"Couvrez ce sein que je ne saurais voir", Molière dans 'Tartuffe', acte III, scène 2. "O toi qui j'eusse aimée, O toi qui le savais!", Charles Baudelaire, dans 'Les fleurs du mal', 'A une passante'.
Il me revient cette histoire : le jour où une baleine s'est échouée sur les plages de la mer du nord cela a attiré une masse de public, sorte de curiosité malsaine (?). Je ne sais si cette vibrante destruction d'une âme marine (suicide?) reconstiturait en tant que telle la symbolisation des honneurs perdus et ébranlés des statues de lécologie, mais c'est bien à ce moment là que moi je ne vais pas à la mer. Ainsi aussi, -et je sais que c'est bête-, mais à chaque soubressaut dramatique de l'histoire, état collectif 'd'hystérie' qu'elle influe, me font détourner mon intérêt que j'ai pour ces médias, où l'on distinct de moins en moins la différence entre réalité et fiction. Un peu en effet comme le flight Simulator Windows 2000 : lessons, flights, entertainment, Pilot's help, Quit,... Juste avant 11/9. On s'y croirait, avec sons et images appropriés. En effet il s'agit pour nous de réhabiliter ou de démasquer ; nos critères doivent être ceux des autres, et qu'en fouillant les documents et relatant témoignages (contradictoires?) aussi par images, l'on n'arrive pas encore à ébaucher des pistes qui suciteraient cette sensation de justice envers toutes les injustices et tous les massacres du monde entier depuis l'existence d'Etats et de religions. Tandis que ces Etats et religions ont toujours prôner paix et 'pensées' équitables par le Texte, tandis la réalité nous donnait tout aussi naturellement une toute autre image, car juste le contraire, c'est le cas de le dire. Songes fugitifs dans le brouillard alors puisque violence dans l'infini des grands espaces noirs, d'une toute petite Terre pseudo 'Sainte' dans l'univers des univers, jamais consciente de sa servitude envers déterminisme, tandis tout ce qui est perceptible en fin de compte n'est que conséquence de conscience et de rétine; car si il est facile de faire coïncider le miraculeux, il en est moins en ce qui concerne les êtres qui se soustraient aux pouvoirs temporels, en cohabitation entre étincelle et luminaire. Il est en effet facile alors de s'allogner dans son sofa, de vieillir et de vouloir ainsi aussi sortir de ce temps, de se déclarer vaincu par la vie et d'être seul dans cette intervalle de temps dans le temps, de plus s'y perdre et de regarder le monde comme tous ces objets humains, sous mécaniques diverses et institutionelles dans ces grandes métropoles où voisins ne se caonnaissent même pas, souffrant sans doute d'Urbanitis.