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Bienvenue sur le blog de l'association d’études rabbiniques YECHOUROUN, Thora contre national-judaïsme (sionisme). Nous proposons des textes rabbiniques, (surtout de l’école de Samson Raphael HIRSCH) ainsi que des infos et documentations, le tout avec engagement antisioniste et solidarité anti-impérialiste, inspirés par la fidélité à la Thora.
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    Thora contre national-judaïsme (sionisme)
    05-06-2018
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     Quelle forme la Nakba prendra-t-elle dans l’avenir ?

     

    Ci-dessous une intéressante analyse, parue dans CHRONIQUE DE PALESTINE du 23 mai ’18, sur la situation en Palestine Occupée, la Terre Sainte, depuis le début du sionisme. Nous sommes reconnaissants au Prof Joseph MASSAD qui nous explique comment les sionistes sont arrivés à réaliser leur plan maléfique jusqu’à nos jours, à voler la terre d’autrui par la terreur. Vu la longueur de son texte, nous l’apporterons en trois parties.

    Nous pensons qu’en premier lieu les Palestiniens eux-mêmes (Juifs, Musulmans, Chrétiens) devraient bien connaître l'Histoire de la Terre Sainte à laquelle ils sont spirituellement attachés et de la protéger efficacement contre la présence et l’occupation sionistes. Aussi les activistes antisionistes dans le monde entier devraient étudier l’histoire de la Palestine depuis son début (et non à partir de 48 ou juste un peu avant) afin de pouvoir avec succès soutenir politiquement le peuple palestinien, qui ploie sous le joug du sionisme, via les instances internationales.

    Ce n'est pas parce que l'entité sioniste existe qu’il faille en accepter le fait. Les sionistes profitent de l’ignorance des masses concernant leur hérésie, sèment grâce à leur propagande la confusion entre Juifs et sionistes et entre Musulmans et terroristes. Ils attendent que nous antisionistes abdiquions, que nous abandonnions la lutte pour les droits des Palestiniens, le recouvrement de leur terre et leurs biens et le retour des exilés. Cette entité est illégale et doit être démantelée pour que justice soit faite aux Palestiniens. En attendant, nous devons continuer à considérer le pays comme la Palestine occupée, non pas comme "Israël", qui n'est pas un Etat, même s'il se comporte en tant que tel.

    Peut-être faudrait-il commencer par utiliser les termes appropriés pour parler de ce conflit sioniste-palestinien et boycotter le langage que les sionistes imposent au monde; nous nous comprendrions mieux. Exemples: juif / sioniste, "Israël" / Palestine occupée, entité sioniste, régime sioniste, etc.

    Cette analyse nous concerne nous Juifs aussi, car parallèlement aux Musulmans nous subissons les mêmes misères de la part des sionistes, les Juifs de stricte observance antisionistes sont gênés dans leur ‘Avodass HaShem. Le but des agitations sionistes est de retarder dans un premier temps la libération de la Palestine de la présence sioniste, et de l’impureté sioniste qui retarde la venue de Moshiach et les Promesses Divines.

    Première partie : Quelle forme la Nakba prendra-t-elle dans l’avenir ? 1/3


    Deuxième partie

     

    Les expulsions

    L’observation de la stratégie sioniste pour faire de la Nakba une réalité quotidienne, passée et présente, nous fournit quelques indices sur la manière dont Israël entend la pérenniser dans l’avenir, au moins jusqu’à ce que l’état colonial atteigne l’âge de 100 ans.

    L’empire ottoman a introduit en 1858 une loi pour transformer les terres de l’État et les terres communales en propriété privée dans tout le sultanat, qui a constitué la première étape de la dépossession des Palestiniens en les expulsant de leurs terres par la force de la loi. En effet beaucoup de paysans palestiniens n’ont pas pu enregistrer, alors, leurs terres à leur nom parce qu’ils ne pouvaient pas payer les impôts impériaux pour ce faire, et leurs terres ont été vendues aux enchères dans les dix ans qui ont suivi, à des marchands de Beyrouth, de Jérusalem et d’autres villes.

    Cela a permis aux colons sionistes européens de s’installer en Palestine. La première vague est arrivée en 1868. Ces premiers colons étaient des protestants millénaristes allemands appelés Templiers ; ils décidèrent d’établir plusieurs colonies dans le pays pour accélérer la seconde venue du C.

    Entre-temps, les propriétaires arabes qui n’exploitaient pas leurs terres, en ont vendu à des philanthropes juifs comme le baron Edmond de Rothschild qui les a cédées à des Juifs russes, qui se faisaient appeler les Amoureux de Sion, pour établir leurs colonies.

    Les chrétiens allemands déjà installés ont partagé avec les nouveaux colons juifs l’expérience coloniale accumulée pendant une quinzaine d’année. Le sort des colons allemands a été scellé avec la Seconde Guerre mondiale, ils ont été expulsés par les Britanniques et leurs terres ont été reprises par les sionistes juifs et plus tard par les Israéliens, mais l’avenir des colons juifs sionistes s’est révélé beaucoup plus prometteur.

    Les Allemands semblaient avoir des relations relativement cordiales avec les Palestiniens indigènes, à la différence des colons juifs qui expulsaient tous les villageois palestiniens des terres qu’ils achetaient. Parmi les dirigeants des colons juifs chargés de leur expulsion, certains avaient mauvaise conscience.

    L’agronome et colonisateur polonais Chaim Kalvarisky, directeur de l’Association pour la colonisation juive, l’une des armes du mouvement sioniste, a écrit en 1920, après avoir dépossédé les Palestiniens pendant 25 ans, c’est-à-dire depuis les années 1890 : « La question des Arabes m’est apparue pour la première fois dans toute sa gravité immédiatement après le premier achat de terres que j’ai fait ici. J’ai dû déposséder les résidents arabes de leurs terres dans le but d’y installer nos frères. »

    Kalvarisky disait que la « complainte » de ceux qu’il chassait de leur terre « n’a pas cessé de résonner à mes oreilles par la suite ». Pourtant, il a affirmé à l’Assemblée provisoire sioniste qu’il n’avait pas d’autre choix que de les expulser parce que « les juifs l’exigeaient ».

    Les expulsions engendrées par les acquisitions sionistes de terres respectaient la loi ottomane et n’étaient pas contestables, mais cela n’a pas suffi à l’occupation britannique qui a mis en place régime d’expulsion plus musclé, peu après sa prise de pouvoir.

    Un des premiers instruments britanniques les plus importants pour dénationaliser et expulser des dizaines de milliers de Palestiniens a été l’Ordre de la citoyenneté palestinienne de 1925 que les Britanniques ont imposé au pays. A la lumière du Traité de Lausanne de 1923 qui fixait les conditions de l’après-guerre dans les anciens territoires ottomans, l’article 2 de l’Ordre de la citoyenneté palestinienne donnait à des milliers d’expatriés palestiniens un ultimatum de deux ans pour demander la citoyenneté palestinienne, qui a été réduit à neuf mois seulement par le haut-commissaire britannique en Palestine.

    Comme l’historien du droit palestinien Mutaz Qafisheh le montre, cette période de neuf mois « était insuffisante pour que les autochtones qui travaillaient ou étudiaient à l’étranger puissent rentrer chez eux. Par conséquent, la plupart de ces autochtones sont devenus apatrides. D’une part, ils avaient perdu leur nationalité turque [ottomane] en vertu du traité de Lausanne, d’autre part, ils ne pouvaient pas acquérir la nationalité palestinienne selon l’Ordre de la citoyenneté ». Environ 40000 personnes au bas mot se sont trouvées dans cette situation.

     Les débats des sionistes depuis les années 1890 sur ce qu’ils ont appelé le « transfert » des Palestiniens sont riches en détails et reflètent le consensus qui régnait sur la question entre les sionistes travaillistes majoritaires et les révisionnistes minoritaires qui se sont séparés des premiers pour former leur propre groupe un peu plus tard. Leur conclusion était la même et elle était sans appel.

     Les Palestiniens doivent être expulsés et leurs terres doivent être saisies, mais, pour ce faire, les sionistes doivent obtenir la souveraineté. C’était déjà le plan de Theodor Herzl dans son pamphlet de 1896 L’Etat juif : « Une infiltration [des Juifs] finira mal. Elle se poursuivra jusqu’au moment inévitable où la population autochtone se sentira menacée et obligera le gouvernement à stopper l’afflux de Juifs. L’immigration ne servira donc à rien si nous n’avons pas le droit souverain de poursuivre cette immigration ».

     Les dirigeants sionistes étaient d’accord. Le chef révisionniste Vladimir Jabotinsky a été clair sur la question dès le début, alors que David Ben-Gurion, qui connaissait l’importance de la propagande, se montrait plus prudent et plus attentif à la façon de présenter les choses en attendant que l’expulsion devienne la politique officielle du pouvoir souverain.

     Les conquérants britanniques de la Palestine leur ont alors rendu le service de publier le rapport de la Commission Peel, en 1937, lors de leur ré-invasion de la Palestine pour réprimer la grande révolte des Palestiniens de 1936-39. Ce rapport du gouvernement anglais a constitué la première proposition officielle britannique de voler les terres palestiniennes et d’expulser des centaines de milliers de Palestiniens.

     Plan directeur du « transfert »

     Le rapport proposait comme solution au conflit le partage du pays entre les colons juifs européens et les Palestiniens autochtones et stipulait que, pour réaliser le partage, il était nécessaire de priver les Palestiniens de leurs terres et de les expulser. Le rapport citait comme précédent l' »échange » des populations grecque et turque de 1923.

     L’échange prévu par le rapport en Palestine aurait entraîné l’expulsion de 225 000 Palestiniens de l’État juif prévu et de 1 250 colons juifs de l’État palestinien prévu.

     De plus, à une époque où les Juifs ne contrôlaient que 5,6 % des terres de Palestine (que ce soit par achat ou par l’octroi de terres d’État par les conquérants britanniques), principalement concentrées dans la plaine côtière, la Commission Peel proposait de créer un État juif sur un tiers du pays, y compris la Galilée, entièrement détenue et peuplée par des arabes. Cela aurait nécessité la confiscation de tous les biens qui appartenaient à des Palestiniens dans ces zones.

    Suite à cette proposition officielle britannique d’expulsion et de confiscation massives, Ben-Gurion a écrit dans son journal : « Le transfert obligatoire des arabes des vallées de l’État juif prévu pourrait nous donner quelque chose que nous n’avons jamais eu, même lorsque nous régnions en maîtres à l’époque des premier et deuxième temples : [une Galilée quasiment sans non-Juifs]. …. On nous donne ce que nous n’avons jamais osé imaginer dans nos rêves les plus fous. C’est plus que l’offre d’un état, d’un gouvernement et d’une souveraineté – c’est la consolidation nationale dans une patrie libre ».

    Le gouvernement britannique a approuvé les conclusions du rapport, et a cherché à obtenir l’accord de la Société des Nations pour partitionner le pays. Mais les Britanniques ont finalement dû abandonner le plan Peel, car il aurait entraîné l’expulsion massive et forcée des Palestiniens, en violation, entre autres, des règlements de la Société des Nations.

    Les sionistes, cependant, ont considéré à juste titre que le rapport de la Commission Peel les autorisait à promouvoir plus ouvertement leurs projets de vol de terres et d’expulsion. A l’instar de Jabotinsky qui avait appelé plus tôt à l’expulsion massive des Palestiniens, Ben-Gourion déclara en juin 1938 : « Je soutiens le transfert obligatoire. Je n’y vois rien d’immoral. » Sa déclaration venait soutenir la politique adoptée par l’Agence juive – le principal organe sioniste chargé de faire venir des colons juifs en Palestine – qui avait mis sur pied son premier « Comité de transfert de population » en novembre 1937 afin d’élaborer une stratégie pour l’expulsion forcée des Palestiniens.

    Joseph Weitz, le directeur du département des terres de l’Agence juive était un membre clé de ce comité. Ce n’était pas une coïncidence. Comme la colonisation et l’expulsion font partie de la même politique, le point de vue et le rôle de Weitz étaient déterminants. Les paroles de Weitz sur la question sont restées célèbres : « Entre nous, il doit être clair qu’il n’y a pas de place pour les deux peuples dans ce pays. Aucun ‘développement’ ne nous rapprochera de notre objectif qui est d’être un peuple indépendant dans ce petit pays. Après le transfert des Arabes, le pays sera tout à nous ;

    Si les Arabes, restent ici, le pays sera trop petit et nous ne serons pas libres… La seule solution est de transférer les Arabes vers les pays voisins, sauf peut-être Bethléem, Nazareth et la vieille ville de Jérusalem. Il ne doit pas subsister un seul village ni une seule tribu. »

    Comme l’historien palestinien Nur Masalha l’a expliqué, l’Agence juive a créé un deuxième comité de transfert de population en 1941, et un troisième pendant la conquête sioniste de la Palestine en mai 1948.

    La révolte palestinienne et le déclenchement de la Seconde Guerre ont donné un coup d’arrêt au plan britannique car les Britanniques ne pouvaient plus s’offrir des soulèvements en Palestine, et l’expulsion des Palestiniens a dû attendre la fin de la guerre.

     

    La partition sans expulsions

    … La suite à la prochaine publication.

     



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