s'apprêtant à les gober tout crusGYAAGYAA ! protesta bruyamment la mère des ufs.Le pauvre oiseau se savait impuissant face au large bûcheron, mais son cri transperçait la montagne, et les oreilles, consultation voyance gratuite, du voleur par la même occasion.GYAAGYAA !Á contrecur, le bûcheron reposa les ufs dans le nid.Pas la peine de crier comme ça, hurla-t-il J'ai faim, et je suis le plus fort, alors laisse-moi manger en paix Iyaiya, dégage Pas question pour la mère d'abandonner ses petits.
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