On remarque petit à petit la rentrée s'annoncer. Certaines petite bougroises bronzées ont tellement dépensées en vacances qu'elles sont maintenant femme de ménage pour commerçants, eux simples petites gens ayant maisons (et Mercedess) au pluriel. Les factures s'annoncent aussi comme chaque années au mois de septembre: Belgacom, etc..Le pouvoir 'chrétien' continuant un ostracisme caché, inavoué, et prend le pognon des pauvres. L'agence bancaire Fortis, est fermée maintenant, sauf sur rendez-vous et un type pour la sécurité se place donc à l'entrée -surtout maintenant après les vacances où ils leur manquent le fric- dans un endroit (où on retire de l'argent) qui est plus petit qu'une cellule de prison. Il me fait un clin d'oeil en m'ouvrant la porte. J'en ai rien à foutre de ce clin d'oeil, ayant moi exactement encore 60 euro pour terminer mon mois, sans aucunes vacances (ni treizième mois). La rentrée littéraire c'est pas pour les gens d'ici (Bruxelles) ; ils ont d'autres choses à faire, et ni l'art ni la littérature ne les intéressent, ce qui arrange tout le monde, même et surtout quand on les retrouve pour les plus 'comme il faut' d'entre eux à l'exposition de léglise concernant (faux) Da Vinci (sans code) et Magritte. Voilà Bruxelles. Je ne sais si ils sont petits bourgeois, mais sont ils donc pour la plupart prétentieux car alors se sentant 'scientifiques', et au dessus du plèbe dont ils font partie quand ils font la file pour ces Expositions. Un artiste qui crève à côté ils ne connaissent pas, et ne veulent pas le connaître. On ne sait ce qu'ils pensent quand ils pensent (?).Mais connaissez-vous Lautréamont, en fait Dotremont, me demande un journaliste communiste pour situer une dite 'culture' érudite de ceux qui fonctionneraient autrement, tout en passant comme les autres la photo de Cohn Bendit & du pape comme pour ce dernier, représentant des porcs. J'en ai marre moi de devoir donner l'impression de connaître, de savoir, mais sait-il lui, le journaliste, que Dotremont parle de l'intelligence "plate" des partis communistes tirant (parmis les tyrans?) sa clairvoyance et son efficacité de la faiblesse de ses moyens. Existent-ils encore? Oui, mais hors médias bourgeois, seconde intelligence "prouve-tout", n'ayant d'éfficacité qu'au détriment de sa clairvoyance, écrit Dotremont, car jouant sur trop de plans, dispose de trop de registres,... L'Homme des apparences reçoit donc de belles lettres de gens de lois pour lesquelles ils les remercie chaleureusement. Permettez-moi toute fois de réagir pour deux choses, écrit cet être des apparences se nommant Antonin. L'une est bien entendu la mention 'd'importants problèmes psychiatriques' ; ce dont ils pouvaient bien entendu mentionner puisque c'est la vérité de notre Antonin, mais cet état de chose n'a rien à voir d'une manière directe avec (argumentation de) la grande affaire en Justice. Cela pourrait donc bien leur être moins favorable qu'ils ne le pensaient dans la grande argumentation, car imaginez la contre partie faisant valoir le fait que Antonin soit en effet 'fou', et que donc il ne faut croire en rien sa situation physique dû à un accident téléguidé voulant le tuer lui, car trop dérangeant concernant impôts juste avant les élections. Antonin se réfère à cette autre Grande Affaire Juridique, dont personne ne devrait être au courant. Son beau-frère manipule une petite vieille, la meilleure amie de sa mère, lui prend ainsi derrière son dos et celui de sa mère 90% d'un héritage. Ils signent aveuglément tout, croyant en la bonté & générosité absolue, espérant s'arranger entre eux bien après, mais pour les derniers 24 000 euro de taxes rendues (qui son maintenant bloqué apparemment à tout jamais) Antonin ose demander une lettre d'explication et on lui "répond" rien d'autre : c'est la loi. S'en est suivi de sa part des 'gesticulations' pas possible: on ne sait combien de lettres vers eux et leur notaire, bien entendu à sa manière, et ce dont nos minables ont été capables c'est exactement rien, comme les vrais petits malins. Après, ils étaient prêts de tout donner ses lettres à leur avocat (que Antonin et sa mère avaient payés) avec une seule 'démarche': Antonin est un cas psychiatrique. Sachez en effet Antonin avait été très mal dans les années '80 pour multiples raisons. Vivre ensuite au dessus d'un type aboyeur jouant le SS avec deux chiens allemands tout aussi aboyeurs ne l'avait aucunement aidé dans sa guérison, bien au contraire. En plus le kapo SS gagne aussi un procès contre Antonin sur base de mensonges surréalistes sur toute la ligne pour aussi avoir son argent, mais il n'en a pas. Maintenant, aussi après déménagement et aide intelligente (thérapeutique?) Antonin n'a plus vu un psychiatre depuis plus de quinze ans, et il n'est plus rentré en pyschiatrie depuis près de vingt ans. Certes c'est comme on dirait un farfelu artiste poète, mais il ose espérer les hommes de lois de la Rationalité comprendre le tendre anarchiste sommeillant en lui. Il a beaucoup rit à son dernier rendez-vous auprès d'un homme de loi, non pas par ce que il ne souffre plus, mais parce que il remarque des universitaires tant bien que mal heureux, des belles filles dans leurs bureaux, et sans doute même des problèmes professionnels, ce qui est un luxe. Lui, a été un peu trop isolé de tout cela, mais c'est la vie.
Le deuxième élément dont il voulait parler, c'est le fait de dire ce dont fait remarquer la contre partie: son état serait stable, sans plus aucuns changements dans son état physique déplorable. C'est ce dont il cru lui dans le mal être après cet "accident": il s'est dit comptons un mois et malgré la cicatrice on en parle plus. C'est bien entendu se tromper car son bras ne s'est en rien amélioré, tout comme son oeil et il lui arrive encore avoir fameusement mal à la tête au niveau de la cicatrice. Il leur rappelle l'os atteint. Voilà ce dont il voulait encore leur mentionner. Il croit si il n'avait pas ce statut 'psy' il ne leur aurait pas tant envoyer de lettres ni de poèmes, mais osons croire en leur ouverture d'esprit, et un peu de temps pour l'art et la poésie dans tout leur timing professionnel. La défense de l'homme de lois le concernant se positionne dans une éthique la plus formelle, voir même objective: ce n'est pas par ce que il serait 'fou', aux problèmes psychiatriques donc, qu'il faut le déshériter, le voler ou nier son état physique douloureux, humiliant dû à ce chauffard assassin sous ordres de commanditaires du pouvoir. Une amie à lui a eu les mêmes symptômes 'psy', et a un statut d'invalidité avec 800 euro par mois dû à cela, donnant presque tout à son loyer Bruxellois. Douce et "sainte" Belgique... Son psychiatre lui a dit à elle textuellement: "Madame, vous êtes trop normale pour cette société".
