puisque madame Collette se fait photographier auprès du rebelle (?) en uniforme militaire (tout comme les armes vendu et importé par l'Occident), où est le problème? Mais au nom de cette Eglise il y a des droits d'auteur le saviez-vous? En résulte la censure aussi sur Google puisque ces gens qui sont payés pour écrire des articles sur papier ne veulent pas être lu sur Google car cela ne leur rapporte rien et j'en suis témoin. Etrange pour ceux qui en même temps devraient faire prévaloir le droit à l'information ; en tous les cas celles qui montreraient les bidonvilles avec des gens aux habits troués quand les fils de tous les escrocs du monde sont en pure soie avec piscine sur mer après l'église. Et en plus le peuple veut rêver ; ce qui veut dire que le peuple aime les voir à l'église en somptueux vêtements et sous parades de militaires sans une seule tache sur leur pantalon. Les escrocs sont tellement 'déboussolés' alors qu'ils font référence -(pour encore mieux se vendre)- à... Freud et l'antisémitisme, ce qui les arrange malgré que tous leur fric et leur sperme est dû aux juifs, ou plutôt juives. Mais cela est une autre histoire ; celle qui mélange le doute au mille et un tourments du quotidien. On ne jette plus alors des pierres sur les conbis de flics, ce qui fait vivre les gens dans les métropoles sous sirènes toutes les cinq minutes. C'est pas des flics, est la réponse, c'est des ambulances jaunes qui sont payées pour être gentil avec des (vieilles) gens qui crèvent. Et voilà. Tout cela équivaut à une ou plusieurs Logiques sans Loges. On invite alors un vieux diplomate dans une des ces Loges, mais les mêmes ne supportent aucunement mes remarques à ce sujet. C'est bien, je dis, mais tout de même soyons conscients (nos enfants de) ouvriers et de déportés n'atteindrons pas cet âge si avancé de l'ambassadeur (90 ans) puisque survie dans ces grandes villes où personne ne les invite ou publie leurs bouquins à eux. Ô sacrilège! J'aurai pas pu dire cela. Un autre de la Loge me lance au nom de la liberté - je cite textuellement- : arrêtes de scier connard, t'as rien d'autre à faire (...) j'en ai rien à cirer de tes publications. Monsieur est professeur, a fait carrière (dû à la Loge), mais n'aime pas donner de l'argent pour un livre (pourtant on le paye pour cela), si ce n'est ceux pour sa carrière (Sartre, etc.). Opportunisme béât concernant le fric, quand on l'invite pour parler d'art et de morale, mais on fait caca sur le Pitteman. Simple constatation alors: si vous faites avec ce type ce dont ils ont fait avec moi et donc de le foutre une fois pour toute à la porte de 'son' unif et de 'sa' loge ils se peut qu'il devienne encore plus méchant (surtout quand il a bu). Qui sait, on devrait donc l'enfermer quelque part lui aussi après le cloître: psychiatrie, ministère ou prison pour bras longs. Mais on le défend (et on le paye) lui (aussi au Ministère et Maison d'édition professionnelle), pas moi. Et voilà. Le reste est bien entendu du nombrilisme. Vous avez alors l'ami (?) au doctorat, dont j'ai corrigé quelques manuscrits, qui devient professeur à Oxford, et qui achète un livre pour sa carrière: 'New Structures for Physics'. Beaucoup de notions sur ce fameux Quantum (foundations, informations, gravity...). Donc: computer science, mais l'homme pour sa carrière donne 120 euros pour ce livre, mais ne donne pas un cent pour mon livre à moi, qui bien entendu coute beaucoup moins cher. Tout cela est normal. Mais en effet ce serait depuis le procès Eichmann qu'il n'y aurait plus d'affaiblissement de la justice. Voilà, j'ai compris maintenant. C'est peut-être pour cela dans ce pays maintenant on donne six mois de prison pour un voleur d'un paquet de sucettes périmées et de lourdes amendes aux handicapés qui osent encore se déplacer. Connaissez-vous la réaction du petit peuple, qui lui ne serait par rapport à nous aucunement frustré? C'est pas assez, il faudrait encore plus punir ces profiteurs. Voilà la réaction. Alors à quoi bon? Tout est fait pour vous écraser. Viens ensuite cette information: en France il y a 83% des jeunes (entre 15 et 25 ans) sur Facebook. Ce que l'on ne dit pas c'est que les mêmes n'achètent plus un seul (bon) livre (online) ni journal, malgré nos scénarios d'escrocs en couleurs quand tout est gris pour les faire rêver et se légitimer sur papier. Mais là où je remarque cette presse (d'église) on vend bien entendu cette drogue dure les cigarettes, le Lotto, mais aussi... des enveloppes. Je n'y étais plus rentré depuis belle lurette mais j'avais besoin d'une seule grande enveloppe (format A4). Je rentre dans le magasin (dans ma rue) et demande donc aimablement au type une enveloppe svpl. Là dessus il me dit ne vendre que ces grandes enveloppes par cinq. Il m'ouvre le tiroir et je vois donc des dizaines d'enveloppes éparpillées libres à prendre. Le prix par enveloppe correspond à dix fois le prix depuis le euro. Je lui dit, monsieur je n'ai besoin que de une seule enveloppe. Il me répète qu'il ne vend que ces enveloppes par cinq. Je suis parti. Et voilà. A en devenir fou n'est-ce pas? Mais je me suis dit que j'allais bien trouver une de ces enveloppes (gratuites) dans un ministère ou bureau quelconque je ne sais où. Réponse: plus maintenant. La question tout aussi schizoïde est bien entendu de se demander si ils pensent (quand ils pensent) ce qu'ils disent puisque depuis leur existence ils ont dû mentir pour exister voire payer leur loyer. Quand sortirais-je de ce fouillis de pensées, déclare Anne Frank quelques mois avant sa mort. Et du fouillis il y eu. Entouré par la barbarie (aussi en bibliothèque) Anne croit alors qu'elle aurait dû s'exprimer autrement, en d'autres termes elle doute d'elle-même dans toute sa dignité et clairvoyance, enfermée dans son monde. On connait sa fin. Ce qui a suivi c'est à travers d'innombrables assimilations et dissimulations un système qui s'est calqué sur le mensonge, sur l'acceptation du pire, sous une interaction en stratégies conformes, à la cause qu'elle porte en elle: l'argent. Certes c'est la fin de l'éthique puisqu'aussi l'éthique serait une notion vague, déterminée par cette cause ou celui de l'Etat sans conscience propre mais sous un déterminisme le plus absolu, où tout est calculé à l'avance, si ce n'est aussi au nom du fondamental 'Quantum' plus aucun hasard. C'est aussi au nom de la Sécurité et de ces escrocs mythomanes que tous les prix ont augmentés à outrance, et tout comme l'entropie: tout le monde en est devenu plus pauvre, et c'est bien entendu du contraire qu'il faut plaire ou croire quand eux sont dans leurs villas aux grands jardins (sans sirènes). S'orienter alors vers des petits chefs ayant réponses à tout, sauf à eux-mêmes puisque leurs pensées (si pensées il y a) ne seraient plus primaires, mais disons actualisées aux sons de la télé ; se positionnant dans le mensonge de la réalité et renfermant une vie devenue grotesque à tous points de vues. Les voilà alors qu'ils s'expriment quand ils klaxonnent ou quand ils bouffent des chips devant cette télé, et rien d'autre. Malgré cette télé ou dite démocratie la société ne leur demande pas leur avis, cela c'est claire. Mais l'escroc me disait qu'il y a des gens qui ne veulent pas dire leur avis car ils n'en n'ont pas si ce n'est ceux des autres (à la télé), tout comme il y a des gens qui ne veulent pas la liberté. A bon. Sans doute. Il faut tout pour faire une monde. Et le pays où dans les années trente du siècle passé on se positionnait et où on donnait des congrès pour les droits des ouvriers, les juifs et/ou les artistes et bien ce pays n'existe plus. Il n'y a plus que Khadaffi ou Ben Laden, sorte de illuminé hippie musulman qui s'est attaqué aux crânes rasés allemands en ripostant avec une vraie guerre, donc avec morts chez nos populations, et bien celui là on en fait un martyre à l'échelon planétaire. Le salaud arrogant (Allemand ou flamingant) sous ipad hebdomadaire lui fait ce qu'il veut ici, d'ailleurs aussi dans de hauts buildings gris, et puisque il n'y aurait plus de fascisme les gens applaudissent car rien d'autre à faire que se soumettre pour payer la maison, les mômes et les factures. Amen. Oui, en effet cela devient assez confus (pour mieux comprendre) si on ne lie plus Heidegger, Shakespeare ou Hegel, en effet, après l'insertion ou assimilation dans le système et ses règles, faites pour le peuple, pas pour ses dirigeants. Sont-ils coupables? Non, pas vraiment puisqu'ils fonctionneraient dans tous les systèmes du monde pour exister, pour payer et être payé. Il n'y a plus le choix d'ailleurs que soit disant sur Twitter & Facebook, et encore mais voilà...
Prétexte Multitudes d'attitudes en haute 'altitude', mais l'art voyons, qu'en est-il de l'art dans tout ce bazar. En fait l'art parle pour ne rien dire, ou est-ce le contraire: l'art ne parle pas puisque l'art dit tout. L'art... et son 'combat'. Qu'en est-il de cette société sans art, quand tout est art, sauf la grisaille et cette société. Il faudrait que j'y réfléchisse, mais comme tout le monde je suis réduit à toujours faire la même chose, si ce n'est de rien faire, sous pauvreté et sons de sirènes environs tous les dix minutes. C'est plus de l'art, c'est l'enfer, au nom d'une Raison que l'on vous impose. Où est la liberté dans cette aliénation? Et quand l'art ne sert pas, c'est que cela ne vaut pas de l'argent. Mais cela vaut de l'argent, mais personne ne veut donner de l'argent pour cet art, art art, sauf les Allemands. C'est alors l'art tard au bar des milliards de dollars. Des kilomètres de billets de banques entassés les uns sur les autres, mais comme toujours, le vent a tout emporté aux vues de décolletés l'été. Sans doute pour se donner bonne conscience, là où il y aurait un problème de société, mais en fait pas la société, -puisque tout y est caserne et/ou bazar pour dollars-, mais la civilisation. Il y a plus de civilisation. Donc, il faut trouver un moyen pour se donner l'impression de... . L'impression que ces méchants de cette église n'ont plus le pouvoir sur notre souffrance. L'impression de esquisses et de couleurs chez nous, l'impression de développer ceci ou cela, l'impression de rien du tout. Les éléments indissociables ne relatent du sens contraire dans sa globalité la plus infinie. En d'autres termes pour ceux qui ne comprennent plus rien: la liberté c'est fini, quand l'aliénation est devenue produit de masse, ce qui est le cas. Et au plus de masse, au moins les gens ont le temps. Le temps de rien faire, le temps de mieux comprendre, le temps de savoir qui et pourquoi on censure, mais la censure c'est comme un mur dur qui dure. Vous avez beau faire pour voire l'autre côté, mais il n' y a pas de fenêtre. Le mur cache donc ce dont vous voudriez voir, pour mieux comprendre. Mais la société ne vous demande pas de comprendre. La société vous demande de fonctionner. Ce qu'il y a peut-être derrière le mur c'est de remarquer des gens qui dépensent en fric sur une nuit ce dont vous ne réussissez même pas d'accumuler pendant toute une vie. Mais alors, ils ont des choses qui ont de la valeur pour voleurs et qui valent de l'argent comme un yacht pour les monokinis sous palmiers, comme de la soie pour la sensualité. Ils n'ont donc pas mon art, parce que mon art ne vaut pas de l'argent. C'est ce que je dois comprendre, mais ne veut comprendre. D'où un paradoxe bien entendu. Et pour élaborer une vision de visons de tout cela il faut un capital acquis quand l'image artistique elle reste symbolique ou psycho-logique en fin de compte, si ce n'est qu'elle ne relate jamais une nécessité, si ce n'est celle d'exister à côté de toute chose ou d'être au milieu de l'expression dans sa signifiance primitive ou ethnocentrique, non de la pensée qui se calque à ce système sous censure dû au fric, rien d'autre. Vient ensuite malgré tout la matière et la substance qui sous le geste devient art, ce qui revient à dire qu'il y ait alchimie, sous clandestinité et pauvreté dû à la réalité. Les formes trouvent leur accomplissement dans cette rêverie qui sortirait de la réalité ; en une mélodie de poésie et de mélancolie quand la grisaille impose et tourne en rond, s'accommode de tout quand plus rien existe, que Facebook et Twitter pour ensuite suivre d'autres troupeaux virtuels quand tout est mort, mais où est l'alternative, où est le complément qui nous dirait que tout aurait un sens donné à l'éthique au nom de l'esthétique. Serions-nous seulement alors prédisposés à mieux comprendre, à ressentir cet art du doute, de l'interrogation quand il nous serait devenu interdit de souffrir ou de se poser trop de questions. D'un cercle ou d'une ellipse re-vient cet art, comme tous premiers trajets mathématiques qui nous mèneraient sur une autre planète ou étoile d'antan ; de sortir de l'orbite et de rejoindre les spasmes de l'univers entier, de se dissoudre en fumée bleuâtre et jaune dans l'esprit lumineux qui respire, de ne plus revenir mais de sortir au nom d'une nouvelle cosmologie hors temps, de créer des causes, d'y voir ni la terre ni le soleil au centre, quand la puissance est égale à la résistance magnétique, 'carrefour' donnant un sens par le trajet du temps et de la lumière sous ultime vitesse²*. L'art serait devenu ainsi esprit de galaxie, ce qui ralenti tout et rend en fin de compte tout mouvement fou. En n'oubliant certes pas cette réalité: non les artistes, mais les généraux issus de milieux modestes sont devenus riches tout simplement en se mariant, moins en faisant la guerre dans les colonies au nom de l'Eglise. Viens ensuite sur cette terre de médicaments et d'alcool l'esprit... suicidaire de certains, et non des moindres. Mais nous avons donc survécus, certes abîmé(e)s, mais nous sommes perdus dans la masse insignifiante, étant pauvres quand tout le monde est devenu soit disant riche, surtout l'extrême droite. Nous ne sommes pas (devenus) des maîtres puisque les maîtres c'est eux. Rien de neuf, ne fut-ce être indigné de devoir faire comme tout le monde à la longue et de subir sans broncher ; de devenir aussi un bon prétexte, voilà le mot: un prétexte...
