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Sarkozy au CRIF (1)
Morale, religion et laïcité
Le président Sarkozy a affirmé, hier au dîner annuel du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF), à Paris, que la morale laïque et la morale religieuse sont « complémentaires ». Regrettant les critiques qui ont visé ses propos sur la religion lors de déplacements à Rome et Ryad, M. Sarkozy a affirmé : « Jamais je n'ai dit que la morale laïque était inférieure à la morale religieuse ». « C'est vrai, je suis l'ami d'Isra-l », a encore souligné M. Sarkozy qui se rendra en Israël en mai. Le chef de l'Etat a, par ailleurs, annoncé qu'il voulait qu'à partir de la rentrée scolaire 2008 chaque élève de la classe primaire de CM2 se voie « confier la mémoire » d'un des 11 000 enfants français victimes de la Shoah. « Rien n'est plus émouvant pour un enfant que l'histoire d'un enfant de son âge, qui avait les mêmes jeux, les mêmes joies et les mêmes espérances que lui ». Le président de la République a par ailleurs estimé que « le drame du XXe siècle » n'était « pas né d'un excès de l'idée de Dieu, mais de sa redoutable absence. Si les religions sont impuissantes à préserver les hommes de la haine et de la barbarie, le monde sans Dieu, que le nazisme et le communisme ont cherché à bâtir, ne s'est pas révélé tellement préférable ».
Dernière Nouvelles dAlsace 08 02 14
Inquiétude chez les laïques
Les explications de Nicolas Sarkozy sur sa conception de la place des religions dans la société, mercredi soir, continuent d'inquiéter les tenants de la laïcité. Ils craignent une remise en cause de la séparation des églises et de l'État, même s'il n'a rien dit du projet de toilettage de la loi de 1905.
Invité d'honneur du dîner annuel du Crif (Conseil représentatif des institutions juives de France), Nicolas Sarkozy s'est appliqué à contrer les « approximations, amalgames et raccourcis » des commentaires qui ont accueilli, selon lui, ses discours du Latran et de Ryad sur la « laïcité positive ».
Pour Quillardet, « la laïcité permet à toutes les identités de vivre ensemble »
« Jamais je n'ai dit que la morale laïque était inférieure à la morale religieuse (...) Je défends l'idée que les deux morales sont complémentaires (...) Et jamais je n'ai dit que l'instituteur était inférieur au curé, au rabbin ou à l'imam pour transmettre des valeurs », a-t-il insisté, en soulignant qu'il n'enlèvait pas un mot de ses deux discours : « Je persiste et signe. » Hier, les tenants de la laïcité ont fait part de leur crainte d'une remise en cause de la séparation des églises et de l'État, rappelant que le projet de toilettage de la loi de 1905 était déjà dans les cartons de Nicolas Sarkozy quand il était ministre de l'Intérieur. Jean-Michel Quillardet, grand maître du Grand Orient de France, a jugé sévèrement la conception présidentielle de la laïcité, « qui réintégrerait la religion dans le débat public, avec une préférence marquée pour la religion, qui serait supérieure à la morale laïque, parce que porteuse d'espérance ». « Cette conception de la laïcité n'est pas la bonne, a-t-il dit, il n'y a pas d'un côté la religion et de l'autre la laïcité. La laïcité permet à toutes les identités de vivre ensemble sans que l'une s'impose à l'autre. » Le numéro un du PS François Hollande a contesté la comparaison entre l'instituteur et le curé - « à l'un la tolérance, à l'autre la transcendance », a-t-il résumé -, en la qualifiant de « choquante ». « Nicolas Sarkozy a le droit d'exprimer ses positions personnelles, mais il est le chef de l'État et à ce titre doit défendre une conception beaucoup plus large de la laïcité », a-t-il dit.
« La laïcité n'est pas la négation de la liberté de conscience », dit Hollande
« La laïcité, a insisté M. Hollande, ce n'est pas la négation de la liberté de conscience, c'est au contraire la reconnaissance de cette liberté. » Le président du Crif Richard Prasquier, qui se définit comme un « partisan résolu de la laïcité », convient que « le monde est très fortement marqué par la religion ». Mais, a-t-il dit, « opposer le laïque au religieux, ça ne représente pas la réalité ». « Il y a beaucoup de gens très religieux qui sont des adeptes de la loi de 1905 » et « la plus grande partie de la communauté juive y est très attachée », a-t-il souligné.
« Je persiste et signe », a affirmé Nicolas Sarkozy mercredi
devant le président du Crif, Richard Prasquier (à gauche).
Dernières Nouvelles dAlsace 08 02 15
(1) Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF)
Présentation, agenda, dossiers et revue de presse, et contacts régionaux et nationaux. www.crif.org/ - 69k - In cache |
A la démagogie sioniste Yechouroun Judaïsme contre Sionisme oppose le document historique incontestable du rabbin slovaque Michael Dov WEISSMANDL Dix questions (qui tuent) à poser aux sionistes publié en 1948. A noter que les démagogues et falsificateurs de lhistoire sionistes ont réussi à récupérer la noble figure du rabbin M. D. WEISSMANDL, le présentant comme « un des leurs ». Voir document suivant.
UN SIONISTE EST PAR DEFINITION UN MENTEUR,
UN SIONISTE RELIGIEUX EST UN DOUBLE MENTEUR.
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