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Une des
prescriptions de la Fête de Pourim est de senivrer avec du vin (ou autre
boisson forte) au point de ne plus savoir la différence entre « Béni soit Mordechai »
et « Maudit soit Aman » (Orach Chaim
62 :2 Biur Halocho).
Certains Juifs
atteint du virus sioniste ne font plus cette distinction, même sans alcool.
Des cas plus graves mélangent avec préméditation.
Ainsi à
Antwerpen, un sioniste agoudiste de la synagogue « Beth Yaakov »
(Jacob Jacobsstraat) sécria méchamment à la vue dun Juif antisioniste du nom
de Mordochai « Voilà Homon ! ».
Soyons lekhaf
zekhouss (indulgent) pour cet énergumène, et supposons quil ny eu que
confusion de sa part, quil a pensé à linstigateur de ces paroles, le
Président de sa « Communauté Israélite Orthopraxe » (Sinistre
sioniste réputé avoir étudié 5 (cinq) fois entièrement le Shass (Talmud)
avec Havrouta (compagnon détude fixe) en plus du « Daf
haYomi »)
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