Parlons en. Picasso a dit un jour (puisqu'il parlait aussi): donnez moi un musée, et je le remplie. Certes je n'ai le talent de Picasso, -d'après moi le meilleur peintre du 20ième siècle-, mais ici c'est juste le contraire. Si vous voulez 1m² il s'agit de le payer ce 1m² (en loyer). Aucun cadeau, madame, monsieur. Même pas un merci. Drôle de société si vous voulez mon avis, mais ils ne veulent pas mon avis. Expression piège à cons? Nuances du pictural alors, l'une d'une modernité flamboyante, l'autre d'une monotonie intrinsèque. La variante donne l'absolution ; d'une rigueur même qui équivaut le soubresaut du dominateur, sur l'échiquier, quand tout est manifestation obligée d'une dite bonne éducation, celle en tous les cas qui fait taire sur cette terre nos mères éphémères en allant eux encore vers la mer sous un ciel maussade. Le choix entre taxation et quelques autres équations intelligentes ; vise une entropie profonde, mais d'une stabilité vieillotte. Alors que l'équation se heurte aux exigences de divergences imbibées d'imbécilité. Les lois de la nature (chaos-probabilité-irréversibilité) nous mènent vers un au-delà de son soi-même quand toute Lumière est éclatée dans sa globalité, trouve une métaphysique pour tenir compte d'une stabilité artificielle, d'un non-dire, d'un discours silencieux sur nos nobles grandeurs absentes. Ce que nous faisions devenait inutile, et que nous devions bien nous résigner. Ce dont moi je dois me rappeler de Kant? Le sublime doit toujours être grand, mais le beau peut aussi être petit. D'où l'éthique vous allez me dire. Mais on ne me dit plus rien ; cherchons donc ses charmes, et la source de mes maux. Un domaine de sens, inasujetti, disponible et constitue une variante sur la production de ce langage, n'y eu t'il un langage pictural pour prépondérer, s'avérer apte à jouer le jeu jusqu'au bout, de renifler l'ombre de son ombre, et de constater une absence absolue de fantaisie, de frivolité voire de contraire chez ces chercheurs qui s'inspirent de notre désarroi, notre faiblesse, de ne plus rien dire que de dire ce que l'on attend de se dire, entre le moi et le tu, entre le moi dans toi, dit-elle, le Moi sans Soi sous un toit quand les petits pois sont sur un tas à la cuisine. Syntaxe de structure de théories de cons, de supernova thétique. On s'y oppose donc en restant tout simplement aussi absent dans leur assemblage à eux. Se rappelle t'on le propart, si ce n'est le popart, consumisme en absurdisme symbolique de l'instauration officialisée du délire du système, en nombrilisme quand plus personne ne consomme, si ce n'est pour bouffer après dédoublement de personnalité pour le boulot. Nous réduisant nous au néant quand la poésie n'a aucune autre mission que la poétique, si ce n'est entrevoir une psychologie psychotique du doute envers tous les détails du monde lunaire. Après la mort de Dieu, la mort de l'art, la mort du parti et la mort de l'être humain on s'étonnera en effet pourquoi je donne moi encore signe de vie.