Est-ce le facteur qui décide quand vous écrivez et envoyez vos lettres ou écoutez la BBC? En ce qui concerne (les petites gueguerres de) Internet ce serait le cas vu les innombrables sabotages, malgré vos lourdes factures. Que peut bien vouloir dire 'Pouvoir', ayant nous quelques notions succinctes de gesticulation d'argent chez certain(e)s, de médias et puis la vie au quotidien. Certes il y va donc d'orchestrations, de scénarios indélébiles pour susciter une attention, un suivisme béat pour ceux qui doivent se soumettre et fonctionner. Régulièrement on vous fait part dans ces médias de 'fous' qui se mettent à tirer pour questions de voisinage. Après une dure semaine, de fatigue chez ces ouvriers et enfants dû à ces firmes ou écoles où on vous demande d'être performant ce fut à 5 heures 40 samedi que ces gens ont sursautés dans leurs lits au passage de sirènes américaines stridentes à la Basilique de Koekelberg. Le même week-end on vous montre le pape dans ces médias belges, tout puissant, aussi envers un roi et une reine, pour sans doute cautionner un stéréotype historique et tout le fric, la perversion et pouvoir la derrière. Si mon grand-père ne mettait pas ses enfants à l'école catholique il n'avait pas de boulot. Qu'est-ce qui a changé? Ah oui, le pouvoir des socialistes. Faite l'analyse des logements sociaux (Foyer Bruxellois) aux Marolles et les pauvres gens vivent depuis des années dans un enfer psychologique: sirènes américaines stridentes, bruits dans la tuyauterie des chambres (la nuit) et claquements de la lourde porte de l'entrée. Et qu'est-ce qui change avec Service Technique et hiérarchie dite de gauche? Rien, depuis des années. Concernant la presse (alternative?) c'est encore pire, malgré information de la naïveté politique de Einstein: "Cela dit, j'ai montré vos textes à notre comité de rédaction et l'avis, unanimes, est qu'ils sont intéressants par leur message toujours contestataire. Mais il nous a paru, aussi d'une manière unanime, qu'ils ne sont pas publiables dans leur état pour un journal comme le notre. parce qu'ils ne sont pas conçus comme des articles journalistiques." (Vladimir Caller, rédacteur en chef du "Drapeau Rouge"). Les mêmes (tout comme le défunt Ernest Glinne) doivent se positionner contre licenciements (arbitraires) en entreprises. S'agissait-il pas d'un 'autre' journalisme, plus 'original' et moins moutonnerie, pour solutionner la crise de la presse? Si pas de pape vous saviez bien entendu le même week-end zapper sur Michel Drucker pour Frédéric Mitterand. Une moralité polémique d'hommes blessés quand Jean Genet léchait les murs. Nous avions presque oublié comment orchestrer la vente d'un livre, nous les petits Belges, qui ne connaissent en fait pas de rentrée littéraire, si ce n'est Amélie Nothomb ou éventuellement Pierre Mertens (que je viens de rencontrer) qui passent dans cette dynamique de relations publiques littéraires sous scénarios bien établis à l'avance. Mais pourquoi pas nous? Frédéric Mitterand nous rappelle les bourgades du raffinement aristocratique à cette télé par ce qui a fait la vraie France "actuelle" après Voltaire: Brigitte Bardot, Gabin, Piaf, Gainsbourg, Godard, Alain Resnais, etc. etc.. Grande culture révolutionnaire un peu plus libre ou flexible que les petits belges donc, eux sous dogmatisme moyenâgeux. Avions nous oublié notre défunt Hugo Claus peut-être?