CFC-Éditions et
Liselp présentent le livre - BONOM, le
singe boiteux.
Dessins, peintures, sculptures : Vincent
Glowinski
Le 13 février
2014 à 18 h 30, Quartiers Latins vous invite à une rencontre entre
Bonom/Vincent Glowinski et Pierre-Olivier Rollin, directeur du B.P.S. 22 à
Charleroi.
Quelques réflexions
perçus pendant cet entretien
BONOM nest pas
un nom dartiste, cst un tag, cest le mythe qui ne rate jamais un dessin.
Vincent, par
contre a le droit de rater quelque chose.
Pour commencer des
graffiti, Vincent Giowinski a besoin de deux sensations :
- accepter quil va « vandaliser » un mur
/un bâtiment, cest le sentiment bas
- vouloir créer quelque chose « plus
grand »
Public :
quelque chose qui est beau, qui nous plaît
Vincent : ah
non, ce nest pas pour vous, cest pour
moi
normalement je nai pas de bons feed back, la police vient, les gens se
plaigne
le contraire, ce nest pas bon non plus
une dame qui est demandé
par la police pour faire une plainte
non non cela me plaît bien, mais il faut
peut-être lui demander de changer un peu par là
. Cela ne vas pas non plus, cest
accepter que la composition nest pas bon.
Cest pour moi,
pas pour vous
enfin dans le temps
jai changé.
Les graffiti ont
la possibilité de sortir, de faire des lignes plus loin
plus à Bruxelles quà
Paris, plusieurs ont des « liens » entre eux, comme ils sont pas loin
lun de lautre.
Ce qui est
intéressant cest quil se situe dans un monde
tu fais un tour et plus
revoilà
jai fait des choses qui
apparaissaient seulement clairement après quon démolissaient un mur
il y
avait plusieurs couches. Il faut aussi que cest à réaliser dans un minimum de
temps.
Il y a une
optimisation, le moins de moyens
peintures, brosse/perche
le plus de
résultats
le squelette aux BOZAR/Ravensteiu
. Il est plier en deux, à cause
de la longueur de la perche et pour avoir un « grand » effet.
Le renard sur la
cité administrative est « étroit » parce que il est dans le champ que je pouvais atteindre.
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