Bienvenue sur le blog de l'association d’études rabbiniquesYECHOUROUN, Thora contre national-judaïsme (sionisme). Nous proposons des textes rabbiniques, (surtout de l’école de Samson Raphael HIRSCH) ainsi que des infos et documentations, le tout avec engagement antisioniste et solidarité anti-impérialiste, inspirés par la fidélité à la Thora. Visitez aussi le blog multilingue JESCHURUN Tauro gegen Nationaljudentum
Dr. Jacob Israël DE HAAN (1891-1924) assasinné par les sionistes
Dr. Nathan BIRNBAUM (1864-1937)
Rabbin Pinchos KOHN (1867-1942)
Rabbin Ernest WEILL (1865-1947)
IVJ dénonce l'oppression sioniste vicieuse des Juifs religieux qui s'opposent à servir dans l'armée sioniste, ou qui protestent contre son régime.
YECHOUROUN
Thora contre national-judaïsme (sionisme)
06-05-2010
MOTION DE SOLIDARITÃ AVEC DIEUDONNÃ
MOTION DE SOLIDARITÉ AVEC DIEUDONNÉ
Cest avec un mélange de satisfaction et dindignation que jai pris connaissance de la tirade hystérique, colérique, sioniste du sénateur Alain DESTEXHE (MR) sous le couvert dun droit de réponse dans lhebdomadaire satirique PAN (N° 3407 du 28 avril 2010).
Satisfaction, car ce politicien illustre très bien, une fois de plus, quil ne faut nullement être né Juif pour être sioniste et même ultra sioniste.
Indignation, pour ces propos insultants et discriminatoires à légard de lartiste M. Dieudonné et de ce quil appelle lIslam « réac ». Ses propos ne méritent que mépris et dédain.
Un proverbe persan dit bien « La bave du crapaud natteint pas la colombe qui vole ». PAN sest bien acquitté de sa tâche.
Je profite de loccasion pour proclamer ma solidarité avec le courageux artiste M. Dieudonné qui dérange les lobbys sionistes en Belgique comme en France.
Shmiel Mordche Borreman,
Pas rabbin (*), mais Juif antisioniste de Thora
(*) Cette remarque comme suite à larticle, truffé de racisme et de calomnies, placée par des agents français du Mossad dans Wikipédia à mon sujet.
Ciamak Morsadegh est le député représentant la minorité juive au Parlement iranien. Il vient deffectuer une visite en France, où il a participé à un colloque sur les minorités religieuses dans la République islamique.
Le Figaro : quel est le sens de votre visite en France ? Ciamak Morsadegh : A titre privé, jai rencontré des membres de la communauté juive française pour leur dire que la perception donnée par les médias des minorités religieuses en Iran est erronée. LIran a la plus large communauté juive du Moyen-Orient après Israël, avec entre 25 et 30 000 membres. Nous sommes politiquement et socialement intégrés. Nous navons pas de problèmes avec les musulmans. Il y a vingt ans, il y avait 35-40 000 juifs en Iran. Après la révolution, certains ont émigré surtout aux Etats-Unis, moins de 1% sont allés en Israxl. Savez-vous que nous avons lun des taux dassimilation et de mariages mixtes les plus faibles des communautés juives à travers le monde, à peine 2%. Nos jeunes nont pas de problèmes pour se marier. Nos synagogues ne sont pas gardées, elles sont en sécurité.
Vous vous considérez dabord comme juif ou comme Iranien ? Ce sont deux questions différentes. Je suis Iranien de nationalité, mais religieusement, je suis juif. Je prie en hébreu, mais je pense et parle en farsi. Comme près de 90% des juifs iraniens, je respecte le shabbat, je suis observant.
Quand le président de la République, Mahmoud Ahmadinejad, met en doute la réalité de lholocauste ou déclare quil veut rayer Israxl de la carte, ne vous sentez-vous pas offensé par de telles attaques négationnistes ? Le président Ahmadinejad a dit quIsraxl, par sa politique agressive, serait tôt ou tard rayé de la carte. Quant à lHolocauste, cest une réalité historique que personne ne peut nier. Je sens cette blessure en moi. Des millions de juifs ont été massacrés. Personne ne peut dire le contraire. Mais qui sont les coupables ? Des Européens, et même des Français qui ont collaboré avec les Allemands. En tant que juif, je me sens vraiment attaché au souvenir de lholocauste. Mais jai aussi le devoir dempêcher que les droits de lhomme soient bafoués ici ou là. La victime ne peut sarroger le droit de faire ce quelle veut, sous prétexte quelle a été victime. Cest pourquoi Israxl doit cesser doccuper la terre des Palestiniens. Cest mon devoir de défendre les Palestiniens dans leur combat pour leur indépendance.
Comment améliorer les relations franco-iraniennes, actuellement exécrables ? LIran et la France ont beaucoup en commun : un passé révolutionnaire, un patrimoine culturel important. Les deux pays peuvent travailler ensemble, surtout aujourdhui que la domination américaine est remise en question par de nombreux pays à travers le monde. Mais pour cela, les Français doivent définir une nouvelle ligne de conduite qui prenne en compte leurs intérêts propres, et non pas saligner derrière tel ou tel pays. Réfléchissez à ce que sont vos intérêts à moyen terme en Iran ? En sassociant à la décision de sanctionner lIran à lONU, la France va perdre beaucoup dopportunités dinvestissements dans notre pays, qui est un pays riche dans lequel les entreprises françaises avaient une position importante il y a seulement cinq ans de cela.
En cas de frappes militaires contre lIran, comment réagiront vos concitoyens ? Je nimagine pas que des militaires occidentaux mettent à exécution un tel projet. Mais je rappellerai tout de même un point dhistoire. Pendant la guerre que nous déclara lIrak en 1980, et que beaucoup de pays occidentaux soutenaient dont la France afin de faire pression sur lIran révolutionnaire, qua fait le peuple à lépoque ? Les Iraniens se sont serrés les coudes. Peu importe les ethnies, peu importe les religions : lorsquil sagit de la défense de lintégrité territoriale, il ny a plus de différence entre un juif, un musulman et un chrétien en Iran. Tous les Iraniens seront prêts à sacrifier leur vie pour défendre leur pays.
« Lhomme dépourvu de sens ne peut savoir, larrogant ne peut pas se rendre compte: si les méchants croissent comme lherbe, et que fleurissent tous les artisans dabus de pouvoir, cest pour leur destruction éternelle! »
Psaume 92, Versets 7 u.8 suivant la traduction du Rabbin Samson Raphael HIRSCH
Documentation historique: LE STATUT DES LIEUX SAINTS
SIONISME = ARROGANCE ANTI-TORAH,FINISSONS EN !
Yechouroun documentation historique
Yechouroun Judaïsme contre Sionisme apporte quelques chroniques diplomatiques dépoque, dont voici la sixième et dernière, de la diplomatie belge.
En pleine guerre froide, la constellation et les rivalités des grandes puissances ont favorisé la Nakba, létablissement de lEtat terroriste sioniste anti-Torah en Palestine. Ces documents dépoque si éloquents doivent être sortis des oubliettes, car ils dévoilent mainte complicité, responsabilité et culpabilité parmi les « grands de ce monde » et sont riches en enseignements pour notre lutte antisioniste.
Illustration: Le Comte Folke-Bernadotte de Suéde, sauveur de vies humaines juives,
lâchement assassiné par des terroristes sionistes à Jérusalem en 1948.
Cte Henry Carton de WIART (1869 - 1951), Ministre dEtat
Chroniques hebdomadaires parues dans La Libre Belgique
6. LE STATUT DES LIEUX SAINTS (2 mai 1949)
Au jour même du Vendredi Saint, le Souverain Pontife a adressé au monde une Lettre encyclique singulièrement émouvante dans laquelle, renouvelant ses objurgations antérieures, il demande que soit établi pour Jérusalem et ses environs « là où se trouvent les vénérables souvenirs de la vie de la mort du Rédempteur », un régime international adapté à la protection de ces souvenirs sacrés.
Appelant de tous ses vux lavènement dun esprit de concorde sur cette terre baignée du sang de Celui que le prophète Isaïe annonçait comme le Prince de la Paix, il insiste pour quil soit statué sans retard sur le sort de tous les Lieux Saints de la Palestine. « Ceux-ci, dit Pie XII, se trouvent non seulement à Jérusalem et dans ses environs, mais aussi dans dautres villes et villages dont un bon nombre ont été, par suite des vicissitudes de la dernière guerre, exposés à de graves périls et ont subi des dommages sensibles ».Il est à tous le moins nécessaire que les pèlerins, quune traditionvieille de tant de siècles entraîne vers ces régions qui sont le berceau même de leur foi, puissent accéder librement aux divers sanctuaires et y accomplir sans obstacle les manifestations publiques de leur piété, quils puissent y séjourner sans danger et aussi quils naient pas la douleur de voir cette terre profanée par des entreprises de divertissement qui offenseraient leurs sentiments intimes. Il importe aussi que les nombreuses institutions religieuses qui sont vouées à la bienfaisance, à lenseignement et à lhospitalisation puissent continuer à déployer sans entraves leurs activités coutumières.
Ces postulats exprimés par la plus haute des autorités morales ont par eux-mêmes une telle force de vérité que le principe en a été admis par la conscience universelle. En effet, une résolution de lAssemblée des Nations Unies en date du 29 novembre 1947, a solennellement prévu que la ville de Jérusalem et la région environnante devraient être constituées en corpus separatum sous un régime spécial. Plus récemment, le rapport du comte BERNADOTTE, qui fut son testament, a souligné la nécessité dassurer à la cité sainte un traitement particulier et distinct, en raison de son importance religieuse et internationale.Enfin, la dernière assemblée de Chaillot, après avoir adopté, le 11 décembre 1948, une motion qui instituait une commission de conciliation, a expressément donné pour instructions à celle-ci de préparer un nouveau régime international pour la région de Jérusalem, en incluant surla proposition de la délégation belge la ville de Nazareth dans la zone qui devra bénéficier de la protection et du libre accès aux Lieux Saints en général. Cest ce plan dinternationalisation qui devra être soumis à la prochaine assemblée des Nations Unies que la Commission de conciliation achève en ce moment même de dresser.
* * *
Quelle est, par rapport à ce problème pathétique, lattitude des sionistes et du nouvel Etat dIsra-l ?
Cette prétention à un partage de Jérusalem, qui méconnaît la résolution de lAssemblée de 1947, a pris un ton plus tranchant depuis que, sans sarrêter aux objections qui lui furent signifiées, le jeune Etat a convoqué à Jérusalem la première session de son Parlement et affirmé son dessein de faire de cette ville sa capitale.Dans une déclaration récente, M. Moshe SHARETT, ministre des Affaires étrangères dIsra-l, tout en admettant comme absolument nécessaire le contrôle international des Lieux Saints, soit à lintérieur de la vieille ville, soit à lextérieur, a affirmé que la partie moderne de la ville devrait faire partie de lEtat dIsra-l.Et voici quun nouveau raidissement se dessine, opposant à tout plan dinternationalisation les arrangements intervenus à Rhodes entre les Transjordaniens et les Israéliens, et auxquels les Nations Unies dénient toute valeur définitive. « Le plan dinternationalisation arrive bien tard, insinue aujourdhui le Bulletin dInformation dIsra/l. Laccord de Rhodes devrait empêcher à lui tout seul la nouvelle offensive (sic) dinternationalisation. Cet accord sest dailleurs traduit dans la pratique par le transfert dans la nouvelle ville de Jérusalem de plusieurs organisations administratives et même de certains ministères dIsra-l. Il a permis la réouverture sur le Mont Scopus de lhôpital Hadassah, équipé pour les recherches sur la guérison du cancer et qui accueille les malades arabes aussi bien que les Juifs ».
Passant outre aux protestations que la Commission de conciliation a élevées contre ces transferts, lAgence Juive a formé un comité qui dispose déjà dun budget de trois millions de livres pour hâter lextension de la cité et en faire, dit-elle, le centre culturel et éducatif pour les Juifs de lunivers entier.Elle compte bien, dans les cinq années à venir, y assurer létablissement de 100.000 nouveaux émigrants.
Que le peuple juif se réjouisse davoir retrouvé un foyer à la faveur de la déclaration Balfour, quil éprouve aussi la fierté des succès dordre économique quil a obtenus dans la mise en valeur de la région qui lui est attribuée et ou il a révélé des aptitudes agricoles et pastorales quil avait lui-même oubliées, cette joie et cette fierté sont trop légitimes pour que toute âme loyale ne les comprenne. Mais le sionisme aurait tort de perdre de vue que la Charte du 2 novembre 1917 ne lui a octroyé ce « home » quà la condition expresse de ne pas porter atteinte aux droits des populations qui y étaient installées.Il devrait aussi se dire que laccueil qui sera fait à lEtat naissant, tant dans lopinion publique que dans les relations diplomatiques, dépendra avant tout de la confiance quinspirera son respect pour les conventions internationales.
* * *
A la vérité, le problème des Lieux Saints présente un caractère exceptionnel et même unique.Il touche aux fibres secrètes de la sensibilité humaine.Notre générationvu naître, sous lempire de considérations dordre scientifique et même esthétique, lexcellent système des réserves naturelles ou des parcs nationaux, afin de soustraire le libre développement des végétations et des faunes aux attentats du vandalisme et de la cupidité ou même aux entreprises dune exploitation normale.Est-il déraisonnable denvisager dans la structure politique du monde, qui évolue dun rythme si rapide, lapparition dun autre phénomène nouveau : la détermination dun territoire restreint, zone de silence et de recueillement, qui, par le consentement des peuples, serait préservé des compétitions et des luttes de souveraineté et où leur civilisation pourrait se retremper dans la communauté de ses origines spirituelles ?
La réalisation dune telle nouveauté ne se heurte nullement aux exigences du Droit international, qui est essentiellement mouvant et fertile en formules ingénieuses.Certes, le statut réclame une protection efficace des Lieux Saintsne connaît pas de véritable précédent.Sil existe quelques sociétés politiques dun type exceptionnel et dont la viabilité pourrait servir dargument, depuis la république de Saint-Marin et celle dAndorre jusquau régime de Tanger (et navons-nous pas connu nous-mêmes, avant le Traité de Versailles, un Moresnet neutre et enclavé à notre frontière de lEst ?), le choix de ces quelques exemples, au regard du problème des Lieux Saints, ne serait que dun enseignement très relatif et qui appellerait maintes nuances. La solution semble devoir être cherchée plutôt dans létablissement dun régime dexterritorialité qui assure lordre et la sécurité sous la tutelle dun certain nombre de Puissances, régime parfaitement compatible dailleurs avec une union économique permettant la liberté des communications et du transit.
Solution difficile, mais nullement impossible, à laquelle peuvent et doivent concourir, dans tous les camps nationaux et religieux, tous les hommes de bonne volonté.
Pour létablissement de ce statut, ainsi que pour sa mise en vigueur, il serait de bon sens que les Nations Unies fissent appel à la participation du Saint-Siège.Encore quelle ait tous les caractères juridiques dun Etat souverain, la Cité du Vatican na pas demandé son admission à lOrganisation des Nations Unies, non plus quelle ne lavait demandée à la Société des Nations.Toutefois, dans certains cas, celle-ci avait eu spontanément recours à la collaboration du Saint Siège, notamment pour la réforme du calendrier.
Le statut des Lieux Saints et le contrôle de ce statut, parce quils intéressent au premier chef tout le monde catholique, ne peuvent être stables quen accord avec le Saint-Siège. Et cet accord, bien loin de léser dautres convictions ou intérêts qui sont en cause, contribuerait certainement, pour reprendre les termes de lEncyclique, à une « entente commune des nations amies de la paix et respectueuses des droits dautrui ».
(2 mai 1949)
Extraits deCte Carton de WIARTChronique de la Guerre Froide 1947-1949
Depuis 1948 « Israxl » dépossède un peuple de sa terre, la Palestine, et pratique tous les jours des expulsions humiliations et massacre en série
Lentité sioniste ne respecte aucune des résolutions des Nations unies, pratique lapartheid et le terrorisme dÉtat avec la complicité des dirigeants européens et de diverses multinationales qui les soutiennent activement comme Coca Cola et Macdonald
Boycottez les produits israéliens et les entreprises ayant des relations commerciales avec cet État dapartheid, demandez à votre entourage de couper tous les liens économiques avec lentité sioniste et menez des actions de pression sur vos institutions jusquà ce quelles boycottent à leur tour.
Dans l'article intitulé «Panique au quai d'Orsay : vrais faux passeports vrais» du 26/02/2010, nous évoquions la possibilité que des Franco-Israéliens aient remis eux-mêmes leur passeport français au Mossad, ajoutant que cela ne manquerait pas de «poser à nouveau la question de la double allégeance de ces nombreux Franco-Israéliens.»
La situation du soldat «franco-israélien» Gilad Shalit, largement médiatisée illustre bien le problème. Peut-il être considéré comme citoyen français alors qu'il fait partie d'une armée étrangère : celle d'Israxl ?
Allons plus loin, les tribunaux français ou de l'Union Européenne ont-ils compétence pour recevoir une plainte à l'encontre de soldats «français» de l'armée israélienne, qui ont commis des crimes de guerre comme à Gaza, par exemple ?
Pire encore, nous avons le cas de M. Arno Klarsfeld, binational franco-allemand qui prend la nationalité israélienne à trente sept ans, s'engage dans les garde-frontières affectés à des check-points en territoires occupés (bien qu'ayant dépassé de dix ans la limite d'âge), actuellement médiateur du Ministre de l'Intérieur alors que toujours réserviste d'une armée d'un pays en guerre. Ajoutons que ce pays est régulièrement condamné pour son idéologie raciste (le sionisme) et est bien connu pour son refus total de respecter le droit international (à quoi servent les résolutions des Nations Unies quant il s'agit d'Israxl ?).
Tous ces faits (et nous pourrions en citer beaucoup d'autres) conduisent à la situation suivante. A cause de ces «Franco-Israéliens», la France est directement impliquée dans les guerres que mène Israxl contre ses voisins et leur population civile. Cette situation est politiquement dangereuse et moralement intenable. Politiquement dangereuse car notre pays se trouve impliqué, de fait militairement, dans des conflits qui ne sont pas les siens avec toutes les conséquences que cela peut avoir. Moralement intenable car des Français qui sont aussi Israéliens se trouvent impliqués dans des crimes de guerre ou contre l'Humanité (Liban, Gaza, etc.) ou dans des actes terroristes (assassinats comme récemment à Dubaï, avec toutes les complications que cela peut amener.
Des hommes politiques ou des juristes nous ont souvent répondu qu'il existe en ce domaine «un vide juridique». On peut combler ce «vide» en ayant recours aux autorités juridictionnelles compétentes (Conseil d'état, Ministère de la Justice). Gageons que si un Franco-Soudanais faisait la guerre au Darfour dans les rangs de l'armée soudanaise, la réaction du gouvernement français et des médias à ses ordres serait différente. Il est vrai que le lobby soudanais en France est resté pour l'instant relativement discret !
Ce «deux poids deux mesures», avec toujours un soutien ouvert ou dissimulé à l'entité sioniste, n'est pas dû seulement à un «vide juridique» : c'est un choix délibéré, imposé par le lobby sioniste en France.
On peut comparer avec le sort réservé à des Français revenant de Guantanamo. M. Mourad Benchellali et ses 5 compagnons français ont appris (Le Monde du 20/02/2010) que la relaxe prononcée en leur faveur est annulée. Ils seront donc jugés pour la troisième fois en trois ans. Leur crime : se trouver en Afghanistan lors de l'entrée des Américains après le 11/09 et avoir été vendus par les services pakistanais aux Américains. Après les tortures physiques et morales à Guantanamo, Mourad et ses camarades seront mis en détention provisoire dans l'attente d'un procès par la justice française.
Antoine Audouard, écrivain, a publié sur cette affaire un excellent article dans Le Monde du 26/02/2010, parlant de «la torture morale d'un interminable Guantanamo judiciaire». Il ajoute que tous les autres occidentaux dans le même cas ont pu rentrer chez eux à leur retour : en Angleterre, en Suède, au Danemark, etc.
Comme quoi il vaut mieux être Français et avoir pris part aux guerres contre le Liban et contre Gaza au sein de l'armée israélienne que d'être Français et musulman, suspecté et torturé par la CIA à Guantanamo.
Le «deux poids deux mesures» saute aux yeux : sous l'emprise du lobby sioniste, le gouvernement Sarkozy/Kouchner est bel et bien rangé derrière le drapeau israélien.
Il est curieux que lors du fameux débat sur l'Identité Nationale, le cas des Franco-Israéliens et des sionistes, qui avouent sans complexe se sentir israéliens avant d'être français, n'ait pas été évoqué.
Yechouroun Judaïsme contre Sionisme apporte quelques chroniques diplomatiques dépoque, dont voici la deuxième, de la diplomatie belge.
En pleine guerre froide, la constellation et les rivalités des grandes puissances ont favorisé la Nakba, létablissement de lEtat terroriste sioniste anti-Torah en Palestine. Ces documents dépoque si éloquents doivent être sortis des oubliettes, car ils dévoilent mainte complicité, responsabilité et culpabilité parmi les « grands de ce monde » et sont riches en enseignements pour notre lutte antisioniste.
Cte Henry Carton de WIART (1869 - 1951), Ministre dEtat
Chroniques hebdomadaires parues dans La Libre Belgique
2. EFFERVESCENCE EN ORIENT (16 février 1948)
Tandis que de lourds nuages planent au-dessus de la cuve balkanique, toute la vaste région dOrient qui sétend de la Méditerranée jusquau Golfe Persique connaît une effervescence qui risque de tourner au tragique. Cette effervescence na pas sa seule cause dans la question palestinienne, mais elle sest singulièrement précisée et aggravée depuis que lassemblée de lO.N.U. a décidé le partage de la Palestine en un Etat juif et un Etat arabe, avec un régime de tutelle internationale pour la ville de Jérusalem. Depuis que cette décision imprudente, ou tout au moins prématurée, est intervenue, les désordres et les attentats se sont multipliés, et lon évalue déjà à plus dun millier le nombre des vies humaines qui en ont été les victimes.Un mémorandum officiel, envoyé à la commission que lO.N.U. a chargée de suivre le déroulement de ce problème, signale que la situation sempire chaque jour par suite de linfiltration de groupes de guérilleros armés et entraînés, venant des pays limitrophes de la Palestine.Il précise quà la fin de janvier des forces arabes se sont installées dans la région Safad et ont attaqué des communautés juives avec des mortiers et des armes automatiques.Dans la nuit du 20 janvier, 700 Syriens ont pénétré en Palestine par la Transjordanie, munis de moyens de transport mécanisés et bien équipés.Les dernières nouvelles évaluent à 15.000 hommes les forces de l « armée arabe de la Libération » qui campent au nord de la Galilée et dans le district dHébron.
Il ne sagit plus dattaques locales, sans coordination entre elles. A la suite de délibérations qui ont eu lieu entre les chefs arabes et auxquelles le Grand Mufti a participé, le commandement en chef de lArmée de la Libération a été confié au général Ismaïl SATWAT, chef détat-major adjoint de larmée dIrak. Un plan dopération a été arrêté, suivant lequel la Palestine sera divisée en quatre secteurs où laction des troupes régulières sera combinée avec celle des corps de volontaires. Tout fait prévoir, à bref délai, le déclenchement dune redoutable « guerre sainte ».
Le fanatisme religieux, qui demeure une caractéristique de lIslam, joue assurément son rôle dans cette fièvre qui va croissant. Mais dautres causes ont contribué à la faire monter, les unes dordre psychologique et politique, les autres dordre économique, et il est difficile den apprécier lampleur si lon ne tient compte de lévolution extraordinairement rapide que lOrient a subie en ces dernières années.
Libérés de la vassalité que les a si longtemps assujettis à lautorité de la Sublime Porte, les nouveaux Etats arabes, quexalte un nationalisme qui se mue en xénophobie, entendent se dégager, les uns après les autres, des entraves de tutelle ou de mandat qui les lient encore aux Puissances occidentales.Celles-ci leur ont apporté lindustrie.Elles ont substitué brusquement aux lentes caravanes de chameaux, qui étaient demeurées ce quelles étaient au temps des Rois Mages, le rythme de lautomobile et de lavion, introduisant au désert une notion nouvelle : celle de la vitesse trépidante.Le silence des espaces est troublé désormais par les ondes radiophoniques. Les communautés pastorales et les tribus nomades sont passées sans transition du régime féodal aux spéculations du marché noir.Toute la zone située entre lEgypte et la Perse, la Méditerranée et lOcéan Indien, sest révélée comme un immense champ pétrolifère dont la grande République étoilée à besoin, non moins que lU.R.S.S., toutes deux sinquiétant pour lavenir, et même pour le présent, de linsuffisance de leurs propres réserves.Les esprits nostalgiques du passé ne peuvent plus se faire dillusions sur ce bouleversement et leur mélancolie se devine dans cette conclusion par laquelle sachève un ouvrage de M. Robert MONTAGNE Institut français de Damas : « LOccident sest emparé de lair et de la terre. Mais il na pas conquis les curs, et cest pourquoi aujourdhui, et peut-être pour quelques années encore, la civilisation du désert survit dans les âmes de ceux qui sont à la fois les plus misérables et les plus orgueilleux des hommes ».
* * *
Quant à la vie politique de cette vaste région, elle est dominée désormais par la Ligue des Etats Arabes qui a été officiellement constituée en mars 1946. Les sept Etats dont elle se compose : lEgypte, lArabie saoudite, le Yémen, lIrak, la Syrie, le Liban et la Transjordanie, groupent une population de 45 millions dhabitants.Leur superficie dépasse celle de lEurope occidentale et leur position géographique importante exceptionnelle au point de vue stratégique, maritime et économique. La mission que cette Ligue sest donnée consiste, dit-elle, à assurer aux peuples arabes leur indépendance, à compléter ou à consolider leur unité, à relever leur niveau intellectuel et social, à améliorer leur situation économique, à faire deux, dans cet Orient qui a souffert dune longue léthargie, un élément dordre, de travail et de progrès.Symbole et instrument de lunité arabe, la Ligue na pas manqué de concerter à Lake Success laction de ses affiliés, qui sont en même temps membres de lO.N.U. On sait avec quelle véhémence cette action sest manifestée dans le débat palestinien.
La sagesse eût été pour lO.N.U. dassurer aux milliers et milliers de Juifs disséminés aujourdhui ou parqués dans des camps de rassemblement la possibilité de sétablir ailleurs encore que dans cette Palestine où ils sont déjà au nombre de six cent mille, et dont létendue et les ressources sont très limitées.Plutôt que dexaspérer la résistance arabe, lO.N.U. pouvait canaliser ce flot israélite vers les contrées américaines, australiennes, voir sibériennes et africaines où la place ne manque pas.Il est certain, en effet, que le plus grand nombre de Juifs qui affluent en Palestine ny vont pas tant pour des raisons idéologiques ou religieuses, mais pour fuir lisolement ou la misère, et rien ne le prouve mieux que les chiffres très modestes de limmigration juive en Palestine avant 1932, à une époque où cette émigration était pratiquement libre. Dautre part, les Anglais ayant annoncé leur intention formelle de quitter cette région brûlante, lO.N.U. aurait dû substituer, au moins à titre temporaire, un mandat international au mandat britannique qui prenait fin. Plutôt que de sarrêter à ces solutions de bon sens, lO.N.U. a préférer décréter le partage de la Palestine en deux Etats ennemis imbriqués lun dans lautre et coupés par des couloirs plus compliqués que celui de Dantzig.
La Belgique avait tout dabord lintention de sabstenir dans cette affaire, ainsi que la fait lAngleterre. Tel avait été lavis de la commission des Affaires étrangères de la Chambre des Représentants sur lexposé que lui en avait fait M. P.H. SPAAK. La surprise a été grande dapprendre que la délégation belge sétait, au dernier moment, prononcée en faveur du partage, et ce vote, on le sait, a entraîné déjà dans plusieurs Etats arabes des réactions singulièrement fâcheuses pour nos intérêts dexpansion.
Depuis lors, afin de mettre à exécution le plan de partage, une commission a été désignée par lO.N.U. La première chose que cette commission ait faite a été de réclamer au Conseil de Sécurité la création dune force internationale qui pourra tenir en respect loffensive déjà commencée de larmée de la Libération.
En se prononçant eux aussi pour le partage, les Etats-Unis ont certainement compté avec lintense des groupes sionistes et la force électorale que ceux-ci représentent. Toutefois, la grande République américaine, peu soucieuse de se heurter plus directement aux Etats arabes et de compromettre ses concessions de pétrole de lArabie séoudite, laisse déjà entendre que cette force internationale, dont le Conseil de Sécurité de lO.N.U. devra assurer la formation, sera constituée uniquement par des contingents fournis par les moyennes et petites nations. Le rôle qui de ce chef incomberait à celles-ci puissions-nous échapper à une telle aventure ! serait aussi dur quil ne serait ingrat.
Quant à lO.N.U. elle-même, la maladresse dont elle a fait preuve en toute cette affaire na pas fait mentir, mais aggravé, hélas ! lamère prophétie de KIPLING : « LOccident est lOccident. LOrient est lOrient. Et ils ne se rencontrent jamais. »
(16 février 1948)
Extraits deCte Carton de WIARTChronique de la Guerre Froide 1947-1949
Ad. GoemaereBruxelles 1950 pp.61 à 83
Cet homme dEtat conservateur et réaliste sera-t-il aussi traité d « antisémite » par les hystériques de la propagande sioniste ?
Documentation historique: LE GUÃPIER PALESTINIEN (27 mai 1947) Comte Henry Carton de WIART
60 ANS DE NAKBA, 60 ANS DETAT SIONISTE ANTI-TORAH,FINISSONS EN !
Yechouroun documentation
Yechouroun Judaïsme contre Sionisme apporte quelques chroniques diplomatiques dépoque de la diplomatie belge, dont voici la première, .
En pleine guerre froide, la constellation et les rivalités des grandes puissances ont favorisé la Nakba, létablissement de lEtat terroriste sioniste anti-Torah en Palestine. Ces documents dépoque si éloquents doivent être sortis des oubliettes, car ils dévoilent mainte complicité, responsabilité et culpabilité parmi les « grands de ce monde » et sont riches en enseignements pour notre lutte antisioniste.
Cte Henry Carton de WIART(1869 - 1951), Ministre dEtat
Chroniques hebdomadaires parues dans La Libre Belgique
1. LE GUÊPIER PALESTINIEN (27 mai 1947)
Le problème palestinien, qui constitue une sérieuse menace pour la paix du monde, vient, on le sait, dêtre renvoyé par lassemblée générale extraordinaire de lO.N.U. à une commission denquête, composée de délégués dun certain nombre de petites puissances.
La Belgique na pas dintérêt immédiat qui soit engagé dans cette affaire. Il sen est fallu de peu quelle y fût mêlée directement. A trente-deux ans de distance, il est permis de lever le voile sur une démarche qui fut faite à ce sujet auprès du gouvernement du roi Albert pendant la guerre 1914-1918.
Un des derniers jours de lannée 1915, je ne fus pas peu surpris de recevoir au Havre la visite de M. Denys COCHIN, chargé de cette démarche. Javais personnellement lhonneur dêtre lié de près à ce Parisien de vieille roche, catholique fervent, dune vaste culture desprit et dune autoritémorale et politique reconnue par tous, quAristide BRIAND avait décidé depuis quelques mois à entrer, en qualité de ministre dEtat, dans le cabinet dunion sacrée quil avait formé.Il comptait dailleurs beaucoup damis en Belgique et son frère Henri, ancien député du Nord, avait mis à la disposition de notre ministère de la Guerre son château de Saint-Pierrebrouck, situé non loin de la frontière de West-Flandre.
A ce moment, la France et lAngleterre, envisageant déjà leffondrement de lempire ottoman, se préoccupaient du sort qui serait réservé tant au Proche quau Moyen-Orient, sur lesquels les convoitises historiques de la Russie nétaient pas sans les inquiéter.
M. Denys COCHIN, à qui ses sympathies bien connues pour la cause grecque, non moins que son physique avantageux, avaient valu un plaisant surnom : « le bel Hélène », venait de rentrer dune mission officielle à Salonique, et tous les aspects de la question de la Méditerranée orientale lui étaient familiers Quel était lobjet de sa visite au siège de notre gouvernement ? Sans ambages, il me demanda si le Roi des Belges accepterait éventuellement loffre qui lui serait faite par les Alliés dun mandat ou dun protectorat sur la Terre Sainte. Cette formule, massurait-il, rencontrerait lappui du cabinet français et aurait des chances dêtre accueillie par le Foreign Office. Parmi ceux qui sy montraient particulièrement favorables, il me cita M. DELCASSE, qui avait quitté récemment le Quai dOrsay, en raison de son état de santé, mais dont les avis pesaient encore dun grand poids.Une telle proposition, pour imprévue et délicate quelle fût, méritait dêtre prise en considération.La politique dexpansion belge pouvait y trouver son compte, et les souvenirs dun Godefroid de Bouillon et dun Robert de Jérusalem la caressaient de quelque reflet sentimental.
Après avoir pressenti le baron de BROCQUEVILLE, ainsi que le baron BEYENS, qui dirigeait alors nos affaires extérieures, je saisis, quelques jours plus tard, loccasion dun voyage au front pour faire part au Roi de cette ouverture qui ne pouvait, semblait-il, que le flatter. Mais à peine me laissa-t-il le temps den achever lexposé Je lentends encore minterrompre pour me dire, dun ton le plus déterminé : « A aucun prix, je ne mettrai ma main dans ce guêpier ».
Je reconnus dans cette réponse la perfection de bon sens et labsence de toute gloriole qui étaient dans le caractère de ce souverain exemplaire, et M. Denys COCHIN ne tarda pas à être informé de léchec dune démarche dont il souhaitait ardemment le succès.
Ce ne fut que le 2 novembre 1917, les évènements ayant marché dans lentre-temps et dautres solutions ayant été vainement étudiées par les gouvernements alliés, quintervint, à la suite des efforts persévérants du professeur WEIZMAN, apôtre du sionisme, efforts secondés par les ROTHSCHILD et les SASSOON, la fameuse déclaration dArthur BALFOUR.Par cette déclaration, la Grande-Bretagne sengageait à favoriser la constitution dun home national juif en Palestine, en spécifiant toutefois (on oublie souvent de mentionner cette ajoute et cette réserve) que « ce foyer ne devra pas porter atteinte aux droits des populations qui y sont installées ni à ceux des Juifs dans les autres pays du monde ».
Ainsi souvrait, pour le peuple dIsra/l, la radieuse perspective du jour tant attendu « où le mur des Pleurs devra sécrouler pour faire place à la cité de la Joie ». Un mois plus tard, le maréchal ALLENBY faisait son entrée triomphale à Jérusalem. Le 3 janvier 1919, le roi FAYçAL, au nom du Hedjaz, et le Dr WEIZMAN,au nom de lOrganisation sioniste, signaient un accord qui établissait la colonisation juive. Dix ans après, la plaine entre Tel Aviv et Haïffa, naguère désertique, était couverte dhabitations modernes et de champs fertiles. Mais à mesure que saccentuait cette prospérité, la réaction des Arabes se raidissait de plus en plus, saccusant par des mesures de boycottage, des barrages et des agressions. Enfin, en 1939, après maints essais de conciliation, le gouvernement britannique, que la S.D.N. avait investi dun mandat sur la Palestine, se décida àpublier un Livre Blanc, qui limitait à 5 % du territoire la région où les Juifs pourraient librement acquérir des biens et qui fixait à 75.000 le nombre des certificats détablissement qui pourraient être octroyés aux Juifs pendant les cinq années à venir, faisant dépendre toute immigration ultérieure du consentement de la population arabe.
Cest lapplication de ces conditions, maintenue, en dépit des promesses électorales du parti travailliste, par le gouvernement présidé par M. ATTLEE, qui est en jeu dans le conflit actuel, toute la communauté juive de Palestine (quon évalue déjà à 600.000 personnes) réclamant la liberté de limmigration et même un Etat juif indépendant, tandis que les 1.200.000 Arabes plus ou moins autochtones (sans parler de 80.000 chrétiens en contact avec ces deux groupes), opposent à ces prétentions une résistance où le fanatisme de lIslam se montre de plus en plus farouche. Tandis que les actes de terrorisme se multiplient de part et dautre et que de nombreux officiers, soldats et agents britanniques en sont les innocentes victimes, le flot dimmigration clandestine, grossi par larrivée incessante de Juifs sans feu ni lieu, ne cesse de monter en dépit de la chasse faite aux nouveaux venus.Dun côté, lexaspération de la fièvre juive, entretenue et financée surtout par les puissants groupements israélites des Etats-Unis, sinspire dun mysticisme qui la rend plus redoutable.Dun autre côté, les sept Etats arabes, dont la population totale est dune trentaine de millions dhabitants, font bloc, non seulement contre le sionisme, dont ils ont la méfiance, sinon la haine, mais aussi contre les Puissances occidentales, dont ils dénoncent les visées dordre colonial. Que la Grande-Bretagne consente demain à retirer ses forces, ce ne serait pas seulement pour elle le sacrifice de la pipe-line qui, traversant la Palestine, permet à sa flotte de puiser à des sources de pétrole qui représentent un tiers des réserves mondiales de carburant. Tandis quelle compromettrait ainsi ses moyens de protéger le canal de Suez, elle laisserait en présence et en conflit deux groupes effervescents, dont lhostilité paraît irréductible, et dont le plus faible, le groupe juif, aurait bientôt le dessous.
LAssemblée de lO.N.U. sest débarrassée de cette question brûlante, en la passant, comme on le ferait dune brique chaude, à une commission denquête. Cest peut-être un sursis Les amis de la paixsouhaiteront que la constitution de cette Commission marque aussi une trêve et quelle suspende le recours aux meurtres, aux lancements de bombes, à la destruction des voies de communication, à tous les attentats dont lécho nous parvient presque chaque jour.
Il nest pas douteux que lintransigeance des Juifs et les procédés qui leur sont imputés exciteront de plus belle, ailleurs même quau Moyen-Orient, les affreuses luttes racistes dont lhitlérisme avait fait son aliment pour le déshonneur de lhumanité. On eût pu croire que lantisémitisme vaincu par les monstruosités dont les exterminations nazistes ont donné le terrifiant spectacle. Voici que, par linconséquence même de ceux qui en ont été les martyrs, il se réveille, voire en Angleterre, où il navait jamais eu laudience populaire. Une solution ne semble actuellement possible, ni dans la création dun Etat juif indépendant, ni dans une fédération judéo-arabe dont les musulmans, sous la direction du Grand Mufti, ne veulent pas entendre parler.
Ce nest quau prix de beaucoup de modération et de prudence que le conflit pourra être localisé et apaisé.Pour linstant, la sagesse nest certes pas de réclamer une immigration illimitée, encore moins dencourager et de précipiter en Palestine la marée des Juifs qui se refusent à vivre dans notre vieille Europe ou qui ny trouvent pas dhabitat à leur convenance. Elle est bien plutôt de canaliser ce flot vers des contrées américaines, australiennes, voir sibériennes et africaines, où la place ne manque pas. Si lO.N.U. semployait à poursuivre ce résultat, elle justifierait opportunément son titre et sa fonction.
Quant à lUnion Soviétique, qui est un membre si influent de lO.N.U., quel est, dans tout ceci, son rôle ? Moscou a repris, en ces temps derniers, et sans que lopinion dans les pays occidentaux mesure toute la portée de ce recommencement, son action séculaire de métropole du culte orthodoxe et dordonnateur de sa hiérarchie. La politique russe obéit ainsi, sans quon sen doute, à des « constantes » traditionnelles. Lhistoire na pas oublié que cette action, telle quelle sest déployée, en Palestine même, fut, en 1854, à lorigine de la guerre de Crimée
Verrons-nous le Kremlin daujourdhui verser de lhuile dans les rouagesou de lhuile surfeu ? La crisepalestinienne lui offre assurément une occasion propice de manifester dans les faits cette volonté dont M. MOLOTOV nous a affirmé récemment lassurance.
(27 mai 1947)
Extraits deCte Carton de WIARTChronique de la Guerre Froide 1947-1949
Ad. GoemaereBruxelles 1950 pp.61 à 83
Cet homme dEtat conservateur et réaliste sera-t-il aussi traité d « antisémite » par les hystériques de la propagande sioniste ?
Voici le communiqué du Parti Anti Sioniste daté du 1er Février 2010 qui revient sur les dessous du 11 septembre. On trompe lopinion publique en cachant les vrais commanditaires de cet attentat qui a mystérieusement abouti à linvasion de pays stratégiquement importants pour lempire USraxl ! Et la politique dObama ne va hélas pas dans le sens dun renouveau de politique internationale.
Grande-Synthe, le 1er février 2010.
Allons-nous vers un nouvel 11 septembre ? (1ère partie)
Quelle que soit lopinion que lon se fait sur les attentats du 11 septembre 2001 (version officielle ou attentat organisé par la CIA ou le Mossad israélien), des faits incontestables découlent de ce fameux 11 septembre.
La seule grande puissance dominante après la désintégration de lUnion Soviétique (USA) sest donnée à elle-même un chèque en blanc, un quitus moral et politique lui permettant dintervenir partout, quand elle le souhaite et par tous les moyens, au nom de la lutte contre le terrorisme.
Ce concept « le terrorisme » dit international est assez flou pour pouvoir être appliqué à nimporte qui. Il a été défini au départ par laxe américano-sioniste pour désigner à lépoque « lislamisme » par opposition à lIslam « modéré », cest-à-dire, lIslam des pays déjà sous la coupe américano-sioniste (pays du Golf, Égypte, Maghreb, Pakistan, etc..). Ces pays ont eu pour fonction de servir de bases et dalliés aux États-Unis et de jouer également le rôle des «bons musulmans de service ». Cet appel à la croisade contre le terrorisme a été adressé également aux anciens ennemis des USA (Russie et Chine) afin de les embrigader sous la bannière américano-sioniste.
Le premier objectif nommément désigné a été lAfghanistan refuge des Talibans et de linsaisissable Ben Laden. Linvasion et loccupation de ce pays ont donc été décidées et menées à terme avec la complicité du gouvernement pakistanais, entraînant ce pays à son tour dans une guerre tantôt ouverte tantôt larvée.
A cet ennemi fantomatique et insaisissable quest Al Qaida, les États-Unis et Israxl en ont ajouté un autre lIrak, un État souverain, un État sous embargo, totalement affaibli depuis la guerre du Golf. Lagression contre lIrak a voulu être présentée comme une croisade du bien contre le mal afin dobtenir la caution des Nations-Unies (cette « respectabilité » que les puissants appellent le « droit international »). Cette fois-ci le montage mis en place par tout lappareil propagandiste américano-sioniste sest heurté à lincrédulité dune partie importante de lopinion (les fameuses armes de destructions massives de Saddam Hussein narrivaient pas à convaincre) et surtout au refus de la Russie, de la Chine et de la France : membres du Conseil de Sécurité avec droit de veto.
La Russie et la Chine ne pouvant pas ou ne souhaitant pas apparaître au premier plan, ce fut à la France de Jacques Chirac et de De Villepin, dans la meilleure tradition gaulliste, que revint la mission d« accrocher » le veto. Les États-Unis et leurs alliés ont été ainsi obligés dagresser lIrak sans la caution de lONU (ce « machin » comme disait le Général De Gaulle).
On peut considérer que depuis ce jour, les Nations Unies sont mortes même si leur siège à New-York continue à faire la fortune des grands restaurateurs locaux et autres lieux de divertissement destinés aux diplomates.
Cette agression/occupation de lIrak a répondu à plusieurs objectifs dont le premier et sans doute le plus important est davoir donné satisfaction à Israxl et à son lobby nord-américain. Il sagissait de briser un État arabo-musulman disposant à la fois deau (agriculture) et de pétrole, et de le morceler en trois entités ethniques et religieuses (Kurdes, sunnites et chiites). On a également liquidé ses élites soit par la corruption soit par lassassinat (plus de 70 physiciens, chimistes et techniciens de haut rang dans le domaine nucléaire disparus ou assassinés). Enfin et surtout cette occupation renforce lencerclement de la République Islamique dIran, principale ennemie dIsraxl et de son lobby.
A Gaza en décembre 2008, il sest agi pour lentité sioniste de mettre à lépreuve M. Obama, élu en novembre avec en grande partie, les fonds du lobby sioniste mais également de vérifier par la pratique le nouvel axe régional Israxl - pays arabes dits modérés, cest-à-dire complices : Égypte, Jordanie et certains pays du Golfe. Le silence dObama, de Moubarak, sans parler de celui de Mahmoud Abbas, Président de lautorité palestinienne ont bien montré la complicité unissant les USA, Israxl et les gouvernements arabes assujettis au sionisme. Le silence tout aussi complice de lUnion Européenne a confirmé, si besoin en était, son alignement total sur la politique israélienne, alignement renforcé par le retour de la France dans lOTAN, décidé par M. Sarkozy.
Léchec relatif de larmée israélienne sur le terrain et lindignation croissante dune partie de lopinion nont fait que suspendre provisoirement la question de Gaza. Depuis, le territoire de Gaza est soumis à un total embargo avec la complicité de lÉgypte, des États-Unis, de M. Obama et de lUnion Européenne. Pendant ce temps, la colonisation sioniste de la Cisjordanie et de Jérusalem Est se poursuit, quoi que puisse dire M. Obama pour tenter de tromper lopinion publique, notamment arabe. La Palestine demeure le pivot de ce conflit opposant la volonté de domination sioniste au reste du monde.
Pour que tombent les dernières illusions sur la politique de « paix » de M. Obama, ce dernier a décidé lenvoi de 30 000 hommes supplémentaires en Afghanistan alors que toute solution militaire du problème est exclue et que la guerre contre les USA et ses alliés sétend au Pakistan. Pendant que lempire USraël senlise en sélargissant (suite notamment au mystérieux attentat manqué du « terroriste aux sous-vêtements » et à une possible intervention américaine au Yémen), la situation économique globale ne saméliore pas pendant que la Chine, la Russie et surtout le front de la résistance (Iran, Hezbollah, Hamas) continuent de se renforcer.
Nous reviendrons prochainement dévoiler ce qui na encore jamais été dit sur le 11 septembre.
Jai lu à lInternet les propos de lévêque Pieronek concernant lEtat d« Israxl » et l « Holocauste », et en tant que Juif orthodoxe opposé au Sionisme et au comportement des Sionistes, je tiens à exprimer par la présente quil y a des Juifs qui sopposent à la Barbarie quest lEtat sioniste et qui sopposent à la manipulation par les Sionistes des évènements de la Deuxième Guerre Mondiale (ce que les Sionistes appellent l« Holocauste ») pour se permettre de terroriser et oppresser les indigènes de Palestine.
Lévêque Pieroneka fait des déclarations très importantes et judicieuses concernant le contrôle par des « Juifs » sionistes des medias, de lenseignement et de la politique au profit de lEtat voyou qui se nomme « Israxl ». Je suis sûr que les Sionistes chercheront à le persécuter à cause quil a dévoilé leur agenda et leur comportement, qui sont en vérité en contradiction totale avec la Thora, avec la religion Juive.
Les Sionistes sont pareils aux incendiaires qui allument un feu et puis crient à l« antisémitisme » dès quils sont attrapés pour avoir mis le feu, partout dans le monde, et particulièrement en Terre Sainte.
Nous avons reçu une lettre doucereuse de la part dun sioniste fondamentaliste chrétien (« messianique ») qui prétend que le Prophète Isaïe aurait prédit que les incroyants juifs seront amenés par Dieu en Terre Sainte et que cette « prophétie » se serait réalisée en 1948 sous les auspices des Nations Unies.
Il cite les versets Isaïe 43 : 5, 6 ,8 (omettant le 7ème et falsifiant le 8ème)
Traduction du Rabbinat français (sous la direction du Grand-Rabbin Zadoc Kahn) :
5 Ne crains point, je suis avec toi ! Du Levant je ramènerai tes enfants et du Couchant je te rassemblerai. 6Je dirai au Nord : « Donne ! » au Midi : « Ne les retiens pas ! Ramène des pays lointains mes fils, et des confins de la terre mes filles, 7 tous ceux qui se réclament de mon nom, tous ceux que, pour ma gloire, jai créés, formés, organisés. » 8Laissez sortir ce peuple qui était aveugle, quoi quil eût des yeux, et sourd, quoi quil eût des oreilles !
Ce dernier verset est « traduit » au présent, [peuple qui « est » aveugle, qui « est » sourd] mais cest là un truc de foire ! Il est évident que Dieu na pas envoyé les ancêtres Juifs en Exil pour les ramener en Terre Sainte tels quels ou même pires. Le contexte global enseigne que les Juifs doivent passer par lExil pour être purifiés, et seulement après et uniquement dans le but sacerdotal dêtre une nation sainte, un royaume de prêtres au service de lhumanité, ils rempliront leur rôle en Terre Sainte.
Les questions et remarques de lecteurs sont toujours les bienvenues, mais nous demandons aux sionistes, missionnaires et consorts de sabstenir, ils ont des centaines de sites sionistes à leur disposition pour se défouler.
LA CLIQUE MUBARAK A EMPÃCHÃ LâACCÃS A GAZA AU RABBIN A.L. COHEN שליט"א
LA CLIQUE MUBARAK A EMPÊCHÉ LACCÈS A GAZA AU RABBIN A.L. COHENשליט"א
Une délégation de Juifs de Neturei Karta a participé à la Marche pour la Liberté de Gaza. La plus part deux sont en possession dun passeport américain, sauf lhonorable chef de délégation Rabbi A.L. COHEN de Manchester (Grande Bretagne).La clique criminelle Mubarak, ennemie de son propre peuple, laquais de limpérialisme US et collaborateurs du Sionisme, na autorisé « gracieusement » laccès à Gaza quà 84 des environ 1300 participants de 43 pays. Parmi eux, il y avait quatre activistes de Neturei Karta, car en possession dun passeport américain. On comprend aisément que les autorités égyptiennes de mauvaise foi ne fassent pas dexception sur leur décret satanique en faveur dune seule personne. Mais dans ce cas également, ils procédèrent conformément à la volonté des sionistes, dont ils sont les complices.
Malheureusement, les représentants de Neturei Karta préfèreraient encore se mordre le bout de la langue ce qui entrainerait quils ne peuvent plus jamais prononcer la moindre parole antisioniste que de formuler la moindre critique à ladresse des collaborateurs arabes et palestiniens du Sionisme et de limpérialisme international. Ceci nest pas permis, selon eux, sous prétexte que ce serait une révolte contre les nations (sic)Formulé en Yiddish par un de leurs adeptes, cela donne: מען מעג בשום אופן נישט שרייבן געגען זיי אין די בלעטער
Les Prophètes bibliques dYisroél pleurent amèrement sur leurs enfants.
Brutalité De La Police Egyptienne Contre Les Militants De La Marche Pour Gaza - Boycott De L'Egypte
Les Militants Pacifistes qui protestaient contre la décision de Pharaon Moubarak de ne pas les laisser se rendre à Gaza pour soutenir les Palestiniens assiégés ont été battus par les milices de ce gouvernement fasciste. 2010 doit être l'année de lancement d'une campagne de Boycott de l'Egypte comme destination touristique.
Lenseignement des évènements récents autour de Gaza et en Egypte :
LA LIBÉRATION DE LA PALESTINE EST INSÉPARABLE DE LA LUTTE CONTRE LES RÉGIMES ARABES (vendus à limpérialisme américain et collabos de lentité sioniste)
Courrier des Amis: A voir absolument, « cadeau de Nouvel An » :
Posted by libertesinternets A partir du moment où on valide cette fiction dIsraxl comme étant un Etat juif (comme le dit la totalité de la presse) alors il ny a pas de raison de soffusquer des propos de Neeman. Dans un Etat caractérisé par un fait religieux (le judaïsme) il est normal que la loi religieuse soit plus importante que la loi républicaine. Après tout, cest ce qui se passe déjà dans les Emirats Arabes.. Mais dans ce cas là faut juste arrêter de nous bassiner avec la propagande du Israxl, état démocratique .
Les Israéliens laïques voient avec inquiétude croître le poids des religieux.
[Adrien Jaulmes - Le Figaro - 10/12/2009]
Le ministre israélien de la Justice a déclenché un tollé en déclarant que la Torah devait progressivement remplacer la loi israélienne. «Petit à petit, nous imposerons aux citoyens dIsraxl les lois de la Torah, et nous ferons de la Halakhah (la jurisprudence rabbinique) la loi régissant la nation , a déclaré lundi soir Yaacov Neeman lors dune intervention publique devant une assemblée rabbinique à Jérusalem. «Nous devons imposer lhéritage des pères de la nation. La Torah donne la réponse complète à toutes les questions qui nous interpellent» , a-t-il ajouté. Le ministre a été vivement applaudi, notamment par le grand rabbin ashkénaze dIsraxl, Yona Metzger, et le rabbin Ovadia Yossef, chef spirituel du parti orthodoxe séfarade Shass.
Exclusivité juridique
Retransmis mercredi par la radio israélienne, ces propos ont très vite soulevé une vague de réactions indignées. Tzipi Livni, chef du parti dopposition Kadima, juge que de tels commentaires devraient «susciter linquiétude de tout citoyen soucieux dIsraxl et de ses valeurs démocratiques». Yossi Beilin, figure de la gauche et ancien ministre de la Justice, estime que Yaacov Neeman devrait être «immédiatement démis de ses fonctions». «Cette remarque reflète linquiétant processus de talibanisation en cours dans la société israélienne» , met en garde Haim Oron, le chef du parti dextrême gauche Meretz. Le bureau du ministre de la Justice a tenté de faire machine arrière en publiant un communiqué embarrassé : «Le ministre tient à souligner que cette remarque nétait pas un appel à remplacer les lois de lÉtat dIsraxl par la loi religieuse. Il na fait quévoquer en termes généraux limportance de la loi juive dans la vie du pays.»
La question de la loi religieuse est sensible en Israxl. Le judaïsme reste le principal ciment dune société dimmigrants issus de différents pays, mais les Israéliens laïques voient avec inquiétude croître le poids des religieux et linfluence politique de leurs partis.
La Constitution na jamais été adoptée depuis la création de lÉtat, pour ne pas placer un texte législatif au-dessus de la Torah. LÉtat fait respecter la fermeture du sabbat et laisse des pans entiers du système légal aux autorités religieuses. Les tribunaux rabbiniques bénéficient de lexclusivité juridique en ce qui concerne le statut des individus. Mariages comme divorces sont soumis aux autorités religieuses, et il nexiste pratiquement pas de cimetières laïques. Un système déducation religieuse reconnu par lÉtat et bénéficiant daides publiques coexiste avec le système national. Les ultraorthodoxes sont exemptés de service militaire.
Autrefois très minoritaires, les partis religieux sont devenus des acteurs clefs du jeu politique, faisant et défaisant les majorités dans un système où la proportionnelle donne un poids considérable aux petites formations. La coalition du gouvernement actuel repose en large partie sur les partis religieux, notamment le Shass, séfarade, et les partis ultraorthodoxes de la Liste de la Torah unifiée. Ces partis sont favorables à une extension de linfluence religieuse. Nétanyahou sest abstenu de commenter les propos de son ministre de la Justice.
Commentaire Yechouroun : Article très instructif. La prétention des sionistes religieux et leurs politiciens de « cachériser » leur Etat va à lencontre de la Thora même. La Thora et le Sionisme sont et restent profondément incompatibles. Les rabbins sionistes sont des gangsters sanguinaires. Les rabbins dignes de ce nom sont antisionistes.
La "Gaza Freedom March", coalition internationale initiée aux Etats-Unis et visant à réunir des milliers de volontaires pour dire NON AU BLOCUS DE GAZA, est désormais lancée ! De tous les pays, des femmes et des hommes sinscrivent pour participer à cette très belle aventure, qui les amènera à célébrer le changement dannée en montrant attachement aux droits de lHomme et au droit international.
Lopération débutera le 27 décembre 2009, un an jour pour jour après le début des bombardements israéliens à la sortie des écoles de la bande de Gaza.
Dans le cadre dune action citoyenne et pacifique, nous organisons une marche symbolique et une veillée de commémoration à Bruxelles, pour :
- La levée du blocus de Gaza - Larrêt de la politique sioniste de colonisation et doccupation de la Palestine - Le soutien à la résistance du peuple palestinien - La libération de tous les prisonniers palestiniens - Le soutien à la campagne « Boycott Désinvestissement et Sanctions ».
Le départ de la Marche se fera au croisement de lavenue de Stalingrad et du boulevard du Midi (statue mégaphone) à 13h30, et nous achèverons cette marche sur la Place de l Albertine vers 15h30. La Marche rejoindra en fin de parcours la Veillée commémorative sur la Place de la Monnaie, à partir de 16h00.
Nous lançons un appel à tous et toutes : citoyens, mouvements sociaux, mouvements syndicaux, ONG, comités de solidarité, représentants politiques à manifester avec nous, massivement, le 27 décembre 2009 à Bruxelles.
Premiers signataires :
MOUVEMENT CITOYEN PALESTINE, COFECI (coordination des femmes citoyenne), intal, VPK (Vlaams Palestinakomitee), ABP, GPOS (Groupe Proche Orient Santé), CODIP vzw, MCP (Mouvement chrétien pour la paix), Comac Quartiers, Vrede vzw, EGALITE, LCR, PTB, ...
Editeur responsable : Saïdi Nordine. 32, rue de Sébastopol 1070 Bruxelles
Yechouroun Judaïsme Contre Sionisme est cosignataire !
L’APRÈS-GAZA : Soyez confiants, mais craignez le pire !
LA LIBÉRATION DE LA PALESTINE EST INSÉPARABLE DE LA LUTTE CONTRE LES RÉGIMES ARABES (vendus à l’impérialisme américain et collabos de l’entité sioniste)