Allons enfants de La Patrie, Le jour de gloire est arrivé! Contre nous La tyrannie, L'étendard sanglant est levé, Entendez vous dans les campagnes Mugir Ces féroces soldats? ils viennent jusque dans vos bras Egorger vos fils, vos compagnes. Refrein Aux armes citoyens, Formez vos bataillons. Marchons! Marchons! Qu'un sang impur Abreuve nos sillons Que veut cette horde d'esclaves De traîtres, de rois conjurés? Pour qui ces ignobles entraves Ces fers dès longtemps préparés Ces fers dès longtemps préparés Français, pour nous, Ah quel outrage Quel transport il doit exciter! C'est nous qu'on ose méditer De rendre à l'antique esclavage
Quoi! Des cohortes étrangères Feraient la loi dans nos foyers! Quoi! Ces phalanges mercenaires Terrasseraient nos fiers guerriers. Terrasseraient nos fiers guerriers. Grand Dieu! Par des mains enchaînées Nos fronts, sous le joug, se ploieraient. De vils despotes deviendraient Les maîtres de nos destinées
Tremblez tyrans, et vous perfides L'opprobe de tous les partis. Tremblez, vos projets parricides Vont enfin recevoir leur prix! Vont enfin recevoir leur prix!
Tout est soldat pour vous combattre. S'ils tombent nos jeunes héros, La terre en produit de nouveaux Contre vous, tous prêts à se battre
Français en guerriers magnanimes Portez ou retenez vos coups. Épargnez ces tristes victimes A regrets s'armant contre nous! A regrets s'armant contre nous! Mais ce despote sanguinaire Mais les complices de Bouillé Tous les tigres qui sans pitié Déchirent le sein de leur mère! Nous entrerons dans la carrière Quand nos aînés n'y seront plus Nous y trouverons leur poussière Et la trace de leur vertus! Et la trace de leur vertus! Bien moins jaloux de leur survivre Que de partager leur cercueil. Nous aurons le sublime orgueil De les venger ou de les suivre Amour Sacré de la Patrie Conduis, soutiens nos braves vengeurs. Liberté, Liberté chérie Combats avec tes défenseurs Combats avec tes défenseurs Sous nos drapeaux, que la victoire Accoure à tes mâles accents Que tes ennemis expirants Voient ton triomphe et nous, notre gloire
Twee gekken rijden in een auto. Zegt de een: Help, de remmen doen het niet! Zegt de ander:Maak je niet druk. Er staat een stopbord aan het eind van deze straat!
de moeder van lies van vier is weer in verwachting. Voell eens aan mijn buik, Lies.Je broertje is weer aan het schoppen. Waarom? vraagt Lies verbaasd. Ik weet niet. Misschien verveelt hij zich wel en vindt hij schoppen een leuk spelletje . Nou mam, dan moet je eens een bal inslikken , dan kan hij voetballen!!!!