En tout apparence chaque chose a sa place dans ce bric à braque d'une géométrie à quatre sous pour certains, à plusieurs millions de billets sur papier recyclé pour d'autres, dans le légo de ce labyrinthe des Temps post-modernes. On se pose la question que peut être alors avoir des pensées, sans trop fantasmer sur les pensées dites impures. Depuis il s'agit de subir les spasmes incohérents de cette cohorte nerveuse qui s'est tout approprié, prenant toute la place en demandant comme les poupées de Steve Jobs: et c'est quoi ceci, et ça c'est quoi. La poupée génie milliardaire en dollars et ordinateur réponds: ceci est un iphone, cela est un vagin et encore cela est un sceau Apple. Il n'y a alors rien de plus plat que ce néant là, tout comme les yeux dangereux de cette douce éphèbe restée elle aussi célibataire, mais faisant bouger la queux... de son chien qui ronfle après avoir renifler son slip. Et votre mari? J'en ai pas ou plus. Je rentre seule, je me masturbe seule, je fais mes courses seule, je mets mes poubelles dehors seul, je mange et prend le sel seule, etc.. C'est beaucoup de seule tout cela, lui demande quelconque âme soeur. Et bien oui, dit-elle. Tout ce que j'ai en satisfactions dans ma vie c'est de regarder les choses des autres, dans ces autres, au loin de mon moi-même à chaque fois. Plus de promiscuité, si ce n'est celle des voisins et des ouvriers. Mais pourquoi vous ne me parlez pas, elle demande. Et bien c'est par ce qu'il y eu trop d'Allemandes, et puis les plus moches ne se laissent pas draguer c'est pour cela que quand il y a une belle toute sympathique comme vous on ne lui parle plus. Ce qui nous a rendus encore plus renfermés sur nous-mêmes dans nos singeries habituelles devant le Miroir du soir. Vous aussi devant écran? Non, dit elle, devant iphone. C'est plus petit, plus vite. Oui c'est ça, c'est plus petit. Après il se rappela ses yeux lumineux, mais dangereux. Dans cette grande ville, la fin (?) du labyrinthe: ses yeux, rien que ses yeux mielleux. Le lendemain il voulait la revoir, mais elle était partie, à tout jamais. Il déambula dans toutes les rues, mais en vain. Il se mit à compter tous les recoins de la zone où elle serait susceptible de passer, comme peut le faire un flic, mais n'échappa à une chose: la fatigue. Un homme au chapeau sombre habillé tout en noir avec une tête de mort sur son T-shirt tout noir lui rappela son lit, mais que le territoire d'Auschwitz en fait ce n'était pas une gare, mais environs 4662 hectares. C'est beaucoup plus vaste que ses promenades en ville dit il, mais où ils ont des iphone maintenant. Depuis en tout exemple il ne lui est plus possible d'acheter cassettes pour son ancienne caméra puisque maintenant vous avez des vidéos qui sont pas plus épaisses que deux millimètres sur iphone. Deux millimètres ou le monde entier par rapport à 4662 hectares c'est peu dire vous allez me dire. Mais voilà la vie, où tout comme Charlie Chaplin dans son film tous les vrais intellectuels de ce pays sont... des invalides officialisés, ce qui devrait faire rire tout le monde pour bien faire. Quand l'extrême droite fulmine, et prend tout l'argent dans les mêmes banques que ces invalides. C'est la loi du roi & de la démocratie disent ils: la majorité (friquée) décide & dicte. Ils ne sont pas majoritaires, mais puisque la majorité (silencieuse) est absente chacun devant un iphone qu'est que vous voulez que j'y fasse, dit-il aussi. Et puis on dort. Et puis on se réveille, etc.. Les conditions sont telles que chacun a son cube: les riches ont les paraboles, ce qui les libèrent du nationalisme débile des apôtres du pouvoir, là où ils ont trouvés et payés ce cube mais ne se cachent tout en étant cachés (Wittgenstein). Et puis le temps passe, abîme et fatigue tellement qu'on doit penser à la mort. C'est cyclique. Il y eu alors le Panthéon des Pathologies mimé par Poincaré suite à la boite de Pandor de Mozart & C°, puisque imbibés d'une certaine culture pure soie noire tout de même: Gogol, Wittgenstein, Egon Schiele, Antonin Artaud, Divan Lacan,..., ou LES TROUBLES MENTAUX, incompréhensibles (?) mais salutaires à toute civilité ou créativité d'après Rilke ou Freud en tous les cas. Mais ces noms maintenant on les retrouve sur des petits carrés plus petits que des timbres Post sur iphone. Dans la déduction et la numérisation ils séduisent ou pas, mais tout ceci est calculé par les 'scientifiques' au service de la pub, ce qui n'est pas encore les docteurs au service de banques-assurances. Le déterminisme est absolu, et ne connait dans la rigueur aucuns soubresauts ni erreurs, si ce n'est que la vraie folle, laide et méchante est au numéro 42, quand cela devrait être 411, mais c'est alors qu'il faut revoir le légo et cela prend du temps, qui passe et repasse dans la déconstruction, d'un Derrida oublié. Le Temps n'est plus transcendant mais (di)visible. Rien de plus risible qui scintille, et ça continue comme dans Pendule Crédule de Batman. Après on dort, et puis on se réveille. Cela devient monotone, voire claustrophobe parce qu'il dit lui ne pas être un numéro. On lui réponds style X-files que le numéro de dossier est différent que celui de sa carte grise, et c'est ça la démocratie. Ah bon, dit il. Il regarde derrière lui: il y a une file. Le bureaucrate nerveux de service derrière la vitre crie: au suivant! Cela durait plus d'un moment pour qu'il soit conscient qu'il devait partir, ce qu'il fît, mais c'est bizarre les gens dans l'ordre ne poussaient pas et ne semblaient pas impatients. Cette affaire de déportations et de contrôles était devenue de la routine. Tout comme le vacarme des grandes villes envers tous ces pauvres gens: tout comme les files et les putes, pardon pubs: de la routine. L'ordre d'un attentat fut pourtant donné hors routines de Berlin ; mais il fut déjoué entre autre en recevant le Führer en personne au Palais Royal, infesté par les cafards et une mort lente mais certaine vu le niveau intellectuel abominable de cette Cour, cette fois-ci bel et bien de Untermenschen. Il n'y eu plus que le réseau néonazis qui ne fut anéanti dans l'Eglise même, et c'est ainsi le micmac dans le brique à braque n'explosa jamais dans ses bras ni à la Cour au nom de cette 'amour' pour toujours, mais pas tous les jours à cause des remous mous des fous trop doux. C'est eux les bisous sans sous, personne d'autre. C'est pour cela qu'il court maintenant, pleure quand ils rient, dort quand ils font leurs guerres et/ou leurs fêtes. Certes alors c'est à nous de rester plèbe, mais n'est-ce pas dans son 'Idéologie allemande' que nos deux hôtes nous disaient pas Fichte, mais une révolution contre cet existant, où l'Etat paye et le roi jamais moi serait absolu. Mais il y a plusieurs mais: nous sommes au 21 ième siècle pour ces chrétiens ; ce qui nous donnerait plus vraiment des pamphlets, mais une comédie grotesque où tout le monde rie, sauf moi. Il ne s'agirait alors de ne plus mettre le lardon dans un cordon de flics et gendarmes envers déserteurs ou hystériques hybrides possibles puisque l'armée rouge n'existe plus. Mais attention, l'armée noire non plus, sauf au pays des arbres à abattre. Valorisons alors le ciel et ses inconnus pour nous préserver de destruction (Verwüsting) dans un déterminisme douteux, où tout est calculé à l'avance, même moi. Mais attention: chez un Schizophrène Officiel il y aurait plusieurs Moi, si ce n'est un non Moi (Es). Yessoth. Dans une société de propriétés sacrées ou privées (fiction, pensées 'pures', idée fixe,...) où "les modes d'appropriation contenus dans les équations et les anti-thèses ne s'accomplissent définitivement que dans l'"Association" (...)", c'est ce qu'écrit Marx et Engels dans cette 'Idéologie'. C'est faire un pas en arrière et un bond en avant de cinq mille ans au nom de l'entropie, ou tout simplement être ce cul-de-sac de civilisation, ce qui n'a aucunement engendré des hommes libres. Aucunement. Voilà le constat de ce contrat dans le paradoxe, en toute routine de déprime sous un ciel éternellement gris, sauf exception faite et que se soit l'ombre d'une étoile blanche (Bliz?) sur un ciel bleu mythique sur écrans pour daltoniens interposés en une fraction de nuage d'anges nus.