Image : le lobby sioniste états-unien, lAIPAC et le lobby sioniste français, le CRIF
Nous Juifs de stricte observance et antisionistes, fidèles à HaShem et Sa Thora, nous devons savoir et dénoncer ce qui se fait en notre nom !
Il faut savoir ce que les lobbies sionistes sactivent au nom des Juifs ! Ces organisations sionistes ne représentent pas les Juifs et ne sont pas habilitées à parler au nom des Juifs. Les sionistes ne sont pas une part du Peuple Juif ; ce sont pour la plupart des non-Juifs (protestants évangélistes) et des renégats du Judaïsme, donc des self-exclus du Peuple Juif.
Ci-dessous 2 articles en Français avec des preuves de leurs crimes contre lhumanité.
Visionnez le film que le lobby pro-israélien voulait vous empêcher de voir !
4 novembre 2018 Articles, Slider
Capture d'écran de "Le lobby-USA : la guerre secrète" (voir Bijlagen en bas de page)
The Electronic Intifada The Electronic Intifada a obtenu une copie intégrale du film Lobby USA, une enquête en quatre parties menée sous couverture par Al Jazeera sur la campagne secrète israélienne de lobbying aux États-Unis. Il publie aujourdhui les deux premiers épisodes. Le journal électronique Orient XXI, basé à Paris, a publié les mêmes épisodes avec des sous-titres français. Le film, commencé par Al Jazeera en 2016, a été terminé en octobre 2017. Mais il a été censuré suite aux intenses pressions du lobby israélien sur le Qatar, lémirat du Golfe riche en gaz qui finance Al Jazeera. Le directeur général dAl Jazeera a affirmé le mois dernier que le film posait des problèmes juridiques mais il a été contredit par ses propres journalistes. En mars, The Electronic Intifada a été le premier à révéler le contenu spécifique du film. Nous avons ensuite publié le premier extrait du film en août, et, peu après, Max Blumenthal du Grayzone Project en a publié dautres. Depuis, The Electronic Intifada a publié trois autres extraits, et plusieurs autres journalistes ont vu le film en entier et en ont parlé, dont Alain Gresh et Antony Loewenstein. The Electronic Intifada a maintenant réussi à se procurer les quatre parties du film.
https://www.youtube.com/watch?v=jl9s09LMp10
Pour avoir un accès sans précédent aux rouages internes du lobby israélien, le journaliste sous couverture « Tony » sest fait passer pour un volontaire pro-israélien à Washington. Le film qui en résulte montre les efforts dIsraël et de ses lobbyistes pour espionner, salir et intimider les citoyens américains qui soutiennent les droits de lhomme palestiniens, en particulier le BDS le mouvement Boycott, Désinvestissement et Sanctions. Il montre la collusion entre lagence gouvernementale dopérations plus ou moins clandestines dIsraël, le ministère des Affaires stratégiques, et un vaste réseau dorganisations basées aux États-Unis, notamment la Coalition Israël sur les campus, The Israel Projet et la Fondation pour la défense des démocraties.
Censuré par le Qatar
Le film na pas été diffusé à cause des pressions que le gouvernement du Qatar a subies de la part, ironiquement, du lobby même dont le film dénonce linfluence et les manuvres. Clayton Swisher, chef des enquêtes dAl Jazeera, a révélé dans un article paru dans The Forward en mars quAl Jazeera avait envoyé plus de 70 lettres à des individus et des organisations qui apparaissent dans le film ou qui y sont mentionnés pour quils puissent réagir. Seulement trois lont fait. Au lieu de répondre, des groupes pro-israéliens ont essayé de faire interdire le film qui dévoile les activités du lobby. En avril, la direction dAl Jazeera a été obligée de réfuter laffirmation de the Zionist Organization of America, une organisation dextrême droite, selon laquelle la diffusion du film avait été absolument interdite. En juin, The Electronic Intifada a appris quune source de haut niveau à Doha avait déclaré que le retard indéfini du film était dû à des préoccupations de « sécurité nationale » du gouvernement qatari.
Opérations secrètes
Comme la révélé un clip publié par lIntifada électronique plus tôt cette semaine, dans le film on voit Julia Reifkind alors employée dune ambassade israélienne expliquer que sa journée de travail consiste principalement à « recueillir du renseignement, pour le compte dIsraël
en lien avec le ministère des Affaires étrangères et/ou le ministère des Affaires stratégiques ». Elle dit que le gouvernement israélien « apporte, dans les coulisses, son soutien » aux groupes qui sont au front Reifkind admet également avoir utilisé de faux profils Facebook pour infiltrer les cercles de militants de la solidarité palestinienne sur le campus.
https://www.youtube.com/watch?v=rJkEzGid2DY
Le film révèle également que des groupes basés aux États-Unis coordonnent leurs efforts directement avec le gouvernement israélien, en particulier avec son ministère des Affaires stratégiques. Dirigé par un ancien officier du renseignement militaire, le ministère est responsable de la campagne internationale secrète de sabotage du mouvement BDS menée par Israël. Le film montre des images de cet ex-officier du renseignement militaire, Sima Vaknin-Gil, en train dexpliquer quelle a dressé la carte de lactivisme palestinien en faveur des droits de lhomme « dans le monde entier. Pas seulement aux États-Unis, pas seulement dans les campus, mais dans les campus, lintersectionnalité, les syndicats et les églises. » Elle dit quelle va utiliser ces données pour mener des « actions offensives » contre les militants palestiniens. On voit Jacob Baime, directeur exécutif de lIsrael on Campus Coalition, affirmer dans la vidéo cachée que son organisation utilise « un excellent logiciel de surveillance des médias sociaux, du type de ceux utilisés dans les grandes entreprises » pour repérer les événements liés à la Palestine organisés par les étudiants sur le campus, « généralement dans les 30 secondes, parfois moins » de leur publication en ligne. Baime dit également devant la caméra cachée que son groupe se « coordonne » avec le ministère israélien des Affaires stratégiques. Baime déclare que ses chercheurs » envoient des alertes immédiates à nos partenaires » dont les ministères israéliens. Le collègue de Baime, Ian Hersh, dit dans le film quil ajoute le « ministère des Affaires stratégiques dIsraël à nos briefings sur les opérations et le renseignement ». « Une guerre psychologique » Baime décrit la manière dont son groupe utilise des sites Web anonymes pour cibler des militants. « Avec les opposants à Israël, ce qui est le plus efficace, ainsi que nous lavons constaté lannée dernière du moins, cest de faire des recherches sur lopposition, créer un site Web anonyme, puis y poster des publicités Facebook ciblées, explique Baime dans la troisième partie du film. « Canary Mission en est un bon exemple, dit-il. « Cest une guerre psychologique. » Le film révèle que cest Adam Milstein, le multimillionnaire condamné pour évasion fiscale, qui a financé et administré Canary Mission un site de diffamation anonyme ciblant des étudiants activistes. The Electronic Intifada lavait déjà révélé dans un clip en août. On voit aussi Eric Gallagher, alors directeur de la collecte de fonds pour The Israel Project, dire que « Adam Milstein, cest lui qui finance » Canary Mission. Milstein finance également The Israel Project, selon Gallagher. Gallagher se vante dans le film davoir » échangé des courriels avec [Adam Milstein] pendant quil était en prison », lorsque, lui, Gallagher travaillait pour lAIPAC, le groupe de pression israélien le plus puissant de Washington. Bien quil nait pas répondu à la demande de commentaires dAl Jazeera, Milstein a nié que lui et sa fondation familiale « aient financé Canary Mission » le jour où The Electronic lIntifada a publié le clip. Depuis, Josh Nathan-Kazis de The Forward a identifié beaucoup dautres groupes étasuniens qui financent Canary Mission.
Linterdiction du film
En mars, The Electronic Intifada a publié les premiers détails sur le film. Nous avons dévoilé quon y voyait Sima Vaknin-Gil expliquer quelle avait réussi à faire travailler pour son ministère linfluent think tank néoconservateur, la Fondation for défense of démocraties working. Sur le film en caméra cachée, on voit Vaknin-Gil affirmer : « Nous avons FDD. Nous avons dautres personnes qui travaillent » sur des projets, « incluant la collecte de données, lanalyse de linformation, le travail sur les organisations militantes et la piste financière. Cest quelque chose que seul un pays, avec ses ressources, peut faire. » Comme cela est indiqué dans la première partie du documentaire, lexistence du film et lidentité du journaliste infiltré ont été révélées après la diffusion, début 2017, dimages quil avait tournées pour le film The Lobby dAl Jazeera sur la campagne dinfluence clandestine dIsraël au Royaume-Unis. Depuis, les lobbyistes israéliens exercent de fortes pressions sur le Qatar pour empêcher la diffusion du film réalisé aux États-Unis
« Agent étranger »
Clayton Swisher, chef des enquêtes dAl Jazeera, a confirmé pour la première fois en octobre 2017 que la chaîne avait, au même moment, un journaliste infiltré dans le lobby israélien américain et un autre au Royaume-Uni. Swisher avait promis que le film sortirait « très bientôt », mais il nest jamais sorti. De nombreuses sources israéliennes ont déclaré au journal israélien Haaretz en février que des dirigeants qataris leur avaient assuré à la fin de lannée dernière que le documentaire ne serait pas diffusé. Le Qatar la démenti, mais Swisher nest pas revenu sur son annonce. Larticle de Swisher dans The Forward de mars dernier a été son premier commentaire public sur le sujet depuis quil avait annoncé le documentaire en 2017. Il y réfute les allégations du lobby israélien sur le film et exprime sa frustration quAl Jazeera ne lait pas diffusé, apparemment à cause de pressions extérieures. Plusieurs députés pro-israéliens à Washington ont multiplié les pressions sur le ministère de la Justice pour quil force Al Jazeera à senregistrer comme « agent étranger » en vertu dune loi de contre-espionnage datant des années 1930.
Le lobby israélien se rend à Doha
Bien que la diffusion du film ait été repoussée, une vague de personnalités pro-israéliennes a déferlé sur le Qatar à linvitation de son dirigeant, lEmir Tamim bin Hamad Al Thani. On y a vu certaines des figures les plus à droite et les plus extrémistes parmi les défenseurs dIsraël aux États-Unis, comme Alan Dershowitz, professeur de droit à Harvard, et Morton Klein, directeur de lOrganisation sioniste dAmérique. Swisher a écrit dans The Forward quil a rencontré Dershowitz dans un restaurant de Doha lors dune de ces visites, et a invité le professeur à une projection privée du film. Swicher rapporte que Dershowitz lui a dit, après coup : « Je nai aucun problème avec les tournages en caméra cachée ; et ça ne me dérangerait pas que ce film soit diffusé sur PBS » la télévision publique étasunienne. Pourtant, il semble bien que les efforts du lobby israélien pour interdire le film aient été couronnés de succès jusquà présent.
2 novembre 2018 The Electronic Intifada Traduction : Chronique de Palestine Dominique Muselet
Le film que le lobby pro-israélien voulait vous empêcher de voir : suite et fin
11 novembre 2018 Articles, Slider
Photo : Capture vidéo : Voir Bijlagen en bas de page
The Electronic Intifada The Electronic Intifada a obtenu une copie intégrale du film Lobby USA, une enquête en quatre parties menée sous couverture par Al Jazeera sur la campagne secrète israélienne de lobbying aux États-Unis. Dans les deux premières parties du documentaire censuré The Lobby USA, publiées cette semaine par The Electronic Intifada, Tony, le journaliste infiltré dAl Jazeera, a joué de son charme pour pénétrer dans les cercles pro-Israël.
Visionnez les deux premières parties du film.
https://www.dailymotion.com/video/x6wivtg
Il a découvert un réseau dorganisations servant de bases à lÉtat israélien pour espionner, perturber et empêcher dagir les supporters étasuniens des droits des Palestiniens en particulier les activistes du BDS, le mouvement de Boycott, Désinvestissement et Sanctions. Dans les deux dernières parties du film, Tony en apprend davantage sur les campagnes secrètes de lobbying dIsraël en participant à un stage de The Israel Projet. The Electronic Intifada diffuse le film fuité en même temps que Orient XXI en France et Al-Akhbar au Liban, qui ont respectivement sous-titré les épisodes en français et en arabe. Dans la troisième partie, Al Jazeera interviewe Bill Mullen, professeur détudes américaines à lUniversité Purdue dans lIndiana qui milite activement pour le BDS. Comme la rapporté The Electronic Intifada en 2016, Mullen et sa famille ont été la cible dune campagne de diffamation qui a débuté en mars de la même année. Plusieurs sites Web anonymes ont été créés pour répandre des histoires fabriquées de toutes pièces sur le prétendu harcèlement sexuel dune étudiante par Mullen. Dans le film, Mullen dit que cette campagne avait pour but de détruire son mariage. Son épouse, également professeur, a reçu un lien vers lun des sites. La campagne de diffamation semble avoir été orchestrée par des agents israéliens aux États-Unis.
« Ces gens-là sont prêts à tout »
« Un de ces articles [anonymes] racontait que pour soi-disant lui mettre la main dessus, je lavais invitée à une réunion sur la Palestine. Et je me suis dit que cétait signé », dit Mullen, pour expliquer comment il sétait rendu compte que des pro-israéliens étaient à lorigine de ces calomnies. Mullen explique quil sest rendu compte que « ces gens sont prêts à tout, ils nont pas de limites » quand des sites Web anonymes ont aussi ciblé sa fille ; cest ce qui lui est arrivé de pire dans sa vie, ajoute-t-il. Une militante de Students for Justice in Palestine avec qui Mullen a travaillé, a répondu anonymement aux questions dAl Jazeera.
https://www.dailymotion.com/video/x6wklwn
Elle aussi a été la cible dun site de diffamation anonyme, qui prétendait à tort quelle « faisait la fête, buvait » et « couchait avec nimporte qui ». Elle décrit les tensions et les bouleversements que cela a provoqués chez elle, ses parents voulaient quelle arrête de militer avec Students for Justice in Palestine.Israël utilise ces tactiques de diffamation depuis des décennies. Les lobbyistes israéliens savent quils ne peuvent pas gagner un débat ouvert et honnête sur ces questions aujourdhui. Mais il y a eu une escalade tactique dans les efforts pour cibler et détruire la vie privée des militants au cours de ces dernières années, sous légide du ministère israélien des Affaires stratégiques. Ces tactiques se rapprochent de celles déployées par les services secrets israéliens contre les organisations de résistance palestiniennes en Cisjordanie et dans la bande de Gaza, à savoir le chantage, la désinformation, les rumeurs et le sabotage. Cela nest pas tout à fait surprenant si lon considère que le personnel du ministère des Affaires stratégiques est composé principalement despions israéliens.
« Cest une guerre psychologique »
Jacob Baime, de la Coalition Israël on campus, a admis quil se coordonnait avec le ministère israélien. Il a décrit son approche comme étant « calquée sur la stratégie anti-insurrectionnelle du général Stanley McChrystal en Irak », expliquant quils « ont beaucoup copié cette stratégie qui a très bien fonctionné pour nous, en fait ». Bien que Baime semble sêtre trompé de pays leffort « anti-insurrectionnel » du général américain était axé sur lAfghanistan et non sur lIrak la stratégie de McChrystal met laccent sur les « opérations offensives dinformation « . Dans le troisième épisode, Baime explique comment son organisation utilise ces méthodes contre « les anti-Israéliens », en créant « un site web anonyme » et en postant des publicités ciblées sur Facebook. Baime explique que les militants ciblés « soit cessent de militer, soit perdent beaucoup de temps à y répondre et à enquêter, et pendant ce temps-là ils ne peuvent pas attaquer Israël ». « Cest une guerre psychologique, on les rend fous », dit-il. Il déclare plus tard que la Israel coalition on campus dispose dun budget denviron 2 millions de dollars uniquement pour la « recherche » de matériaux pour monter des campagnes de diffamation. Comme The Electronic Intifada la déjà révélé, lépisode trois montre également quAdam Milstein le multimillionnaire condamné pour évasion fiscale qui finance le lobby israélien, a créé le site anonyme Canary Mission qui diffuse des listes noires. Il révèle également que la Fondation pour la défense des démocraties est aussi un agent du ministère israélien des Affaires stratégiques. Jonathan Schanzer, qui travaille pour la Fondation, admet dans la vidéo en caméra cachée que « calomnier les gens en les accusant dêtre antisémites na plus le même pouvoir quavant ».
« Les fondations sur lesquelles reposent lAIPAC sont en train de pourrir »
Le quatrième épisode révèle comment Israël uvre contre le mouvement Black Lives Matter. On voit le consul général dIsraël à Atlanta se plaindre dans des séquences filmées en caméra cachée que « Israël a un gros problème avec la jeune génération de la communauté noire ». On voit aussi lancien journaliste de CNN, Jim Clancy, qualifier de « propagande » les efforts couronnés de succès de Israel Projet pour influencer les médias grand public étasuniens. Toujours dans le quatrième épisode, Tony se joint à un groupe de jeunes membres dun think tank conservateur que leurs patrons obligent à se joindre à une manifestation cont
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