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ברוך הבא!    السلام عليكم!

Bienvenue sur le blog de l'association d’études rabbiniques YECHOUROUN, Thora contre national-judaïsme (sionisme). Nous proposons des textes rabbiniques, (surtout de l’école de Samson Raphael HIRSCH) ainsi que des infos et documentations, le tout avec engagement antisioniste et solidarité anti-impérialiste, inspirés par la fidélité à la Thora.
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    Thora contre national-judaïsme (sionisme)
    01-05-2019
    Klik hier om een link te hebben waarmee u dit artikel later terug kunt lezen.Yechouroun Documentation : L'AN PROCHAIN A JERUSALEM Frères Tharaud (1930)


    Yechouroun Documentation historique:

     

    L'an prochain à Jérusalem


    Les frères jumeaux THARAUD (lire la description dans www.lesbelleslettres.com ) ont connu avec leurs nombreux reportages leur heure de succès littéraire. Représentants catholiques du nationalisme français ils usèrent d’un langage franc, qui de nos jours les causerait de graves ennuis. Sans étonnement, ils ont été taxés d’ « antisémites » A tort, car  il ne faisaient que partager les préjugés vis-à-vis des Juifs typique de leur milieu social et de leur époque. Voir d’ailleurs leur magnifique description de la misère du Shtetl, la bourgade Juive en  Galicie, Europe de l’Est, A l’ombre de la croix. On voit ce qu’il en est dans l’extrait ci-dessous. Les protestations antisionistes des Musulmans de Palestine sont rendues, mélangées avec une argumentation qui ne peut pas plausiblement être la leur. Celles des chrétiens (que nous n’avons pas reproduites) étaient d’un antijudaïsme évident. La curiosité la plus intéressante par contre est la reproduction « à peu près » (THARAUD) des paroles du Sage Rabbin Josef Chaïm SONNENFELD (originaire de Slovaquie, 1849-1932 Jérusalem, illustration) Remarquons en fin et surtout l’acribie avec laquelle sont reproduits les propos blasphématoires des Sionistes en réponse aux  plaintes citées ici.

     

    Extrait de l’ouvrage

    L’an prochain à Jérusalem par Jean et Jérôme THARAUD (1925)

    Ed. Plon 1930 Chapitre : Les Voix de Palestine

     

    Leur arrivée [des sionistes] ne fit plaisir à personne, ni aux Musulmans, ni aux Chrétiens, ni aux vieux Juifs du Mur des Pleurs.

    « Notre pays est-il donc un désert ? s’écrient les Musulmans. M. BALFOUR a-t-il fait le miracle de supprimer d’un trait de plume les six cent mille Arabes qui habitent la contrée ? Nous aussi aimons cette terre, où nous vivons depuis treize cent ans ! Jérusalem est pour nous la reine des cités, une des quatre villes du Paradis, avec la Mecque, Médine et Damas. De tous les points du monde c’est le plus rapproché du ciel. Ceux qui l’habitent sont les voisins de Dieu, et mourir à Jérusalem c’est mourir en Paradis…Ces juifs prétendent qu’en débarquant chez nous, ils reviennent chez eux le plus légitimement du monde, parce qu’on les a chassés d’ici autrefois par la violence, et que jamais la violence n’a créé droit pour personne. Mais eux-mêmes, jadis, se sont-ils établis dans ce pays autrement que par la conquête ? C’est la Chaldée, c’est l’Euphrate qui est leur patrie d’origine. Abraham lui-même se reconnaît si bien un intrus sur la terre de Chanaan, qu’il envoie un serviteur en Chaldée pour y trouver une épouse digne de son fils Isaac ; et la Bible est remplie des luttes de leurs rois pour s’emparer de la contrée. Nous nous y sommes installés à notre tour. Pourquoi notre conquête nous créerait-elle des droits moins légitimes que les leurs ? Nous vient-il à l’esprit de réclamer l’Andalousie, sous prétexte que durant huit siècles nous y avons développé la civilisation la plus brillante ? Pourquoi cette grande iniquité de vouloir mettre un peuple mort à la place d’un peuple vivant ? Les Juifs ont-ils versé leur sang pour reconquérir ce pays ? Où sont leurs martyrs et leurs morts ? Pendant la guerre nous avons combattu aux côtés des Alliés ; ils ont fait briller à nos yeux l’espoir d’un vaste empire arabe, et aujourd’hui, pour nous récompenser, ils nous livrent à ces étrangers ! Car c’est bien cela, n’est-ce pas ? Être forcé de recevoir l’émigrant, être mis sur son territoire en état d’égalité avec lui, se laisser imposer officiellement son langage, ce n’est peut-être pas encore être soumis tout à fait, mais c’est avoir déjà renoncé à être le maître chez soi. Et quand ces gens, venus on ne sait d’où, nous auront envahis au nombre de deux ou trois cent mille, avec leurs ressources infinies et leur subtilité, alors que deviendrons-nous ? Leurs esclaves, leurs serviteurs dans notre propre pays. »

     

    Et les Chrétiens, à leur tour :

     

    « … … … »

     

    Mais de toutes ces protestations, la plus surprenante à coup sûr est celle qui monte du Mur des Pleurs. Hier encore je me demandais : « Que peut-il y avoir de commun entre ces nouveaux Juifs que je rencontre partout dans la haute Jérusalem, avec leur air de conquérant et leur accoutrement bizarre, et les pieux mendiants d’Israël venus ici pour mourir ? » Je le sais maintenant : j’ai entendu la plainte du ghetto.

    C’était dans le quartier qu’habite les Juifs hollandais. Une cour bossuée, assez vaste, avec un peu d’herbe pelée et des acacias poussiéreux. Autour des maisons basses, des escaliers branlants, des balcons en bois vermoulus. On m’introduit dans une chambre fraîchement peinte de chaux bleutée, d’où j’aperçois par l’étroite fenêtre, garnie de gros barreaux de fer, la pente brûlée, semée de tombes, de la vallée de Josaphat. Ici demeure le rabbin SONNENFELD, un de ces vieillards dont les pensées ont l’âge de Jérusalem.

    Près de lui, qu’on est loin de ces prophètes en veston dont ont voit les photographies dans les journaux sionistes, et qui essayent d’accommoder de vagues sentiments hébraïques avec des idées empruntées aux civilisations d’Occident ! Sous le triste caftan noir, il est long, maigre, interminable. Si blanc est son visage, qu’on distingue mal sur ses joues où la barbe commence.

    Il a cette mate couleur des poulets qu’Israël vide de tout leur sang et laisse, avant de les faire cuire, tremper longtemps dans l’eau salée. Sa voix pâle elle aussi ne s’anime ni ne vibre, mais son regard a conservé l’éclat passionné de la jeunesse, je veux dire des temps anciens.

    Ce qu’il m’a raconté, le voici à peu près.

    Mais par la fenêtre étroite, comment vous montrer tous ces morts, toutes ces blanches pierres funèbres, qui dans le silence lumineux, semblaient glisser sur la colline pour venir écouter sa voix ?...

     « Nous sommes tes esclaves, ô Seigneur ! C’est la vieille Loi juive, et elle vaut pour l’éternité. Le jour où les Hébreux ont accepté cet esclavage, leur destin a été fixé irrévocablement. Le bien comme le mal ne peut leur venir que de Dieu. Et voilà que des insensés prétendent remplacer l’Eternel et rebâtir des leurs mains Jérusalem ! Leur Messie, c’est M. BALFOUR ! Mais ce M. BALFOUR a-t-il chassé d’ici les Chrétiens et les Musulmans ?[1] A-t-il reconstruit le Temple, réédifié le Saint des Saints, relevé l’autel des holocaustes à la pointe du mont Moriah ? Croit-il avoir fait quelque chose parce qu’il a permis à des Juifs de s’installer en Palestine ? Les gens pieux ont-ils attendu sa permission pour y venir ? Hélas ! l’infortune des siècles pèse toujours sur la cité sainte. Et à toute l’antique douleur s’en ajoute une autre aujourd’hui, et de nouveaux péchés aux vieux péchés d’Israël ! Partout, ces Juifs d’en haut, dont le visage seul est une offense à l’Eternel, ces Juifs rasés comme des porcs, apportent avec eux l’impiété. Ils ouvrent des écoles où l’on prononce tous les mots, sauf celui de Dieu. Ils emploient à tous les usages, et pour leur enseignement d’un prétendu savoir, la langue sacrée de la prière, et bientôt, s’ils continuent, ils feront braire les ânes en hébreu ! La Ville serait encore debout si le Sabbat n’avait pas été violé. Mais le respectent-ils, le Sabbat ? Les voit-on dans les synagogues ? Viennent-ils pleurer au pied du Mur ? Aujourd’hui ils prétendent mettre un impôt sur le pain sans levain que nous mangeons au temps de Pâque. Mais cet impôt, nous ne le paierons pas ! Nous ne nous mettrons pas dans leurs mains. L’Eternel, béni soit-Il ! nous a délivré du Pharaon, il nous a ramenés de Babylone et de la captivité, il nous a maintenu intact au milieu des Gentils, il nous sauvera maintenant de ces Juifs pleins d’orgueil, qui ont retiré leur confiance aux promesses du Seigneur, et qui ne viennent pas ici avec le Talmud et la Thora, mais avec l’évangile de Karl Marx… »

    Une légère couleur rosée est montée aux joues du vieillard. Dans ce vieux visage si pâle restait une goutte de sang que la colère fait apparaître. Et me montrant de son long doigt l’étonnant paysage de la vallée de Josaphat et tous les siècles de morts accumulés sous les pierres :

    « Les Juifs qui sont là, me dit-il, ont attendu toute leur vie le Messie. Nous aussi nous l’attendons et d’autres encore après nous. Mais ce n’est pas des Juifs sans foi qui rebâtiront Jérusalem ! »

    Et à toutes ces voix, à ces colères et à ces plaintes venues des quatre coins du ciel, le Juif Errant répond avec l’orgueil de quelqu’un qui ne se présente pas en vaincu, mais en maître qui rentre chez lui après deux mille ans d’absence :

    « Qu’est-ce que la Palestine pour tout esprit raisonnable ? C’est la Terre d’Israël, le pays où nous avons créé des pensées qui ont valu et qui valent encore pour l’humanité tout entière. Depuis qu’on nous en a chassés, nous l’avons mieux occupée par nos malheurs et un désir de vingt siècles, que si tout notre peuple n’avait jamais cessé d’y vivre. On nous demande où sont nos martyrs et nos morts. Mais notre sang nous l’avons versé partout, et par une fatalité malheureuse pour tous les peuples du monde ! Les Arabes peuvent protester qu’ils sont ici depuis treize cent ans, c’est comme s’ils étaient là d’hier. Des terres en friche, une pensée plus stérile que le sable et le roché, voilà tout le bilan de leur occupation. Qu’ont-ils fait de la Palestine ? Qu’est devenue, entre leurs mains, cette terre d’abondance dont il est parlé dans la Bible ? Il fait vraiment beaucoup d’amour pour retrouver dans cette Jézabel les beaux traits d’autrefois. Et pourtant le cher vieux visage garde encore quelque chose de la beauté disparue.

    Au bord de la Méditerranée, la meilleure orge du monde puisse toujours dans les paysages de Gaza. Les orangers, les amandiers et les vignes n’ont pas abandonné la plaine de Saron. Au pied de Nazareth, la campagne d’Esdrelon produit encore en abondance le sésame et le blé. Pourquoi la vallée du Jourdain ne deviendrait-elle pas une nouvelle Egypte, avec les eaux de Tibériade habilement utilisées ? Les monts de la Judée, si âpres et ruineux, n’étaient jadis du haut en bas, comme le sont encore maintenant les montagnes du Liban, qu’une succession de terrasses dont ont découvre à chaque pas les vestiges. Nous relèverons ces terrasses, nous referons ces jardins suspendus. Seuls, nous avons assez d’amour pour redonner la vie à ce vieux sol épuisé, et enfouir dans les marais et le sable un effort, des sommes immenses, que personne autre que nous ne voudrait employer ici. Partout il y a dans l’univers des terres plus fertiles et plus saines, mais pour nous autres Juifs il n’en existe de plus riche et de plus salubre. En ranimant cette terre, c’est notre esprit, c’est notre âme que nous allons ressusciter. Au milieu des nations chrétiennes, tout occupés que nous étions de nous faire accepter, nous cessions d’être de vrais Juifs pour devenir je ne sais quoi d’odieux aux autres et d’infidèle à nous-mêmes. Et dans nos ghettos de Russie, nous n’étions que des morts-vivants, liés par des prescriptions imbéciles, qui ont pu avoir leur utilité jadis, mais qui n’ont plus de sens aujourd’hui. Le temps des SONNENFELD est passé ! C’est lui et ses pareils qui nous ont étouffés sous la lettre de la Loi, et qui ont fait de nous le peuple misérable dont vous voyez les épaves dans la basse Jérusalem. Que les Musulmans se rassurent et les Chrétiens aussi ! Nous ne venons pas ressusciter un judaïsme suranné. Qui songe parmi nous à insulter au Saint-Sépulcre, à détruire la Mosquée d’Omar pour rebâtir le Temple à sa place ? Est-il un Juif de bon sens qui voudrait recommence à sacrifier là-haut des bœufs, des agneaux et des colombes ? Nous avons autre chose à faire ! Le libre génie d’Israël n’a pas sa source quelque part, je ne sais où dans le ciel, aux pieds de Dieu, mais sur la terre de Palestine, dans le cœur du peuple juif. Nous allons retrouver peut-être ce génie perdu dans l’exil, et redevenir, si nous pouvons, le peuple agricole et pastoral que nous avons été autrefois.»
    ____________________________________________
    Trouvé pour nos lecteurs, dans l'Internet:


     

    Jérôme Tharaud, Jean Tharaud

    L'An prochain à Jérusalem !

    Livre broché - 12,20 € - Epuisé

    Résumé   |   Fiche technique

    Entre le reportage et le récit de voyage, L’an prochain à Jérusalem raconte, avec une liberté de ton difficilement concevable aujourd’hui, la Palestine du début du siècle : au temps du mandat britannique, quand “ palestinien ” voulait dire “ juif ”...

    Sont ainsi évoqués, avec justesse et de fort pittoresque façon, la fin du règne ottoman, Herzl, les débuts du sionisme, les conflits, vite symbolisés par l’opposition Tel Aviv - Jérusalem, entre ceux qui attendent tout du ciel et ceux qui ne veulent compter que sur leurs propres forces ; la renaissance de l’hébreu ; la protestation arabe, l’inquiétude chrétienne, l’indifférence du baron de Hirsch, la réticence de l’Alliance Israélite Universelle, l’activisme de Ben Yehouda, le soutien d’Edmond de Rothschild et l’ambivalence des juifs américains ; la déclaration Balfour, la folle mise sur pied du premier réseau de renseignement militaire par la famille Aronsohn, et, déjà, le peu d’amour porté par le Quai d’Orsay à l’idée même de home national juif, invention du très retors Foreign Office.

    Ernest dit Jérôme Tharaud (1874-1953) et son frère Charles dit Jean Tharaud (1877-1952), proches de Péguy et de Barrès (le chantre du nationalisme français encourageait l’émergence de littératures “  nationales ”), membres de l’Académie Française, ont beaucoup voyagé : d’abord l’Europe centrale puis l’Orient, proche et lointain, qui les a captivés sans leur faire perdre leur capacité de jugement. Jérôme et Jean Tharaud ont consacré plusieurs ouvrages affectueux et sévères, ironiques et tendres, au monde arabo-musulman et au judaïsme.

    L’an prochain à Jérusalem a été publié en 1930.

    Langue français

    224 p.

    ISBN-10 2-251-78001-7

    ISBN-13 978-2-251-78001-6

    Prix 12,20 €

     ©2008 lesbelleslettres.com

     

    Jérôme Tharaud

    Dans L’Ombre de la Croix, les frères Tharaud racontent la vie de Juifs de shtetl, pieds dans la boue, tête dans les nuées et langue bien pendue. ...
    www.lesbelleslettres.com/auteur/?fa=ShowAuthor&Person_ID=920 - 16k - In cache - Gelijkwaardige pagina's



    [1] Le Rabbin SONNENFELD n’a pas, ne peut en aucun cas avoir prononcé cette phrase qui lui est imputée !



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