Prétexte Multitudes d'attitudes en haute 'altitude', mais l'art voyons, qu'en est-il de l'art dans tout ce bazar. En fait l'art parle pour ne rien dire, ou est-ce le contraire: l'art ne parle pas puisque l'art dit tout. L'art... et son 'combat'. Qu'en est-il de cette société sans art, quand tout est art, sauf la grisaille et cette société. Il faudrait que j'y réfléchisse, mais comme tout le monde je suis réduit à toujours faire la même chose, si ce n'est de rien faire, sous pauvreté et sons de sirènes environs tous les dix minutes. C'est plus de l'art, c'est l'enfer, au nom d'une Raison que l'on vous impose. Où est la liberté dans cette aliénation? Et quand l'art ne sert pas, c'est que cela ne vaut pas de l'argent. Mais cela vaut de l'argent, mais personne ne veut donner de l'argent pour cet art, art art, sauf les Allemands. C'est alors l'art tard au bar des milliards de dollars. Des kilomètres de billets de banques entassés les uns sur les autres, mais comme toujours, le vent a tout emporté aux vues de décolletés l'été. Sans doute pour se donner bonne conscience, là où il y aurait un problème de société, mais en fait pas la société, -puisque tout y est caserne et/ou bazar pour dollars-, mais la civilisation. Il y a plus de civilisation. Donc, il faut trouver un moyen pour se donner l'impression de... . L'impression que ces méchants de cette église n'ont plus le pouvoir sur notre souffrance. L'impression de esquisses et de couleurs chez nous, l'impression de développer ceci ou cela, l'impression de rien du tout. Les éléments indissociables ne relatent du sens contraire dans sa globalité la plus infinie. En d'autres termes pour ceux qui ne comprennent plus rien: la liberté c'est fini, quand l'aliénation est devenue produit de masse, ce qui est le cas. Et au plus de masse, au moins les gens ont le temps. Le temps de rien faire, le temps de mieux comprendre, le temps de savoir qui et pourquoi on censure, mais la censure c'est comme un mur dur qui dure. Vous avez beau faire pour voire l'autre côté, mais il n' y a pas de fenêtre. Le mur cache donc ce dont vous voudriez voir, pour mieux comprendre. Mais la société ne vous demande pas de comprendre. La société vous demande de fonctionner. Ce qu'il y a peut-être derrière le mur c'est de remarquer des gens qui dépensent en fric sur une nuit ce dont vous ne réussissez même pas d'accumuler pendant toute une vie. Mais alors, ils ont des choses qui ont de la valeur pour voleurs et qui valent de l'argent comme un yacht pour les monokinis sous palmiers, comme de la soie pour la sensualité. Ils n'ont donc pas mon art, parce que mon art ne vaut pas de l'argent. C'est ce que je dois comprendre, mais ne veut comprendre. D'où un paradoxe bien entendu. Et pour élaborer une vision de visons de tout cela il faut un capital acquis quand l'image artistique elle reste symbolique ou psycho-logique en fin de compte, si ce n'est qu'elle ne relate jamais une nécessité, si ce n'est celle d'exister à côté de toute chose ou d'être au milieu de l'expression dans sa signifiance primitive ou ethnocentrique, non de la pensée qui se calque à ce système sous censure dû au fric, rien d'autre. Vient ensuite malgré tout la matière et la substance qui sous le geste devient art, ce qui revient à dire qu'il y ait alchimie, sous clandestinité et pauvreté dû à la réalité. Les formes trouvent leur accomplissement dans cette rêverie qui sortirait de la réalité ; en une mélodie de poésie et de mélancolie quand la grisaille impose et tourne en rond, s'accommode de tout quand plus rien existe, que Facebook et Twitter pour ensuite suivre d'autres troupeaux virtuels quand tout est mort, mais où est l'alternative, où est le complément qui nous dirait que tout aurait un sens donné à l'éthique au nom de l'esthétique. Serions-nous seulement alors prédisposés à mieux comprendre, à ressentir cet art du doute, de l'interrogation quand il nous serait devenu interdit de souffrir ou de se poser trop de questions. D'un cercle ou d'une ellipse re-vient cet art, comme tous premiers trajets mathématiques qui nous mèneraient sur une autre planète ou étoile d'antan ; de sortir de l'orbite et de rejoindre les spasmes de l'univers entier, de se dissoudre en fumée bleuâtre et jaune dans l'esprit lumineux qui respire, de ne plus revenir mais de sortir au nom d'une nouvelle cosmologie hors temps, de créer des causes, d'y voir ni la terre ni le soleil au centre, quand la puissance est égale à la résistance magnétique, 'carrefour' donnant un sens par le trajet du temps et de la lumière sous ultime vitesse²*. L'art serait devenu ainsi esprit de galaxie, ce qui ralenti tout et rend en fin de compte tout mouvement fou. En n'oubliant certes pas cette réalité: non les artistes, mais les généraux issus de milieux modestes sont devenus riches tout simplement en se mariant, moins en faisant la guerre dans les colonies au nom de l'Eglise. Viens ensuite sur cette terre de médicaments et d'alcool l'esprit... suicidaire de certains, et non des moindres. Mais nous avons donc survécus, certes abîmé(e)s, mais nous sommes perdus dans la masse insignifiante, étant pauvres quand tout le monde est devenu soit disant riche, surtout l'extrême droite. Nous ne sommes pas (devenus) des maîtres puisque les maîtres c'est eux. Rien de neuf, ne fut-ce être indigné de devoir faire comme tout le monde à la longue et de subir sans broncher ; de devenir aussi un bon prétexte, voilà le mot: un prétexte...
Le premier août 1944 la guerre n'est pas finie puisque Anne écrit sa dernière lettre parlant de contradictions, ne sachant pas ce que cela veut dire. Contradictions. L'année liturgique et le mouvement cyclique c'est ce qui étaient venus avant, à en vivre dans une armoire pendant quinze ans, préparant dans les tiroirs un pseudo terroir de la mémoire. En fait le contraire de l'au-delà à l'horizon, ce qui nous donne dans un schéma mathématique une contradiction dans la police (post-nazie) puisque le bourreau de Anne termina sa carrière de flic et d'espion pour l'Allemagne à Vienne. Puisque il y a opposition, mais cette dialectique nous mène vers le Anfülung, (R)ausfülung, und Datif oder Akuzatif et puis Wittgenstein. A nouveau un paradoxe en Soi, ce qui nous mène vers cette expression formelle, relevant la vie des cochons dans un dilemme de perte de la raison absolue. Croire en l'homme, plus que l'homme. Ce qui en guise d'expérience devait forcément se révéler apte à faire du surréalisme et certes non du dandysme depuis que Marguerite au nom d'une 'vie matérielle' déguisa nos travesties romanesques et déclara tous les hommes homosexuels. Ce que disaient surtout les femmes tombées amoureuse d'un homosexuel, veau à croquer, se mettant du rimmel et de la poudre aux yeux, mettant même des bas nylon noirs aux jarretelles provocantes ce qui fit bander tous les hommes, disait la femme du gendarme avec sa matraque en cuir. Sans doute ceux qui ne furent jamais marié, sauf à l'église. En fait pour ces gens là alors la cabale et le hassidisme sont une erreur historique car tout comme leur Dieu un mâle ; tout comme toute forme de alchimie dans le même miroir du roi tous les soirs. Faut-il se cacher puisque cette guerre ne sera jamais finie? Faut-il continuer à psychanalyser tous les juifs du monde puisque les plus belles fesses bronzées viennent de l'Orient, qu'elles soient elles mâles ou femelles. Et ça c'est pas un phantasme ni le dialogue érotique de Socrate. Aux doux parfums éphémères certes, mais laissant un relent de tendresse et de stupeur en Orient, pas chez Socrate. Non une médiation entre méditation et orgasme spirituelle, mais la lumière et la mer bleue aux vagues écumes blanches dans ses seins au nom du Rien et des Siens. A partir des livres sacrés jusque les moins sacrés ou pornographiques il y avait donc le temps qui persécuta les uns aux sons de sirènes, et fit jouir des autres dans pendant le dessert au désert vu le fric sans lire, voilà là la vie en Sa Présence Eternelle. Mais en fait en toute grisaille on ne remarque rien ici, que des gens qui tournent en rond pour travailler, baiser et manger en guise de maris en gris. Mais ils ne baisent plus. Si vous mettez des lunettes contre le soleil ils vous prennent pour un salaud. L'intersubjectivité apparait ainsi comme un produit de masse, jamais une dissidence qui elle ne danse plus jamais. Que fait-on des pauvres qui ont payés pendant plus de trois décennies pour un 'cable' leur donnant Hitler dans pas plus de 50 chaînes télé. Hitler, Louis de Funès et du talent (?) chez les uns, un porc nationaliste dans le désert chez les autres. Et ainsi va le monde, dans le train-train habituel vu les chinoiseries chez ces flics, comme toujours. Pour préserver leurs femmes et leurs chevaux, qui sont plus beaux. Mais là ce tout n'est pas vraiment fondé sur érudition, quand chez l'espion au service de l'armée de l'ennemi ce serait le cas. Ces gens sont payés pour savoir. Tout comme les diplomates, parlementaires et autres menteurs au service du roi pognon ils ont eux les journaux gratuits, pas le peuple. Ce qui nous fait lire en non-dire un pseudo monde, là où la majorité ne lie plus, mais est réduite à smartphone et 50 chaînes télé pour ne pas voir la réalité. Quelle thèse sans plus de trésor alors? Et bien, celle qui relate l'image qui manipule sous règles d'orchestration ; où plus rien est vrai, même et surtout pas leurs carrières au nom du fric. Il y aurait même une corrélation mathématique dans les paramètres puisque au plus de 'particules' au plus le système vieillit de la même manière, en s'autodétruisant tout en s'uniformisant. C'est pour cela que c'est la fin de beaucoup de choses car surpeuplés d'une manière anachronique sous vacarme pour les uns, jardins paradisiaques cocktail maison sous soleil pour les autres en monokinis. Fallait-il aussi parler de la jalousie, maman, sans plus de pions (fâchés) sur l'échiquier quand maman avait appris jusque son lit de mort a ne pas trop grogner car se plaindre équivalait à pas assez d'argent pour manger, et pas assez pour payer le loyer ainsi un coup de poing en pleine figure par le kapo de service quand elle osait être arrogante et fière d'elle-même quand tout le monde regardait la télé en se taisant. Et c'est ainsi que maman sans papa termina sa vie en disant merci à tous le monde, seulement elle était réduite à un '2 mètres carrés' avec un petit lit et une table, et plus rien d'autre qu'un évier et une armoire dans le mur. Chez les autres c'était une croix au dessus du lit, pas chez elle. Un choix?? Ce qui la fît vivre dans une armoire, ce qui l'accoutumait déjà à son cercueil et la fît oublier tout, même et surtout l'héritage de sa meilleure amie dont le fric termina dans les poches du beau-fils de maman. D'où un micmac chez les flics au service des riches, et un mortuaire au musée d'art biblique schmilblique. Mais là est une autre histoire, disons celle de Hersel qui lança une idée proche du nazisme, à en avoir des victimes de camps de concentration dans sa propre famille, lui aussi. C'est ce dont un jeune arabe m'a lancé concernant une discussion au sujet de Nasser. "T'es un sioniste toi, Monsieur K.?!" . J'oserai dire être moins vieux-jeu, mais que fait dire ce jeune arabe que je sois ceci ou cela au nom de systèmes prônés au 19 ième siècle par des gens comme monsieur Klein que je ne connais pas? Mon romantisme à moi est postmoderne. A quoi bon refuser Coca Cola et Walt Disney au monde entier quand un intellectuel reste comme tous zoulous un inconnu, malgré smartphone, Twitter ou Facebook et que sortir de l'anonymat si pas sujet de La Cour ou Riziv équivaut ici à être fiché, persécuté et répertorié par les services de police et de contre espionnage. Leurs rythmes dans des structures institutionnalisées sont tout aussi primitifs que ce que je fait, mais chez eux cela équivaut à Madame Argent, pas chez moi. Pensons donc à autre chose, et promenons nous. Mais même et surtout à la digue il n'y avait plus de l'air frais de la mer, mais des nuées de fumée de cigarettes de masse. A ne plus savoir respirer ; en fuite donc sous expression de claustrophobe ambulant. Partout où il y a des armoires notre prophète postmoderne commençait donc à divaguer. Ce qui arrangeait certains parait-il. Tout est bien entendu relatif. Nous savions lire dans le journal qu'un Britanique s'est fait tabassé dans un bureau de police à Dubaï et il en est mort. Il logeait dans une chambre d'hôtel de 1126 euro la nuit. Cela équivaut à ce jour à un loyer mensuel pour un deux-pièces à Paris et à la mensualité d'un pauvre dans une grande ville. Et ils peuvent s'estimer heureux car partout ailleurs la mensualité c'est beaucoup moins. C'est pour cela que plus personne s'intéresse à l'art contemporain car à quoi bon. On s'en fout, monsieur, madame. On s'en fout à en devenir fou, dans un anonymat le plus complet. On s'y perd. Plus personne que l'on connait, plus qu'une masse sous pauses cafés, et des gens que tout le monde devrait connaître puisqu'ils passent eux dans les journaux et à la télé. Mais là aussi personne ne les connait en fin de compte, même et surtout leur propre femme mais les vaches du peuple soumis mâchent quand le beau-fils continue pour toujours son antisémitisme d'ailleurs, madame. Mais quand il se 'vend' et se vante ils se sentent Un, eux les illuminés et nous les humbles humiliés. C'est déjà cela, mais je ne vois pas pourquoi la mélancolie de ce chant devrait être interdite, voire imposée par ou pour un Dieu unique. Blabla éternel, ce qui a fait vivre plusieurs époques de livres, et non d'écrans. Bien que même et surtout les programmes pour enfants à la télé ici sont dans les mains de ce qu'ils disent être des croyants catholiques. Maintenant c'est plus que les écrans, et courir après le fric, mais jamais ouvertement au nom du sexe, et vice-verra. Le Big Slang après-la-lettre. Et tous ces bons films que l'on ne sait plus voir c'est comme le climat, c'est catastrophique voire dommage. Qui se rappelle le film 'Bad time'? Cela commence aussi par une exposition de Egon Schiele et se termine par l'autodestruction passionnelle absolue d'une belle blonde qui tombe amoureuse d'un psychologue sadique. Le film a eu une bonne critique à l'époque dans le magazine... 'Playboy'. Postmodernité. Plus tard on osait faire une comparaison, non une contradiction, entre da Palma et Hitchcock. Revoir 'Correspondant 17' au musée online? Van Meer kidnappé par des nazis? Qui sommes-nous (devenus), car après on nous a dit que nous étions non seulement le produit de l'Autre, mais qu'ensuite nous étions plusieurs 'nous-mêmes' (Pessoa) dans un système et une société où il était interdit d'être ce 'nous-même'. Complexité schizophrénique certes, mais ne dépassant pas -faut-il le dire et répéter- les 1500 euros par mois, dont presque tout partait vers le patronat (catholique) à en devenir nous aussi tout gris. Quand le curé (violeur de gamins) avait beaucoup plus car lui payé par l'Etat et le petit peuple, même et surtout celui qui n'est pas catholique. D'où des contradictions faut-il le répéter, entre cette expérience religieuse aux actualités de la BBC et cette expérience hérétique spirituelle complétement érotique de cette prostituée devenu reine en lisant la bible de hébreux traitant de cieux entre eux deux. Ce qui leur restait de Adam et Eve: une supériorité sur leur adversaire les loups carnivores.
Peut-être même plus une question de génération(s), mais n'avons nous pas perdu à tous points de vues? Des imbéciles mielleux ou des pubs infâmes à la radio, sauf exceptions quand tout le monde est devant sa télé, même plus du vrai Punk puisque tous morts ou récupéré comme Ensor par des paysans d'une Banque, sauf Plastic Bertrand sous plagiat le plus éternel, et des catholiques pervers tout aussi mielleux chez les flamands de cette radio avant Strauss. Et bien entendu plus que l'extrême droite pour nous rappeler... les élections. Sociétés alors sous surpopulation de voitures, de files, même pendant le weekend, mais le ministre des Transports qui parle de... répression pour ceux qui lisent ou regardent internet quand ils roulent. Nous, je dis bien nous?, canalisés devant écrans mais là où on trouvait le chemin des publications, maintenant on nous refuse. Mais forte heureusement on donne encore de l'argent pour un journal industrialisé, d'un niveau intellectuel voire informatif scabreux, mais qui nous parle de... Umberto Eco, de syndicats sympas et de Mirò, de plus personne d'autre. Sauf les quelques corrompus au niveau européen qui n'ont pas assez avec leurs salaires mensuels, qui correspondent aux nôtres annuellement, payant des taxes eux pas. Remarquer dans tout cela des indemnités de invalides socialistes qui ne correspondent même plus à un loyer pour une semaine dans une chambre de cette même mutuel socialiste à la mer du Nord. Disiez-vous corrompus? Mais vous allumez votre télé et ouvrez votre journal flamand et c'est (extrême) droite flamingante pour e.a. "en terminer avec 70 ans de socialisme à Anvers!". Et waf waf celui qui dit cela est un fils de collabo ayant travaillé dans une usine allemande de munition, et 70 après le fils (d'extrême droite arrogante) est reçu en grande pompe aussi... au Maroc et en Israël (Knesset), et plus personne ne bronche quand nous, nous n'avons pas de quoi nous permettre la mer du Nord sous ciel gris comme toujours. Mais eux bien. Voilà donc où nous en sommes. Mais si vous vous débrouillez vous trouverez une promotion pour un film au cinéma pour vos mômes le dimanche. Seulement cela vous donne des files sans place de parking comme pendant la semaine, où vous vous posez la question quand exactement vous avez droit à un jour de repos. Il y a donc le film online pour ceux qui ont la parabole et qui payent pour cela, donc à nouveau pas nous puisque nous, les pauvres, avons 40 chaînes télé sans plus aucuns bons films, si ce n'est quelques uns déjà vus au moins dix fois. Et dans l'égoïsme le plus absolu, le consumisme le plus suiveur, il y a les bénéfices des riches et les impôts des pauvres qui n'ont jamais été aussi élevés, mais la part du cadeau va aux collabos sous palmiers (déracinés?) en guerres 'saintes' ; c'est aussi simple que bonjour dans leur histoire... qui continue. Ensuite, dans ce replis identitaire il y a les religions: les uns toujours autres que les autres, mais où les textes de lois (sous Khalifat?) se sont promulgués par sortes de moines guerriers, qui ont dû vivre les plus ignobles guerres de prêt ou de loin ; qu'ils en sont devenus aveugles (un sage sans visage est comme une vie sous la pluie). S'en suit un micmac, où nous serions perdus dans la masse, avec nos gouttes d'eau dans l'océan infime intime d'un intellect branlant. Où est donc la réalité et où est donc la santé mentale? Ce qui incombe que nous l'ayons perdue vu tous ces drames. Pour vous donner un exemple. J'en connais un qui est un mauvais écrivain, se portant à merveille à 70 ans, en meilleure santé que moi, mais qui a réussit comme tous les mauvais écrivains: maison(s) d'édition (de collabos) et web (promotionnel) pour lesquelles il a dû payer, tout comme attention dans les médias car il veut être connu, et veut faire un bestseller, mais ne fait pas de bestseller. Il y a seulement un problème: il a voulu ainsi faire et vivre comme les riches (qui le fascine), mais a donc dû voler, exploiter (aussi des femmes) pour arriver à ses fins. Sur un des ces derniers Twitter nombreux il écrit que l'odeur du sexe a un relent d'amertume. Si il était bon écrivain il aurait écrit le goût du sexe. On va alors voir le Facebook du Ministre de l'Intérieur, utilisé par et pour la Cour car non seulement de droite et catholique, mais aussi belle, en tous les cas pendant ses heures de prestation ou castration sublimée. Là dessus il y a bien entendu des discussion auprès de gens ne voulant pas que les riches payent des impôts tout en disant les chômeurs, les invalides, les étrangers et les pensionnés des profiteurs ou des voleurs. Forte heureusement ce sont des démocrates et il y a donc 'discussions' sous 'égide' de madame le ministre, mais tout est faux car après coup vous remarquez qu'il s'agit de petits 'copains', flics ou faux flics, qui profitent eux de la même 'caisse'. Certes Aristote parlait de prudence concernant le gouvernement de la Cité, dans son aspect architectonique et législatif, mais leur 'prudence' est dépassée par les événements, et leurs lois représentées par des dogmatiques de droite prenant tout à la lettre quand nos 'représentants de commerce' prennent sans aucuns complexes les dividendes et les privilèges (au service des bénéfices de collabos). C'est ainsi - comme exemple - un simple Marocain 'délinquant' termine 30 ans en prison, une femme non catholique divorcée n'a presque jamais droit à voir son enfant et un journaliste persécuté pour une lettre à un bourgmestre. Voilà donc ce que était le système judiciaire et ses juges à Louvain et à Bruges. Maintenant je ne sais pas, mais c'est peut-être encore devenu dix fois pire, comme les files dans et aux alentours de ces métropoles de fourmis grises. Avions nous gagné? Au parlement belge comme presque dans toute l'Europe c'est aussi plus aucun communiste, mais extrême droite de plus en plus importante et confortable. Mais vous verrez dans tous ces médias alors une telle énergie presque monolithique (sous guerres exportées vers les palmiers) pour faire accepter tous ces sacrifices par le bon peuple, qui n'a plus droit qu'à la mer et luxe par écrans interposés, pour la plupart sous doses de médicaments et d'alcool si ce n'est les drogues. Les seules acquisitions de 'privilèges' paraissent donc 'durables', si ce n'est dans une autodestruction ou une mort lente la plus absolue. Avions nous gagnés? C'est ainsi aussi que pour leurs fins ils deviennent totalement opposés à l'éthique. Dans ces métropoles de plus en plus surpeuplées donc, nous serions réduits comme des numéros, comme des sardines donnant place au suivant poussant avec des coups de coudes l'Autre jusqu'au suivant ; que ce soit sur la plage, en entreprise, home, école ou piscine communale. Et qui dit surpopulation, dit agressivité drainée et maladie mentale canalisée (sous médicaments) vers des drames, filmées presque en direct à la télé pour continuer ainsi, jusqu'au suivant, et comme sous Kafka: l'Etat produit des scénarios médiatisés sous magistrats unidimensionnels et classements officiels où tout le monde et personne est coupable. Ce qui nous donne e.a. intellectuels à 1000 euro par mois et un bureaucrate politicien à 6000 euro. "L'analphabète" lui ne serait coupable de rien, mais roule en Mercedes d'une valeur qui équivaut un appartement de luxe quand l'intellectuel vit dans une chambre entouré de bruit de sirènes. Et dans la folie, ce n'est plus que notre Arabe, qu'il soit géomètre mathématicien ou boulanger, qui crie sa rage vu éléments "déstabilisateurs" (dans scénarios de ces médias), mais plus personne ne les entend, surtout pas ce troupeau suivant esprits de lois sous inflation, mais ne changeant bien entendu rien à la soumission et à la légitimité de leurs rapports de force, qui dit que cet 'analphabète' aurait droit à beaucoup plus que les autres. Ils prétendent donc limiter la Raison (Kant?) tout en admettant que tous ces esclaves et indemnisés de 1000 euro -devant donner le triple au patronat (socialiste?)- ont droit d'être furieux et de réagir, mais dans un espace 'clos', dans un contexte et un moment bien défini à l'avance. C'est sans doute cette 'démocratie' là qui a fait se suicider Sénèque ou Walter Benjamin puisque plus vraiment le choix entre servitude et cloisonnement, sans plus vraiment un centre à la conscience de soi sans l'autre. C'est ainsi aussi que s'affirmerait la religion, renfermant l'homme dans le même système, voué à la suprématie de la totalité de cet Etat soumis lui au Dieu Capital, mais où en plus on rejoint les fondements mêmes de la subjectivité 'bien pensante'. Nous serions réduits au point le plus bas de cette base hiérarchisée par l'argent, sous une construction sociale fondée sur les pratiques de cet argent (invisible), prônant l'anachronisme du pouvoir, dans une fin ultime mais absolue de civilisation. Argent donc pour villas piscine & Mercedes, mais plus du tout pour l'art du plèbe, un simple handicapé ou un bon livre. Voilà la folie ambiante envers des dominants, aux sons de vagues de galets de mer et d'arbres (centenaires) dans jardins de châteaux. Quand les autres, ayant payées toutes les factures du mois, sont réduits aux sirènes de flics et ambulances dans ces métropoles où l'imposition d'une vision de pouvoir (et de ses guerres) par médias et/ou écrans interposés ne correspond plus du tout à la vie des gens de ces métropoles, car n'ayant eux pour la majorité comme tous les esclaves du monde, même pas droit à une représentation (au parlement) car la plupart ne votent même pas ou plus. Non la disposition technologique déterministe de "communication" ou l'organisation des salles de bains donnent la preuve de ce barbarisme latent d'une fin de civilisation, mais toutes les autres choses du conditionnement. On vivait mieux, voir plus longtemps en Orient il y a 5000 ans. Sans religions ni théories des humeurs de tous ces gens obligés de se supporter (sous mensonges) avant et après les files, avant et après leurs écrans quand tout ce qui est aux alentours périclite en coutant de plus en plus cher. La violence nécessaire -tout comme ce mal nécessaire (extrême droite raciste)- serait elle jamais psychiatrisée ; voilà un des paradoxes, mais il n'y a même plus de paradoxe puisque c'est donc la fin d'une civilisation... Mais n'est-ce pas un philosophe allemand qui nous disait une civilisation en fait la preuve que tout le monde soit dompté et apprivoisé. C'est ainsi aussi tyrans et riches 'analphabètes' ayant la première page des journaux, connus de "tous" (dans l'inconscient collectif?), quand le poète narcissique tout aussi mortel n'atteint rien d'autre que l'alter ego de son miroir déiste.