Song bij het uitvoeren van de brug Qi Gong

De strofe over het geluid – refereert naar een klankschaal

De strofe over het licht – refereert naar het pantheon in Rome (zie voorgaande berichten over Hadrianus)

Voor alle mensen één, een klankbekken als een kom

van buiten bol, van binnen hol, energie al in al om

In het midden het wervelende water, de klaterende spiraal kolom,

luister er naar,  naar het omarmende welkom

Voor alle goden één, een pantheon van lavasteen

Van buiten de wereldbol, van binnen de hemelboog

In het midden het ene oog, waarlangs de zon heen toog

Voel de warmte, de zon die op ons allen scheen

De alles omvattende macht, de verenigende kracht

we bewegen zoals de acht, 

en verzamelen energie,  qi,

Mémoires d’Hadrien – Marguerite Yourcenar

Hadrianus heeft het Pantheon laten herbouwen ter eer van één god/alle goden in één.

En hij heeft goed nagedacht over boven en onder zijn één (een spreuk die pas later belangrijk was voor de alchimisten) ...

Het pantheon... een grote steen der wijzen?

boven en onder zijn één

langs buiten de wereldbol, lags binnen de hemelsfeer!

het één omvat het al, het al het één

door het oog schijnt de zon die dag en dag uit de uren toont

de elementenen hemel en aarde, water, vuur, zon en maan

het is er weer eens allemaal ....

Phrases clés du livre

De plus en plus, les déités m'apparaissaient mystérieusement fondue en un Tout, émanations infiniment variées, manifestations égales, d'une même force ...: leurs contradictions n'étaient qu'un mode de leur accord.

Hadrien sur le panthéon qu'il a fait reconstruire
J'avais voulu que ce sanctuaire de Tous les Dieux reproduisait la forme du globe terrestre et de la sphère stellaire, du globe où se renferment les semences du feu éternel, de la sphère creuse qui contient tout. C'était aussi la forme de ces huttes ancestrales où la fumée des plus anciens foyer humains s'échappait par un orifice situé au faîte. la coupole, construite d'une lave dure et légère qui semblait participer encore au mouvement ascendant des flammes, communiquait avec le ciel par un grand trou alternativement noir et bleu. Ce temple ouvert et secret était conçu comme un cadran solaire, les heures tourneraient en rond sur ces caissons soigneusement polis par des artisans grecs; le disque du jour y resterait suspendu comme un bouclier d'or; la pluie formerait sur le pavement une flaque pure; la prière s'échapperait comme une fumée vers le vide où nous mettons les dieux.

Dans un monde où tout n’est que tourbillon de forces. Danse d’atomes, où tout est à la fois en haut et en bas, à la périphérie et au centre, je concevais mal l’existence d’un globe immobile, d’un point fixe qui ne serait pas en même temps mouvant.

Finalement les secrets sont des plus banales …

L’or vierge du respect serait trop mou sans un certain alliage de crainte.

Chaque homme a éternellement à choisir, au cours de sa vie brève, entre l’espoir infatigable et le sage absence d’espérance.

L’âme de l’empereur montait au ciel, emportée par la spirale immobile de la Colonne Trajane.

Et la plupart des hommes aiment à résumer leur vie dans une formule, parfois dans une vanterie ou dans une plainte, presque toujours dans une récrimination.

J’ai souvent pensé que les amants passionnés des femmes s’attachent au temple et aux accessoires du culte au moins autant qu’à leur déesse elle-même.

Mémoires d’Hadrien – Marguerite Yourcenar

Phrases clés - deuxième volet

 
De plus en plus, les déités m'apparaissaient mystérieusement fondue en un Tout, émanations infiniment variées, manifestations égales, d'une même force ...: leurs contradictions n'étaient qu'un mode de leur accord.


Hadrien sur le pantheon qu'il a fait reconstruire
J'avais voulu que ce sanctuaire de Tous les Dieux reproduisait la forme du globe terrestre et de la sphère stellaire, du globe où se renferment les semances du feu éternel, de la sphère creuse qui contient tout. C'était aussi la forme de ces huttes ancestrales où la fumée des plus anciens foyer humains s'échappait par un orifice situé au faîte. la coupole, construite d'une lave dure et légère qui semblait participer encore au mouvement ascendant des flammes, communiquait avec le ciel par un grand trou alternativement noir et bleu. Ce temple ouvert et sécret était concu comme un cadran soliare, les heures tourneraient en rond sur ces caissons soigneusement polis par des artisans grecs; le disque du jour y resterait suspendu comme un bouclier d'or; la pluie formerait sur le pavement une flaque pure; la prière s'échapperait comme une fumée vers le vide où nous mettons les dieux.

Aha ... een grote steen der wijzen : boven en onder zijn één het één omvat het al, het al het één en hemel en aarde, water, vuur, zon en maan,
het is er weer eens allemaal ....