Abstraction faite de la vie de tous les jours, je prépare à ma manière un Blog, pour faire comme tout le monde puisque aucunement de belles blondes aux monokinis aux allentours de mon cocktail sous pailles. Trop près de ces Evangiles, au contraire de Nietzsche, sans doute. 'Système de peinture' est le titre d'un livre pas très intéressent. 'Les croix des assassins' un autre titre de livre, point plus intéressant si ce n'est de ne le trouver dans aucune librairie. Il nous reste alors la télé. Si vous êtes à Bruxelles et ses médias, ce sont les postes de ministres qui se distribuent à la pelle maintenant. Pardoxalement confirmer groupes homogènes, voire conformes à l'image de 'classe' sous anticipation, quand les luttes ouvrières sont canalisées à la Costa Brava sans putes. Reste l'art, mais il est moins visible à Bruxelles, malgré quelques architectures d'époque, en fait un 'testament' relégué sous une Grande Place de pierres sans cimetière, et de quelques dômes. Au plus il nous faudrait se focaliser sur cette seule flamande qui collabora avec l'extrême droite flamingante, -tout comme son père collabora avec la Gestapo pendant la guerre-, au plus on deviendrait aveugle. Elle se positionne en blanc, seule femme en politique, tout comme en Allemagne apparemment. Le blanc comme docteur Mengele (joué dans un film par G.P.), le blanc comme le pape, le blanc comme Goering, etc.. Monsieur Jean-Luc Vanraes 'éternellement' à ses côtés, mais lui aucunement collabo, mais simple 'capitaliste'. Et l'art dans tout ça? Et bien c'est fini. Dans les magasins de toiles au centre de Bruxelles, les prix ont triplés et il n'y a presque plus une seule toile faite avec (bonnes) planches intactes ; ce sont tout des morceaux de bois collés l'un à l'autre. Mais les toiles de merde (coton) se vendent en vrac. Déduisez les taxes, la bouffe et les loyers et c'est fini d'être artiste. Tout comme la gauche c'est fini aussi, en tous les cas au parlement et à la télé, voire même aussi bien entendu journaux 'on net'. Il nous resterait la mer ; faire l'amour dans le sable chaud pollué. Mais on me dit que surtout là aussi c'est comme la gestion du puzzle des places de parking. Liberté? Où ça??? C'est pas encore le demi milliard de gens qui ont été sur Yahoo!. Et personne ne s'intéresse encore à l'art, comme c'est étrange... mais il y a encore du pain sur la planche. Pour certains c'est la brioche, pour d'autres comme nous ce sont les produits 'cartons' des grandes surfaces. Nuance. Et puis dans tout cela il y en aurait qui ont créer et travaillé pendant des années tandis les autres qui ont pensé à l'argent et maisons. Voilà la réalité.Il nous resterait nous, toutes les utopies sociales (im)possibles (cfr. Musil, Cavana, Colluche, Cohen,...), mais le bruit des bottes stimulerait les industries et marchands à pains ou fusils, à côté des églises, comme cette Basilique ici à Bruxelles, sous des gens pervers (avec (caca de) chiens). Les autres se référant sans doute aussi à un Tribunal Suprême du surréalisme belge comme étant produit (esthétique?) de leurs collèges tout aussi catholiques : révolution dans l'aquarium du Palais témoignant une stratégie de réussite (sur le net) quand eux seules ne payent plus rien, certainement pas loyers, art ou Belgacom. Mais le mandataire mandarin n'est forte heureusement plus sacré, quand tout est canalisé, 'thérapeutique'; commercialisé sous débâcle bancaire de canailles. Les autres sous camisoles chimiques après l'échec de l'Entreprise, tout aussi visionné par écrans interposés, industrialisés aux couleurs tout aussi grises ou fades. Disons la fin du socialisme, et la fin du capitalisme sous dose homéopathique mais anale : Andy Warhol. Plus personne d'autre. Certes il y a le meta, la maîtrise camouflée de son entourage entre murs, exprimant ou extirpant plus rien que la concorde de la contrainte envers tous ces actes accomplis, jamais sous le règne ingrat du doute puisque le Grand Manipulateur, ou la Grande Manipulatrice, auraient gagné(e)s, les pions à nos fesses.