Il faudrait pour bien faire commencer un Journal comme Anne Frank ; c'est alors remarquer que peut importe ce que vous écrivez la société continue à tourner vers un destin malsain. J'ai plus ma vieille bagnole et le garagiste m'a arrangé de minimum 1500 euro. Puisque on arrive même plus au niveau de la lettre de lecteur dans un journal j'en fait part à des adresses email, mais les gens sont submergés et n'ont plus le temps à rien. Une seule réaction d'anarchiste (la 'taupe'), qui bien entendu profite à sa manière, et veut encore plus nous enfoncer : who cares? Et en effet, on s'en fout. Un Alexandre le Bienheureux ici on le zigouille. Ce qui est devenu une habitude ici c'est de faire fonctionner à partir de 5h30 ou 6 heures du matin une camionnette nettoyeuse qui passe et repasse (rue Bossaert) en plein vacarme. Ensuite vacarme à cause de moteurs qui soufflent les feuilles des arbres, cloches de l'église et plusieurs alarmes qui se déclenchent sans raisons valables. Ils sont bien entendu sous ordres, mais malgré les plaintes depuis des années, le bourgmestre (populiste) serait impuissant malgré gestion faut-il le dire. Où on se demande pourquoi pas la commune utilise des véhicules et/ou moteurs plus écologiques en utilisant par exemple l'énergie électrique moins bruyante. Voilà donc une matinée "paisible" à la Basilique de Koekelberg quand les riches sont au calme. Et le lendemain c'est pas encore fini ce vacarme car cela recommence. Voilà leurs petites habitudes pour bien prouver qu'ils travaillent, eux, servant certainement à quelque chose, eux, et comme tous les jours ceux qui sont bloqués dans les tunnels pendant heures de pointes ne réagissent à rien puisque pavloviens ; sauf si vous êtes sur leurs chemins alors là ils vous écrasent. Tous les jours de la semaine. Et bien entendu les sirènes. Ce matin à 6h50, mais ce qui est bizarre pour cette seule fois-ci à ce jour ce n'était pas la police ni ces infernales ambulances jaunes privées, mais des vieilles voitures dites 'normales' sauf qu'ils ont lumières et sirènes. Il y eu ce matin sept voitures comme cela sortant des tunnels pour passer sous vacarme de sirènes américaines rue Bossaert à toute vitesse. Si il y en a un(e) qui tombe ou se révèle être quelqu'un à ne pas s'en foutre dans ce système on vient directement le ou la prendre avec des sirènes aussi et puis voilà, tout continue dans un rythme inlassable, infernal. C'est dans les médias que l'on parle alors de grèves et de manifs pour justice sociale, mais là aussi on a l'impression tout calculé à l'avance, et malgré ce 'désordre' dans l'ordre par habitudes presque annuelles, tout continue se limitant dans la fourmilière à des modèles (trop) simples dans l'équation autorisée. Normalement ils sont alors tellement fatigués qu'il y aurait les vacances, les weekend et les soirées pour s'essouffler voir dormir. Mais ça aussi c'est interdit ici. Même lettres vers police n'y ont rien changé: le Franquiste suit son rythme lui aussi habituel. La nuit du samedi au dimanche monsieur se délasse avec sa musique espagnole débile et sa télé. Le dimanche après-midi il recommence ; c'est lui qui décide aussi de taper dans les murs matins et nuits. Est-ce franc-maçonnique peut-être? Non, aucunement et non seulement parce que ces gens ne s'intéressent en rien à l'art et la civilisation, mais parce que en plus ils s'expriment comme les chiens, en aboyant. Les flics sont au courant, mais il continue ce dont nous devrions pas oser faire dans son pays, certainement sous Franco, son idole ou on nous expulse parce que pas de consensus à la Belge. Mais la propriétaire l'apprécie puisqu'elle va régulièrement en vacances de luxe en Espagne. Mais malgré l'enfer ici, dynamique politique et syndicale à la télé, voire fixation sur une seule Langue ou culture dans leurs médias (et universités), le féodalisme continue puisque les riches sont de plus en plus riches, mais vous ne trouverez alors aucuns ici qui se solidarisent si ce n'est la frustration méchante dans leur église (et sa radio). Mais depuis que je vis quinze ans dans une boulangerie juste à côté, ils n'ont pas eu UN seul dimanche sans pain, sauf moi. Alors où est le problème concernant impacte de quoi que se soit je vous le demande. Les intellectuels dans leur fauteuil de chômeurs devant internet? Ah oui, il y a tout de même quelque chose d'étrange. Je cite Shakespeare sur Facebook du rédacteur du journal "socialiste" flamand concernant une servante qui rentre et des élèves dans "The taming of the shrew" puisqu'il s'agissait chez eux de trouver le type de caractère pour manager consentant dans leur système. Pour ceux qui connaissent l'anglais il s'agit bien entendu de l'apprivoisement d'une femme hargneuse, mais shrew veut aussi dire une souris de campagne. Deux jours après je vois une souris aux gros ventre ayant des difficultés de bouger devant la porte (de la boulangerie). Hasard? Il y a bien entendu une question de génération: ceux qui ont réussit (la ou les maisons) n'ont ni vingt ans ni trente ans parce que c'est plus possible maintenant vu les prix ou c'est du brol. Vous remarquerez ainsi une 'gestion' (sous circuit fermé) de leurs finances catholiques où les médias font parties inhérentes de la 'dynamique' nationaliste, mais ce nationalisme (aussi dans leurs banques) a prouvé que cela ne fonctionne pas comme ça devrait si ce n'est accentuer l'exploitation. C'est ainsi alors ces fonctionnaires du Marché Commun et de la radio télévision belge terminent leurs carrières avec une maison qui vaut soit disant maintenant 1 000 000 de euro. Là où il y a vingt ans c'était entre 1 et 10 millions de francs belges ou environ. Mais il y a les coulisses des imbéciles. C'est pas comme Michel Drucker qui mentionne dans son livre leurs mauvais caractères, mais on voit la belle présentatrice RTBF prenant 'son pied' toute moite en dansant avec un mâle, faisant mouiller les lesbiennes de service, après avoir fait empocher des millions pour les malades et handicapés (cap048, 11.11.11, etc.) par le biais de ces mêmes médias (télé, radio, etc.) mais ô problème: si vous êtes malade ou handicapé (sans carte de parti catholique) vous ne recevrez pas un cent. Voilà la réalité. Mais c'est tout comme l'époque où le kapo sévissait, ou la période de ces six millions de juifs dilapidés : faites en mention maintenant et c'est devenu tellement banal qu'il n'y a plus un(e) seule qui réagit. Si, me répète un ami: ils feront la file à la police pour donner les noms et adresses des juifs pour les mener dans l'ordre en (nouveaux) camps de concentration. Et pour légitimer tout ceci dans la trivialité, envers ces classes dominées, il y a bien entendu l'ordre établi, mais il faut aussi des distinctions (hiérarchies) pour les faire fonctionner sans se poser trop de questions après la télé. Dans l'atomisation il y eu bien entendu ce sens commun sous la bannière d'une Nation, Parti, Eglise, Secte, Firme et/ou multinationale. Rien de neuf puisque cela fonctionne, avec des masses (d'argent) drainées -aussi par habitudes- en jeans au concert rock, football ou église le dimanche pour savoir recommencer le mouvement perpétuel (et entropique!) pendant la semaine dite saine, mais où tout simplement nous sommes en train comme simples esclaves ou otages de colmater la porcelaine fendue. C'est comme la tour Eiffel: le jour où vous avez terminé de la peindre contre la rouille en haut, il faut tout recommencer en bas. La vie est belle, et continue donc. Amen. Ceci ne dit rien de internet bien entendu, quand on voit le fils De Croo et Onkelinkx en politiciens belges sous crash après 5000 'amis' sur Facebook, là où il y en a 18 000 sur le Facebook 'Algérie vs Maroc' (au moins 500 'amis' par jours qui s'y ajoutent) quand vous après deux ans vous réunissez quelques dizaines d'âmes perdues. Bien entendu à ce rythme là les nouvelles pyramides seront bâtis sur un an, et pas neuf. Et nous voilà donc sans doute dans la sphère de l'ésotérisme de magiciens martiens puisque tous ces problèmes sont apparemment étrangers à ce peuple bien soumis. Mais puisque la pauvreté est bien là, et que donc nous vivons à nouveau entre deux guerres, pensons donc au "calme" avant la tempête, qui ne sera plus vraiment une tempête puisqu'il ne s'agit plus de calme. En effet, logique ou anti logique de Wittgenstein.
