Wat er hier allemaal te beleven valt. And much more
29-09-2016
Enseignement à Molenbeek
Il y a 3 semaines on avait un aperitif avec des voisins ici sur la place de la Duchesse.
On a pu acceuillir aussi un couple d' origine marocaine. Qui habite depuis belle et lure dans une belle maison sur la place. Le couple a deux enfants, qui sont entretemps déjà adolescents. La femme, la 'maman' donc, était bien fâchée contre le système des écoles dans les quartiers pauvres à Bruxelles:
zij zet haar kinderen elke dag de bus op richting Waterloo, want pas daar heeft ze een 'deftige school' voor hen gevonden. 'Deftig' , wat vooral wil zeggen dat het geen concentratieschool is waar haar kinderen met kansarme kinderen in de klas zitten, die tegelijkertijd ook dezelfde culturele achtergrond hebben en nationaliteitsgeschiedenis.
And this, the fact that their children ride with the bus more than half an hour 2 times a day to and back from school, has all to do with the low quality of the schools in Molenbeek and other poor neighbourhoods. According to the mothers' meaning, the politics don't help at all to solve the situation: for example a new rule is set : you 'll have quicker place in a school for your children when you inscribe them in the nearest school from your house. But as a consequence, in 'poor neighbourhoods', this will have'poor schools' as well: there is no general policy with statistics to analyse how much percent mixity they want to attend in the schools. 'Poor schools' attract 'poor children', and the circle 'll get never unbroken in this way...
J'ai surtout encore en tête le regard négatif du maman, et son mari aussi, envers leur propre quartier.
Cela a relativé mon propre regard sur le quartier aussi: C'est pas seulement les nouveaux arrivants, les jeunes 'plus riches', artistiques, engagés, ... qui ont fort le souhait de changer l'image des 'pauvres quartiers': d'y installer plus de mixité sociale, de prévoir aussi de commerce d'autres types de ce qu'il existe déjà, de vouloir plus de verdure/ espaces extérieurs de plus grande qualité. C'est exactement ce que les familles qui habitent longtemps le quartier, veulent aussi. Qui en ont marre qu'ils vivent dans un genre de système qui est prisonné dans un cercle vicieux. Qui veulent la meilleure chose pour leurs enfants et leurs futurs... Mais qui sont pas toujours si bavards que la 'maman' avec qui on a parlé pendant l'aperitif.
En dan is het positief dat er toch dergelijk mondige vrouwen zijn: Vrouwen die al vele jaren in de wijk wonen, en vanuit wie de verandering zeker ook kan komen. Enerzijds zijn vele 'armere inwoners' zich zeker bewust van hun 'armere situatie' en zijn ze dit beu, anderzijds is het nog een grote stap voor velen om dat ook op een verstandige manier te verwoorden.
