" L'argent des autres "Un homme apporte son état, sa maison, sa famille. Ralph ne devait rien d'autre à Gladys. Libre à elle de refuser, mais libre à lui de se reprendre : il ne le ferait pas sans mal, mais il le ferait sans rancune, incapable de lui reprocher son obéissance à la même sorte de tyrannie qui, la retenant chez elle, le renvoyait chez lui.", "Les bienheureux de la désolation", Hervé Bazin.
Et puis l'été était... Je ne serai pas là pour vous le dire, si je ne m'emmerdrait pas comme tous ceux de Facebook. Soit disant en dehors du tourisme de masse, mais en plein dedans, de devoir toujours payer, de ne rien remarquer de cette barquette sur vagues vagues qui nous mènerait aussi cette fois sur une île déserte, sans les amalgames des uns, sans la déroute somptueuse de celles qui ont suer, tellement suée que la serpillière dû passer sous leurs jupes, et puis plus rien comme toujours. Si ce n'est des réfugiés ne se disant jamais nomades une fois par an, loin de leur télé, mais non de Face Book, après disont le Oscar du Shindler List manquant... à l'appel. Quel appel? L'appel du rien, du vaseux, de l'Extrême Orient entre ses fesses, non son opium comme parfum de lingerie blanche, mais carrément de la merde entremêlée à l'or venu du Kenia, mais en fait venant du Congo. Là où l'on revient toujours avec les mêmes histoires, comme partout ailleurs, d'ailleurs. Pourquoi en Afrique, monsieur, un parlementaire a plus de 100 000 euro par an, quand la population vit d'une moyenne de 1000 euro par mois. C'est pour qu'il n'y ait plus de corruption en Europe, où les barèmes seraient autres. Disons là où on souffre de grisaille, suffoqué par l'égoïsme, les médias imbéciles catholiques ou les couleurs seulement à la télé, et sur Facebook. Là où mêmes les stars intellectuels des médias ont su trouver les astuces techniques pour toujours prouver être les meilleurs que les autres intellectuellement parlant. Ils travaillent comme soldats du dollar, du Deutsche Mark qui n'existerait ou n'exiterait plus puisque depuis l'absence de corruption leurs maisons & appartements valent cent fois plus depuis l'euro maintenant. Le kapo de Molenbeek ayant sévi envers PLUSIEURS générations de juifs ou jésuites, les faisant fuir vers pire. Et on n'y changea rien puisque ces parlementaires (de gauches) n'ont en fait aucun pouvoir puisque le manager de la firme américaine ou allemande à côté a cent fois plus par an. Et ce sont eux qui s'imposent maintenant, quand la culture et l'intelligence sont sous diaspora, exil intérieur ou sur Facebook. A croire qu'ils sont meilleurs puisque ces autres ne passent plus nul part. Mais cela ne les intéresseraient plus de passer. Mieux vaut donc donner place à la pub des choux-fleurs, des villas aux grands jardins et des crèmes à bronzage. Répétons donc : pour les impôts grecs il y a 400 piscines aux alentours d'Athènes. Vue du ciel il y en aurait dix mille. Et vous auriez tout compris, rappelez-vous. Puisque aussi la deuxième langue de ce pays Grec est devenu... l'Allemand. Un peu plus de pollution alors, et des malades s'appropriant tout: Platon, arts, les femmes (et l'argent) des autres, etc. etc. Le truc alors c'est de boire du whisky, du Porto, de l'Ouzo ou du Pernod sous parasols ou palmiers avant de dégueuller. Mais allez donc encore trouver le bon, vous le défroqué ou frustré à ce point. Et puis il y a les contrôles, là où la grisaille & les ghettos pèsent. Sont ils bien arrivés eux? Là où nous étions nous, entourés de yachts de milliardaires communistes et des belles femmes bronzées sous décolletés bandant pour la banane et plus libres que leurs concierges laides qui ronflent et pètent comme les marchands à bestiaux à côté du village. Ont-ils aussi dû prendre le cap direction CPAS ou les flics du coin? Parce que les impôts sont là pour les pauvres puisque il n'y aurait plus de corruption chez les cons. Il y eu alors Auschwitz by night. Tant de morts, monsieur. A croire les mouches universelles elles. A croire les boches jamais revenus, allons donc. Mais chez eux alors: cages dorées, nous dans le labyrinthe après HLM. Mais ne vous y trompez pas : ici, à côté de la Basilique de Bruxelles, aucunement des jésuites homosexuels sachant Shakespeare par coeur, mais des pervers et des gens sans aucune culture qui ne pensent qu'à l'argent. Voire même des barbares qui vous font vivre dans des conditions tels que c'est la guerre d'usure et psychologique dans un bruit infâme. Et ils prennent tellement l'argent des autres, qu'il n'y a plus d'argent pour partir pour nous. Comme avant, avec le sel de la mer entre ses fesses sur une plage blonde à moitié déserte. Maintenant, ce sont des sardines industrielles d'un côté et quelques maffiosi qui ont des plages privées, surtout en Italie et Sicile. Ces maffiosi - comme c'est étrange - sont de la même 'race' que ces catholiques pervers d'ici. ET, ils ont le pouvoir (et le fric) depuis des siècles. La sortie d'Egypte y est impossible... Voilà où nous en sommes. Quel est alors le paradoxe? Tout naturellement leur nationalisme, vous avez bien dit.