Hussein Radjab
quelle que soit la longueur de la journée, le soleil finit par se coucher
Inhoud blog
  • Nkurunziza à Bruxelles
  • Projet du Code électoral, certains parlementaires se réjouissent et les autres divisés
  • Les attentats contre les membres des partis politiques de l’opposition
  • Zoeken in blog

    Beoordeel dit blog
      Zeer goed
      Goed
      Voldoende
      Nog wat bijwerken
      Nog veel werk aan
     
    agenda

    Belangrijke data in mijn agenda

    Foto
    14-08-2009
    Klik hier om een link te hebben waarmee u dit artikel later terug kunt lezen.Les attentats contre les membres des partis politiques de l’opposition
    Klik op de afbeelding om de link te volgen Les membres des partis politiques de l’opposition continuent à être la cible des attentats par des hommes armés de fusils. Ces derniers temps, parallèlement au processus de désarmement de la population, on assiste à un mouvement inverse de réarmement de cette dernière par le Service National des Renseignements. Plusieurs cas du genre sont signalés dans tous les coins du pays. Des assassinats ciblés s’observent presque partout dans le pays et, la société civile, les média et les partis politiques ne cessent de le dénoncer.

    Ce mardi 16 juin 2009 vers 20h30, dans la commune de Ngozi quartier Kinyami, un homme armé d’un fusil accompagné de trois autres armés de coupe-coupe se sont introduits dans le domicile de Mr Harahagazwe Jean Marie, Représentant provincial du cercle des jeunes (IMURIKIZI) du parti UPD-Zigamibanga. Ces assassins ont prié aux occupants de la maison de mettre les mains en l’air mais, le veilleur de la maison lui a sauté dessus, lui a arraché le fusil et l’a tué. Au même moment, les autres ont pris fuite. Soudainement, l’administrateur de la commune Ngozi est arrivé sur les lieux et a transporté cette victime non identifiée vers l’hôpital de Ngozi. Ces assassins qui ont pu prendre le large n’ont pas jusqu’ici été appréhendés, ce qui laisse présager que ce sont des gens des environs.

    Très récemment, les autorités administratives du pays taxaient à tort ou à raison le parti UPD d’organiser des malfaiteurs pour attenter à la sécurité de l’Etat. Invraisemblablement, ce sont les membres de ce parti qui subissent chaque jour des harcèlements visant à les empêcher de s’épanouir à l’instar du parti au pouvoir. Décidément, les armes qui circulent à travers tout le pays visent l’intimidation des membres des partis politiques de l’opposition et sèment la terreur et le désordre, créant ainsi un climat susceptible de saboter les élections de 2010.

    Vers la fin de l’année 2007, est atterri à l’aéroport international de Bujumbura un avion soudanais qui transportait des armes à destination de la Présidence de la République, si du moins on croit à nos sources. En effet, le déchargement a été assuré par la garde présidentielle au moment où tout le personnel de l’aéroport avait été contraint de plier bagage et vider les lieux afin de faciliter la dissimulation de ces armes. Contacté à ce sujet, le Porte-parole du Président de la république, Mr Hatungimana Léonidas a révélé que c’était des ordinateurs commandés par la présidence. Tout le monde s’est posé la question de savoir pourquoi on doit chasser le personnel de l’aéroport pour décharger les ordinateurs ? QUID !

    Selon des sources concordantes, la police présidentielle aurait déjà distribué ces armes aux démobilisés proches du parti CNDD-FDD pour ôter la vie aux leaders des partis politiques de l’opposition. Les mêmes sources indiquent que ce sont ces armes en circulation qui seraient utilisées pour divers meurtres qui s’observent dans tout le pays. Ce qui devient absurde, c’est la facilité avec laquelle le gouvernement qualifie ces forfaits de cas de vol, alors que chaque fois après le crime, ces malfaiteurs n’emportent aucun objet matériel. Le mois dernier, la population de Muyinga dénonçait les actions menées par les jeunes du parti au pouvoir dans ce que l’administration qualifie de sport de masse. On peut se demander quel type de sport au monde est pratiqué par des civils avec des grenades à la main ? La même population ne cesse de décrier des caches d’armes qui seraient dans différentes zones de cette commune, mais l’administration semble peu préoccupée par ces lamentations.

    Notre rédaction lance un appel vibrant à ces malfaiteurs que plus on est utilisé par les hommes politiques dans ces assassinats ignobles, plus on est à son tour lynché pour effacer toute trace pouvant les démasquer. Les cas de Messieurs, Maregarege, Bienvenu, le capitaine Pacifique Ndikuriyo et d’autres devraient leur servir de leçon. Peut-on construire une nation sur le sang de ses sujets ? Que les concepteurs de ce plan sachent que tôt ou tard, le bon Dieu finira par venger ces innocents. AMARASO ARAHUMA !!!

     


    0 1 2 3 4 5 - Gemiddelde waardering: 0/5 - (0 Stemmen)
    14-08-2009, 23:11 geschreven door UPD  
    Klik hier om een link te hebben waarmee u dit artikel later terug kunt lezen.
    25 juin 09

    Mr Chauvineau Mugwengezo
    Le ministère de l’Intérieur vient d’avertir l’UPD-Zigamibanga contre ses actes visant à inciter la population à la haine et à la révolte. Une démarche considérée comme un signe avant-coureur à son exclusion au moment où les esprits plongent déjà dans la période électorale.

    Chauvineau Mugwengezo, porte-parole de l'UPD-Zigamibanga est catégorique: "Nous sommes au courant d’un plan visant à exclure notre parti de la course aux élections de 2010." Il l'a affirmé au cours d'une conférence de presse, le 9 juin 2009, à la permanence dudit parti.

    Trois jours avant, le cabinet du ministre de l'Intérieur et du Développement Communal, avait écrit à l'UPD-Zigamibanga pour lui signifier ses agissements dans les provinces de Bubanza, Kirundo, Karuzi, Makamba et Gitega : "[…] Les rapports à notre dispositions nous renseignent sur l’organisation, par votre parti, d’une association de malfaiteurs pour attenter à la sécurité de la population avant, pendant et après les élections."

    Ce que Chauvineau Mugwengezo réfute énergiquement : "C’est impossible ! Par ailleurs, nous sommes le seul parti au Burundi qui mentionne explicitement le mot paix dans son appellation. Nous oeuvrons donc pour que tous les Burundais vivent et travaillent paisiblement." La même correspondance fait état d’une cassette vidéo de l’UPD-Zigamibanga dont le contenu divise les populations des provinces de l’Est du pays et de la Mairie de Bujumbura. A ce sujet, le porte-parole de l’UPD-Zigamibanga défie toute personne qui prouverait l’existence de ce document : "[…] Elle est fictive puisque nous ne la connaissons même pas à la direction du parti !"

    Pour lui, le ministre de l’Intérieur n’est qu’un tremplin du parti CNDD-FDD qui cherche à exclure les partis de l’opposition de la course électorale ou à retarder les élections de 2010 : "Qu’ils sachent que nous avançons inéluctablement vers une victoire paisible de notre parti aux prochaines échéances politiques." Approché pour plus de précisions, le ministre ayant le contrôle des partis politiques dans ses attributions, met en garde tous les autres partis politiques.

    Edouard Nduwimana, ministre de l’Intérieur: "Si l’UPD continue, il sera rayé"

    Mr Edouard Nduwimana
    Vous avez adressé une correspondance au parti UPD Zigamibanga pour lui signifier l’existence d’une cassette vidéo semant la discorde au sein de la population. Pourriez-vous nous dire le contenu de cette cassette vidéo ?
    C’est vrai nous avons adressé cette correspondance au parti UPD Zigamibanga pour lui signifier qu’il travaille en cachette alors qu’il est agréé. Nous avons également souligné que ce parti est de mèche avec une association des malfaiteurs. Nous avons des preuves de ce que nous avançons. Nous avons aussi parlé de cette cassette vidéo qui est en train de circuler dans les provinces de l’Est et en Mairie de Bujumbura. Cette cassette contient des enseignements divisionnistes qui font reculer le Burundi. Elle sera mise à la disposition de la justice en cas de besoin. Pour le moment nous nous gardons de révéler son contenu. Nous avons simplement averti le parti concerné. Mais s’il persiste, nous allons saisir la chambre judiciaire de la Cour Suprême. C’est à ce moment que vous saurez le contenu de cette cassette et des détails sur l’existence des associations de ces malfaiteurs instigués par ce parti.

    Une certaine opinion affirme que toutes ces manœuvres visent à rayer l’UPD de la liste des partis pou l’empêcher de participer aux prochaines élections. Qu’en dites-vous ?
    Ceux qui répandent de telles rumeurs auraient un agenda caché. Au Burundi, nous avons 43 partis politiques agréés. Je ne pense pas que l’UPD soit le parti le plus redoutable dans ce pays car les Burundais sont au courant de l’effectif de ses militants. C’est absurde de penser qu’on peut empêcher ce seul parti de participer aux élections. Néanmoins, si ce parti continue à violer la loi, il sera évidemment rayé de la liste des autres partis politiques. Ils sont avertis d’avance et nous le répétons, s’ils ne veulent pas changer, ils seront mis à la porte.

    Les principaux partis de l’opposition disent que le parti présidentiel s’appuie sur le ministre de l’Intérieur pour les museler. Quel est votre commentaire ?
    Nous sommes au courant de ces accusations. Il est facile de pointer du doigt le ministre de l’Intérieur surtout quand il est du parti au pouvoir. En ce qui nous concerne, c’est pourtant l’intérêt de la nation et le respect de la loi qui doivent primer sur tout autre considération. De plus, il est surprenant que trois ou quatre partis soient les seuls à s’agiter toujours. Cela montre qu’ils ont des problèmes internes.

    Un mot pour tranquilliser les partis de l’opposition, les étrangers vivant au Burundi et tous les citoyens pendant cette période d’avant les élections.
    Que les partis politiques se rassurent. Le ministère de l’Intérieur n’a l’intention de malmener aucun parti. Notre souhait est qu’ils travaillent en se conformant à la loi. La population burundaise doit savoir que la maison ne brûle pas. Qu’elle reste tranquille. Les activités des partis se déroulent normalement. Quelques petits problèmes peuvent surgir mais cela ne pourrait inquiéter. Nous lui demandons seulement d’avoir un esprit de discernement. Aux responsables des partis politiques, nous leur exhortons à des discours constructifs. Nous tranquillisons tout le monde, les élections vont bien se dérouler. D’ailleurs ce n’est pas pour la première fois que les Burundais participent aux élections, ils en ont une expérience positive.

    Vers l’ouverture de la boîte de Pandore...

    La suspension des activités du Parti UPD- Zigamibanga, ou tout autre parti de l’opposition, signifierait la volonté d’exclusion d’un adversaire considéré comme redoutable de la course électorale de 2010.
    Le détenteur du pouvoir ferait fi de la règle démocratique qui consiste à accepter la possibilité de l’alternance politique. Une telle attitude serait contre productive à plusieurs égards. Elle serait dommageable pour l’image du parti au pouvoir. Et partant, pour l’image de marque du pays. L’aide bilatérale et multilatérale que le Burundi reçoit serait revue à la baisse pour cause de déni démocratique. L’édification d’un Etat de droit est une conditionnalité pour les différents partenaires du Burundi.
    Deux comportements des acteurs politiques pourraient conduire le Burundi à reproduire le syndrome kenyan. D’une part, le parti CNDD-FDD adopte le principe machiavélique à savoir que la fin justifie les moyens. En ce cas, la perte du combat électoral de demain ne serait pas dans le champ des possibles politiques, envisagé par le parti au pouvoir. D’où l’utilisation de tous les moyens pour gagner. De l’autre, certains partis politiques de l’opposition refusent d’accepter les résultats électoraux jugés frauduleux. La nouvelle de la victoire électorale du parti CNDD-FDD ouvrirait alors la boîte de Pandore. Des militants du parti gagnant et ceux des partis perdants en viendraient aux mains. De surcroît, certains partis comme le FRODEBU et le MSD comptent parmi leurs rangs des ex-démobilisés des FNL. La violence symbolique ou la guerre des mots dégénérerait ainsi en violence physique. Et la machine de mort serait de nouveau mise en branle au Burundi.

     par Didier Bukuru
    Dieudonné Hakizimana
    Guibert Mbonimpa

     


    0 1 2 3 4 5 - Gemiddelde waardering: 2/5 - (6 Stemmen)
    14-08-2009, 23:04 geschreven door UPD  
    Klik hier om een link te hebben waarmee u dit artikel later terug kunt lezen.
    Klik op de afbeelding om de link te volgen
    0 1 2 3 4 5 - Gemiddelde waardering: 3/5 - (1 Stemmen)
    14-08-2009, 12:59 geschreven door UPD  
    Archief per week
  • 26/10-01/11 2009
  • 17/08-23/08 2009
  • 10/08-16/08 2009
    E-mail mij

    Druk op onderstaande knop om mij te e-mailen.

    Gastenboek

    Druk op onderstaande knop om een berichtje achter te laten in mijn gastenboek

    Blog als favoriet !

    Blog tegen de wet? Klik hier.
    Gratis blog op https://www.bloggen.be - Meer blogs