Tout comme cet Evangile et notre Louis Paul Boon le décrivent ils n'ont pourtant pas suivi la barbarie, qu'elle soit catholique ou nazie, disent ils. Chacun d'entre nous fut pourtant à un moment bien terminé dans sa vie humilié, balancé, idéalisé, sous esclavage, sous amour avorté, sous mensonges, opportunisme, conventions et conformisme au pouvoir, volés,... . "Parfois comme un chien", écrit Hugo Claus pour le citer. C'est 'l'initiation', mais habile celui qui réussit à ne pas se faire euthanasier, déconstruire, bannir ou attacher au nom du postmodernisme chrétien qui en fin de compte cache une préhistoire, imposant autoritaires hypocrites depuis Byzance, adeptes de l'expression de primates jamais dans antichambres, de prostitués sous 'béatitude'. L'autre c'est l'enfer ou l'autre c'est la salope, sous une "civilisation" broyée par deux mille ans de ténèbres, de mains trop propres pour ne pas être sales. Freud? Sans Stendhal, Heinrich Heine ou Shakespeare pas de Nietzsche, mais les meilleurs manuscrits en fait jamais publiés, ou brûlés. Le meilleur art jamais montré (à la lumière). Voilà le paradoxe: celui qui noue l'abjecte à cette commune réalité de bernés, sous capitalisme toxique ou suivisme de pédérastres ou pédophiles pervers d'églises puisque tout fonctionne et se confond, même et surtout la nécrologie de logiques littéraires. Imaginez-vous donc qu'il y eu avant Judas, Connie Palmen, mais elle vieillit (mal) aussi. Intellectuelle Hollandaise pas trop moche, genre postpunk à la mode, universitaire mettant la philosophie aux sons de romans, qui les ennuient, mais relatent (dans son roman 'De Wetten' (Les Lois)) je vous le rappelle sept hommes, dont l'épileptique, le physicien, l'astrologue,... le curé. En fait les lois de l'amour et de la vie. 'Grande' révolution n'est-ce pas? Mais c'est ce qui passe dans médias et c'est ce qui est 'meilleur' puisque seul intellect en livres de poche que vous trouvez au GB, inclus famille Nothomb. Et Voltaire dans tout cela? C'est fini puisque 'ouvriers' du frivole intègre sans doute, orienté au bénéfice du grand rayonnement de cet esprit libre (???) d'intello 'à la mode' devant montrer aussi leurs muscles ou leurs culs à Ibiza comme de simples adolescents ou voyous pour faire fonctionner le sable ou la boue des Lettres devenues malgré eux adultes ou produits de consommation. Certes Bazin et Sagan à Moscou, mais les impôts occidentaux aux fesses de leurs enfants. Glucksman aussi en première page du journal 'Le Monde' -quand on ne doit pas nous prouver la naïveté politique de Einstein-, au slogan de pub "Nous sommes tous juifs Hongrois" et le marketing passe partout, après mai '68 pour ensuite nous parler de philosophie sous forme de pub presque en dernière page du même journal cette fois. Il passe alors dans tous les médias occidentaux au nom de 'la pensée (unique?) occidentale', mais il est le seul. Il n'y a plus personne d'autre, même plus une seule 'crapule stalinienne'. Dilapidé. Imaginez donc la plus belle de la classe devenant écrivain en Hollande, le plus fou-fou de la classe un génie en Allemagne. Et la plus grande marionette une psychologue (enseignante!) à Honolulu. Est-ce possible? Mais a t'il vraiment existé cet esprit... libre? Hugo Claus c'est pas Victor Hugo par ce qu'on s'enmerde moins à l'Aurore, un peu plus de liberté chez eux que chez un ou une autre ici malgré tout, mais l'orbite schmilbiblique déterministe est bien là, pesant son prix d'or. Religieux puisque plus rien vraiment dissocié en tout 'éclectisme' ; ni l'art Perse, ni le petit slip de Marilyn Monroe, ni le Jazz à Amsterdam: "les dieux et leurs ministres" (HC). Mais il y eu même un livre où carrément en première page au lieu de mettre le nom exacte du traducteur, on publia les mots: une russe. Tout comme le grand penseur Pasolini était un mauvais poète, mais un grand philosophe, témoin historien et cinéaste de son temps, notre meilleur poète Hugo Claus était mauvais artiste, mais le plus grand fantaisiste flamand dans ce rayonnement (hyper productif). Mais mieux vaut avoir un mauvais artiste dans vos relations bedonnantes, qu'un mauvais garagiste, ou un mauvais avocat dit le dicton. Il y eu un jour un autre 'écrivain' de seconde zone, jouant lui l'aristocrate gigolo et voulant faire de même, pour me rappeller certaines choses de la vie. Il me disait que pas tout le monde voulait la liberté dans cette société. Seulement maintenant je viens de comprendre qu'il y a aussi des gens qui n'aiment pas la communication. Ou plutôt ils n'aiment pas que nous communiquions. A nouveau je fus plus conscient de cette lutte presque perdue, et de ma solitude ou folie, puisque presque plus aucuns camarades ayant survécu tout ce cirque, sauf ceux qui passent dans ces médias ou des livres qui ne se vendraient plus vraiment, surtout dans ce pays puisque 'Blogs' littéraires. L'Eglise à domicile, qui sait, du moment qu'il y ait la foi, au nom du père, du fric et de tous ces autres. Le même jour (historique?) où j'ai reçu une lettre de refus du musée juif de Belgique, Angela Merkel (et sa 'suite') était à Jérusalem. Pauvres Arabes. Les 'barons' ont les Mercedess, mais aussi le pouvoir absolu puisque ce qui est 'saint' ou grandiose transgresse la grande Histoire. Sauf à Koekelberg et à Dresde. Le summum fut l'interdiction que j'ai eue de rentrer dans les bâtiments historiques (depuis avant guerre) de la radio belge, maintenant aussi la rédaction de 'Brussel Deze Week', à Place Flagey. Rappellez-vous bien entendu leur Realpolitics, faisant fonctionner tous ces suivistes et opportunistes (racistes?) autochtones du cloître sans talent, jouant eux le jeu en jubilant, mais pensez aussi aux endroits (historiques?) 'interdits aux juifs et aux chiens'. Même les anciens Algériens de la Wehrmacht y ont contribués bien des années après. Lisez donc les tumultes dû à l'assimilation de l'immigrant Guttman et de sa famille dans le XXe arrondissement à Paris en 1925, et ce qui a suivi. C'est dans un roman de Simone Signoret ('Adieu Volodia'). Moins 'génial' que 'Les Trois Soeurs' de Tchekhov, mais dans la tradition, à la portée de tous nos prophètes en tête, en quête de télés puisque au dessus de la mêlée (?).
