Problématique de sociologue: comment peut on répertorier la perversion du système dans une analyse? Faut-il bien entendu d'abord définir la perversion, ensuite faire sans doute des enquêtes leur posant des questions, sans doute tout aussi perverses. Grosso-modo il y aurait deux 'pôles' dans Bruxelles. L'un au centre, les Marolles, où le mélange de cas sociaux fait de ces habitants des gens sains prêt à casser la gueule à des imbéciles, mais étant complètement impuissants par rapport à ces sirènes américaines, au décibels inhumains: sortie et rentrée de l'hôpital Saint-Pierre, en plein milieu d'un quartier où les gens vivent, où on ferme le bureau de Poste. Emmerder donc le petit peuple, car ces sirènes 'on' les fait fonctionner par exemple au milieu de la nuit, à 5 heures du matin, ou en sortant très lentement quand il y a personne d'autres devant eux, et qu'il est possible de rouler aussi vite sans faire fonctionner ce vacarme qui transperce littéralement tous les sens de nos habitants. Faire souffrir les gens, et on s'étonne alors de voir personne réagir, mais souffrir sans plus rien dire. De même à la Basilique, deuxième pôle de névroses, où ces pions font souffrir et ils se mettent à ricaner. Ils se mettent aussi dans la tête en bons catholiques d'imposer une musique de merde à tout le quartier car mettant des baffles énormes les dimanches juste devant cette Basilique, ce qui fait résonner le vacarme aux alentours. Si vous leur faites la remarque de ne pas imposer leur vacarme (de frustrés), et puisqu'ils sont catholiques de faire cela dans l'église même, ils ne vous répondent pas dans leur hargne, mais se mettent à nouveau à ricaner, et continuent. A partir du mois de septembre ce sont des sirènes à partir du matin très tôt et au milieu de la nuit quand il y a personne dehors, et tous les dimanches ce sont ces sirènes à partir de six heures du matin, quand les cloches commencent à 8 heures du matin. Repos dominical: interdit. Résultat? Les riches sont déjà longtemps partis, mais ô paradoxe les prix des loyers et prix des appartements à l'achat sont devenus tellement hauts, chers donc, que ce ne sont que les imbéciles qui achètent ou louent. S'en suit une drôle de forme d'ostracisme dans les médias, où les meilleurs journalistes ne jouant pas ou plus le jeu sont réduits à faire des Blogs, sans plus aucuns apports sur le papier. Le jour où je me suis présenté à la rédaction de télé-Bruxelles, au temps où ils étaient encore Avenue Louise, je voulais simplement les informer au sujet de une de mes expositions d'oeuvres d'art. J'ai fait une bonne dizaine d'exposition dans cette ville. Je voulais donc simplement donner des cartes d'invitations, espérant un journaliste ouvert à la chose. Là dessus il y eu un petit prétentieux merdeux & arrogant qui m'a mis littéralement à la porte, me lançant d'une manière agressive que télé-Bruxelles est privé, quand je lui demandais poliment pourquoi il me refusait. Impossible aussi de trouver un ou une critique d'art dans les journaux, mais je passais avant hégémonie catholique et laide à tv Brussel (flamand), c'est tout. Démocratie? Ou pouvoir de flic & fric? Vous arrivez donc à la situation paradoxale que les gens votent pour des personnes ayant ce pouvoir de visibilité dans ces médias ; les plus intègres voir les plus intelligents ne passent nul part. Serions-nous alors tous devenus clandestins? Les consciences de concierges et productions culturelles sont donc séparées, sorte de schizophrénie impliquant de graves dangers de simplifications dans ce langage 'vulgaire' des dominants. La masse réduite à une quasi totalité de laideur imposée, de pions médiocres interposés sans éducation. Il y a juste une semaine une adresse email de la RTBF me refuse à nouveau, sans merci, sans explication. Un pouvoir quasi divin sur la vision du monde maïtrisé au niveau de quelques provinces de paysans? Attendons nous donc à partir de septembre à nouveau aux scénarios de folklore de nos imposteurs.
