Et si nous nous étions trompés? Je ne suis au stade anal sans doute, ni au stade du football de masse, mais au stade de Wikipédia ou pas Wikipédia. Et pourquoi? On remarque faire un Blog qui nous interdit les lettres en couleur maintenant, ainsi de transmettre vers l'extérieur adresses web, nous matraque par je ne sais combien de pub connes, et nous paye pas. Où sont les droits d'auteur de Wikipédia on ne sait pas. Mais bizarre aussi le Führer de l'extrême droite flamingante au allentours d'Anvers a fait exactement toutes les mêmes étappes, donc aussi rubrique 'intérêt' sur Facebook, dédicasse ses livres (sous caméras télé) quand les nôtres sont cachés ou invendables, arrive à dix fois plus par mois payé par l'Etat (flamand) ainsi bien entendu grande maison dans le résidentiels aux enfants 'comme il faut' quand nous on n'en a plus fait parce que plus de place ni de fric. Mais après eux on nous rappelle l'éthique de Spinoza, corps en mouvement ou pas. Mais ce qui dans l'exactitude même de ses gestes au quotidien n'est pas identique c'est que le Wikipédia du Führer donne une biographie du père ayant travaillé dans usine de munition allemande pendant la guerre et ce qui est différent c'est que le Führer a 10 000 amis qui aiment son Wikipédia et autres astuces publicitaires sur Facebook, nous trois. Tout comme lui a dix mille euro par mois de l'Etat (flamand?) sur son compte en banque dans la même banque que l'invalide de la mutuel socialiste, fils d'ancien combattant déporté belge de cette guerre, mais lui a dix fois moins par mois et paye lourds loyers et impôts à cet Etat (flamand?). S'en suit un Etat tout aussi flamand où le catholicisme et nationalisme sont tellement prépondérants que les médias proposent ces gens aux éléctions, et personne d'autre. L'art Allemand alors dans leurs musées d'Etat (catholique) si ce n'est même là où le Comité Central du Parti Communiste (devenu interdit) siégeait, mais maintenant il n'y a au même endroit plus que un type (qui a le Sida), cet artiste Allemand et personne d'autre. La socialiste tout comme le flic sont invités, mais c'est pour déclarer Bruxelles flamand, historiquement argumentée aussi par ce catholique de ce qu'ils appellent maintenant le ou la NVA (au pouvoir) qui siège juste à côté du Führer de l'extrème droite, et en fait donc bel et bien partie. Ils ont leurs curés (payés par les impôts des invalides socialistes et libéraux anciens combattants) et ces curés sont violeurs mais recoivent eux pas 10 000 euro par mois de l'Etat (flamand?), mais 3500 euros mais eux ne payent ni impôts ni loyers ce dont l'invalide ou pensionné doit payer avec trois fois moins. Mais tous sont devant internet quand ils ne sont pas dans les files ou crevé le soir dans leur divan pseudo Lacan télé allumée. Là où ils empochent nous donnons, et sous ce 'consumisme' béat on remarque que bâtir une belle maison avec matériaux nobles comme avant est devenu impossible tout comme vendre ou acheter une belle oeuvre d'art, bon bouquin ou bon journal (non catholique). Au nom du 'consumisme' vous remarquerez dans la grande surface derrière la Basilique même plus une seule bouteille de bon vin ni une bouteille de whisky (malt) 12 Years Old puisque trop cher pour le budget des fidèles. Mais les sirènes (jour et nuit) fonctionnent. Avant, comme disait Roland Barthes, nous étions comme des enfants à attendre notre mère dans un bar ou café, mais cela c'est bien fini aussi. Il nous resterait la stratégie du Franquiste qui nous ferait fuir en Espagne, mais certes pas en Andalousie sous soleil car trop cher, en nous dévalisant sans valises toutes nos oeuvres d'art à nous, et si on veut on nous injecte le Sida sans problèmes. Sous médecins (catholiques) du type Mengele qui après vous avoir diagnostiqué comme schizophrène vous propose la stérilisation sinon c'est le cancer d'office. Même une pizza nous est interdite: pour du carton vous payez 15 euro. Là où on vous montre à la télé 'Europe' une exposition de peintures en Allemagne de faux... Picasso, passant pour vrai pour tout le monde. Et ce qui a changé c'est que tous les pays occupés et soumis à la propagande totalitaire du troisième Reich ont connu ce recours massif aux radios étrangères, sans rumeurs et sans récits enjolivés mais maintenant c'est plus possible. La radio belge n'est que catholique et en général vous n'avez plus -(à côté du flamand catholique)- que une seule langue étrangère sur FM en Belgique à ce jour et c'est l'Allemand. Actuellement vous avez chez eux (extrême droite flamande catholique) des 'spécialistes' en 'psychologie' et hypnose. Le rêve le plus sensé du dictateur c'est d'avoir des êtres dociles et soumis ayant des réactions (connues à l'avance) que l'on commande en dehors d'eux-mêmes puisque plus personne n'est responsables de l'abjecte. L'action du conducteur de la foule alors est presque toujours multipliée par une cohorte de partisans organisés sous drapeaux néonazis, et ils aiment les masses puisque individuellement vous êtes subversif à cet Etat (catholique) si vous ne vous pliez pas aux règles dictées à la masse exploitée (qui tourne en rond à l'entoure de l'église) par des 'intellectuels' derrière les rideaux gris ne citant plus Nietzsche mais le philosophe Kant, pour ne pas dire Descartes. Leurs flics font alors une fixation tout aussi freudienne sur les Marocains et leurs joins, mais il n'y en a plus. Et c'est ainsi madame Bloomberg aussi préfère un musclé au crâne rasé plutôt que nous, les fous. Allez donc savoir pourquoi? Et c'est ainsi madame Lévi s'est tapé le Sida car plus protégée du tout, madame Annie Ball a le cancer et aussi madame Machin n'aime plus que les religions maintenant. Allez donc savoir qui a trompé qui dans la grande histoire.
Il faudrait pour bien faire commencer un Journal comme Anne Frank ; c'est alors remarquer que peut importe ce que vous écrivez la société continue à tourner vers un destin malsain. J'ai plus ma vieille bagnole et le garagiste m'a arrangé de minimum 1500 euro. Puisque on arrive même plus au niveau de la lettre de lecteur dans un journal j'en fait part à des adresses email, mais les gens sont submergés et n'ont plus le temps à rien. Une seule réaction d'anarchiste (la 'taupe'), qui bien entendu profite à sa manière, et veut encore plus nous enfoncer : who cares? Et en effet, on s'en fout. Un Alexandre le Bienheureux ici on le zigouille. Ce qui est devenu une habitude ici c'est de faire fonctionner à partir de 5h30 ou 6 heures du matin une camionnette nettoyeuse qui passe et repasse (rue Bossaert) en plein vacarme. Ensuite vacarme à cause de moteurs qui soufflent les feuilles des arbres, cloches de l'église et plusieurs alarmes qui se déclenchent sans raisons valables. Ils sont bien entendu sous ordres, mais malgré les plaintes depuis des années, le bourgmestre (populiste) serait impuissant malgré gestion faut-il le dire. Où on se demande pourquoi pas la commune utilise des véhicules et/ou moteurs plus écologiques en utilisant par exemple l'énergie électrique moins bruyante. Voilà donc une matinée "paisible" à la Basilique de Koekelberg quand les riches sont au calme. Et le lendemain c'est pas encore fini ce vacarme car cela recommence. Voilà leurs petites habitudes pour bien prouver qu'ils travaillent, eux, servant certainement à quelque chose, eux, et comme tous les jours ceux qui sont bloqués dans les tunnels pendant heures de pointes ne réagissent à rien puisque pavloviens ; sauf si vous êtes sur leurs chemins alors là ils vous écrasent. Tous les jours de la semaine. Et bien entendu les sirènes. Ce matin à 6h50, mais ce qui est bizarre pour cette seule fois-ci à ce jour ce n'était pas la police ni ces infernales ambulances jaunes privées, mais des vieilles voitures dites 'normales' sauf qu'ils ont lumières et sirènes. Il y eu ce matin sept voitures comme cela sortant des tunnels pour passer sous vacarme de sirènes américaines rue Bossaert à toute vitesse. Si il y en a un(e) qui tombe ou se révèle être quelqu'un à ne pas s'en foutre dans ce système on vient directement le ou la prendre avec des sirènes aussi et puis voilà, tout continue dans un rythme inlassable, infernal. C'est dans les médias que l'on parle alors de grèves et de manifs pour justice sociale, mais là aussi on a l'impression tout calculé à l'avance, et malgré ce 'désordre' dans l'ordre par habitudes presque annuelles, tout continue se limitant dans la fourmilière à des modèles (trop) simples dans l'équation autorisée. Normalement ils sont alors tellement fatigués qu'il y aurait les vacances, les weekend et les soirées pour s'essouffler voir dormir. Mais ça aussi c'est interdit ici. Même lettres vers police n'y ont rien changé: le Franquiste suit son rythme lui aussi habituel. La nuit du samedi au dimanche monsieur se délasse avec sa musique espagnole débile et sa télé. Le dimanche après-midi il recommence ; c'est lui qui décide aussi de taper dans les murs matins et nuits. Est-ce franc-maçonnique peut-être? Non, aucunement et non seulement parce que ces gens ne s'intéressent en rien à l'art et la civilisation, mais parce que en plus ils s'expriment comme les chiens, en aboyant. Les flics sont au courant, mais il continue ce dont nous devrions pas oser faire dans son pays, certainement sous Franco, son idole ou on nous expulse parce que pas de consensus à la Belge. Mais la propriétaire l'apprécie puisqu'elle va régulièrement en vacances de luxe en Espagne. Mais malgré l'enfer ici, dynamique politique et syndicale à la télé, voire fixation sur une seule Langue ou culture dans leurs médias (et universités), le féodalisme continue puisque les riches sont de plus en plus riches, mais vous ne trouverez alors aucuns ici qui se solidarisent si ce n'est la frustration méchante dans leur église (et sa radio). Mais depuis que je vis quinze ans dans une boulangerie juste à côté, ils n'ont pas eu UN seul dimanche sans pain, sauf moi. Alors où est le problème concernant impacte de quoi que se soit je vous le demande. Les intellectuels dans leur fauteuil de chômeurs devant internet? Ah oui, il y a tout de même quelque chose d'étrange. Je cite Shakespeare sur Facebook du rédacteur du journal "socialiste" flamand concernant une servante qui rentre et des élèves dans "The taming of the shrew" puisqu'il s'agissait chez eux de trouver le type de caractère pour manager consentant dans leur système. Pour ceux qui connaissent l'anglais il s'agit bien entendu de l'apprivoisement d'une femme hargneuse, mais shrew veut aussi dire une souris de campagne. Deux jours après je vois une souris aux gros ventre ayant des difficultés de bouger devant la porte (de la boulangerie). Hasard? Il y a bien entendu une question de génération: ceux qui ont réussit (la ou les maisons) n'ont ni vingt ans ni trente ans parce que c'est plus possible maintenant vu les prix ou c'est du brol. Vous remarquerez ainsi une 'gestion' (sous circuit fermé) de leurs finances catholiques où les médias font parties inhérentes de la 'dynamique' nationaliste, mais ce nationalisme (aussi dans leurs banques) a prouvé que cela ne fonctionne pas comme ça devrait si ce n'est accentuer l'exploitation. C'est ainsi alors ces fonctionnaires du Marché Commun et de la radio télévision belge terminent leurs carrières avec une maison qui vaut soit disant maintenant 1 000 000 de euro. Là où il y a vingt ans c'était entre 1 et 10 millions de francs belges ou environ. Mais il y a les coulisses des imbéciles. C'est pas comme Michel Drucker qui mentionne dans son livre leurs mauvais caractères, mais on voit la belle présentatrice RTBF prenant 'son pied' toute moite en dansant avec un mâle, faisant mouiller les lesbiennes de service, après avoir fait empocher des millions pour les malades et handicapés (cap048, 11.11.11, etc.) par le biais de ces mêmes médias (télé, radio, etc.) mais ô problème: si vous êtes malade ou handicapé (sans carte de parti catholique) vous ne recevrez pas un cent. Voilà la réalité. Mais c'est tout comme l'époque où le kapo sévissait, ou la période de ces six millions de juifs dilapidés : faites en mention maintenant et c'est devenu tellement banal qu'il n'y a plus un(e) seule qui réagit. Si, me répète un ami: ils feront la file à la police pour donner les noms et adresses des juifs pour les mener dans l'ordre en (nouveaux) camps de concentration. Et pour légitimer tout ceci dans la trivialité, envers ces classes dominées, il y a bien entendu l'ordre établi, mais il faut aussi des distinctions (hiérarchies) pour les faire fonctionner sans se poser trop de questions après la télé. Dans l'atomisation il y eu bien entendu ce sens commun sous la bannière d'une Nation, Parti, Eglise, Secte, Firme et/ou multinationale. Rien de neuf puisque cela fonctionne, avec des masses (d'argent) drainées -aussi par habitudes- en jeans au concert rock, football ou église le dimanche pour savoir recommencer le mouvement perpétuel (et entropique!) pendant la semaine dite saine, mais où tout simplement nous sommes en train comme simples esclaves ou otages de colmater la porcelaine fendue. C'est comme la tour Eiffel: le jour où vous avez terminé de la peindre contre la rouille en haut, il faut tout recommencer en bas. La vie est belle, et continue donc. Amen. Ceci ne dit rien de internet bien entendu, quand on voit le fils De Croo et Onkelinkx en politiciens belges sous crash après 5000 'amis' sur Facebook, là où il y en a 18 000 sur le Facebook 'Algérie vs Maroc' (au moins 500 'amis' par jours qui s'y ajoutent) quand vous après deux ans vous réunissez quelques dizaines d'âmes perdues. Bien entendu à ce rythme là les nouvelles pyramides seront bâtis sur un an, et pas neuf. Et nous voilà donc sans doute dans la sphère de l'ésotérisme de magiciens martiens puisque tous ces problèmes sont apparemment étrangers à ce peuple bien soumis. Mais puisque la pauvreté est bien là, et que donc nous vivons à nouveau entre deux guerres, pensons donc au "calme" avant la tempête, qui ne sera plus vraiment une tempête puisqu'il ne s'agit plus de calme. En effet, logique ou anti logique de Wittgenstein.
C'est sans chauffage en ce début d'hivers, et sous bruit venant d'une brute à côté de ma chambre que je commence d'écrire à quatre heures du matin. Impossible de dormir à côté de un de ces innombrables barbares. Certes dans la folie je n'achète plus de journaux puisque pas assez de fric pour vivre normalement comme les autres, mais j'ai eu comme je l'ai écrit antérieurement 'Le Monde', pas de ce weekend, mais du premier weekend du mois en mains. Comme je l'ai déjà mentionné il y eu un article d'un professeur en art contemporain de Paris au titre 'sanglant': 'Malgré le scandale, l'art continue'. Si on fait donc bien la synthèse du texte le type dit les gens n'ayant aucunement de l'éducation, et c'est ainsi tout comme lire il faudrait leur apprendre à regarder, stipule le professeur. Dans le même journal en dernière page la pub pour parfum avec Charlotte Gainsbourg en négligé. Parfum Parisien impayable! Ne faudrait-il pas dégueuler quand on lit la dernière revue 'Regards'? En page 6: 'Le socialisme des imbéciles' ensuite les pubs de banques, Mercedes et une agence immobilière responsable de la dévaluation de notre argent qui vend une maison au Sablon exactement 1.250.000 euro. Au même endroit vous ne réussirez pas de recevoir 100 euro pour une oeuvre d'art ou 2 euro pour un livre. Mais le même 'milieu' génère... un service social... juif. Quand un invalide se présente mentionnant ne plus savoir suivre, preuves à l'appui, aussi concernant assurances à payer qu'ils lui ont obligatoirement suggéré, on vous répond ne rien donner, aussi ce mois ci, puisque l'invalide a eu 75 euro 'de trop' le mois précédent. N'est-ce pas avec une telle mentalité que nous ne seront jamais riches? Mais forte heureusement tous les maris sont canalisés sur internet (aussi porno) et Facebook. Il faudrait pour bien faire l'analyse sociologique dans ce cul-de-sac de civilisation où tout est devenu tellement ténébreux que ces barbares tournent en rond dans des files de voitures innombrables tous les jours. Et dans tout cela bien entendu une nouvelle agression, cette fois ci à ma nouvelle voiture, puisque en fin de compte les 75 euro du Service le même mois devrait être payé à celui qui a fait le boulot de mettre le DVD de Josy Eisenberg sur internet, mais il n'est pas encore payé. Quelle "merveilleuse" société, où à côté des agences immobilières il y a bien entendu les stades pour foot & musique rock, où on draine les masses (d'argent), et l'Etat qui confirme dans la privatisation, mais c'est alors remarquer dans cette dictature subtile que la critique (saine) envers ce foot ou rock à caviar est interdite. A côté il y a les pigeonnés qui mettent des bombes, mais ils sont manipulés et ne sont même pas des moutons enragés. Comme vous comprendrez: dans un an j'aurai vraiment plus rien, et c'est alors que moi je deviendrai méchant, mais contre qui je me le demande. D'ici là mes dettes envers propriétaire boulangère richissime seront telles qu'elle pourra enfin légalement me foutre à la porte. Mais prendrai-je ma revanche contre un catholique comme dans la fin du film 'Macadam Cowboy'? Peut-être que je devrais me prostituer vu le fait que même et surtout une vie de couple m'est interdite. Mais le problème c'est comme tous: avec l'âge on perd ses plumes. Mais tous ces gens vont mourir comme moi : ceux qui font la file tous les jours sont même déjà morts. Voilà alors la gestion d'ordinateurs de banque (pour la mutuel). Osons le dire: sans eux les petits Belges (certainement les intellectuels) sont perdus, et chez eux c'est bien entendu le tonneau des Danaïdes concernant ce fric, mais je me demande, moi qui ne suit jaloux ni du général ni du sergent, pourquoi certains ont 250 euro par mois (et ils sont plus riches) et d'autres 75 euro. Ce qui n'équivaut même pas à une seule facture à payer. Mais ceux qui ont 250 c'est pour cause de la guerre. Tout comme mon père qui a fait cette guerre et l'a gagnée, et que mes parents ont souffert ; le fils a exactement deux fois moins pour vivre que ce que cet ancien combattant avait de l'Etat en pension. Cela veut donc dire qu'il faudra une nouvelle guerre, j'ai osé dire. Je ne voit plus aucunes autres issues à cette humiliation pécuniaire envers intellectuels abimés. Tout est fait pour qu'il commence à détruire ses oeuvres d'art car plus de place et personne n'en veut. C'est donc une barbarie à masques, même plus à visages humains. J'en terminerai par cette information. Comme j'en ai déjà fait mention indirectement il y a un rabbin (sur Facebook) qui a préconisé les relations sexuelles avec l'ennemi si cela peut aider et sauvegarder l'Etat d'Israël. Cela suscite bien entendu quelques réflexions de conscience du genre: pourquoi se prostituer pour un Etat qui est le produit d'hommes (et de femmes), et non de Dieu? N'oubliant bien entendu pas notre naïf Einstein qui -comme je l'ai déjà cité - préférait bien entendu avoir une conscience plutôt que d'être fonctionnaire militarisé d'Etat. Ensuite, dans l'équation, imaginez alors le produit de cette "union" qui soixante après dans la laideur déciderait de l'octroie de 100 euro aux petits juifs malades et/ou invalides, et comme c'est étrange ne se sentirait même plus obligé de leur jeter ces quelques cacahouètes ou petit susucre aux chiens que ces petits sont devenus. Science fiction? Mais bien entendu il y a... madame Teitelbaum (les riches ou valets des riches?) détestant les gens qui se font passer pour d'autres, mais elle se profile comme Ma Sorcière Bien Aimée sur son Facebook. C'est pas un scandale ça? Dans l'hypocrisie...
Certes il y eu quelque chose qui nous dépasse car trop grandiose dans le sens du cercle : thèse + anti-thèse = synthèse². Voir la dixième vidéo sur mon Blog http://pitteman.eklablog.com/ , celle où l'émission de Josy Eisenberg nous montre cinq de mes oeuvres d'art du livre 'Atelier'. Télévision France 2. Après trois mois, et la soumission de notre petit juif français envers un ancien du Hitler Jugend (lisez le pape et Sarkozy) au nom du pouvoir Tempor elle, le même jour sur internet mon art dans l'émission de Josy Eisenberg Mais techniquement saboté sur ce Blog çi. (La Calotte de Vrij Onderzoek). Voir donc mon Facebook. http://www.unibook.com/nl/Patrick-Pitteman%2C-Hubert-Dethier/Atelier.
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N'y eu t'il lieu de douter des sensations sereines de reines, qui rient de rien et de tout, du rythme lent qui les mèneraient à une fin, toute bien nourrie par le destin entre ses seins. N'y eu t'il de rondeurs qui s'écartent d'un point mort de l'univers vers ses verres de bières au nom de la misère entière. Ne rie de ses gestes lents, tempérés par le mouvement céleste de la lumière, des rondeurs de dormeurs dans la douceur de cette chaleur qui ne meurt, mais s'étale dans cet espace à intention polémique, mais ne rêvasse d'un monde meilleur, ni respire le doute mais aussi l'espoir de croire en l'art, répondant à ses aspirations temporaires, non sans soumission à quelques efforts désespérés envers message de sages vu l'âge, ne remonte le temps zéro, mais expire vers un mauve qui ne réponde aux fécondes, de manifestations plus évidentes, d'un mode d'expression parmi d'autres, mais ne cesse de regarder un rien dans ce rien, entouré par des miettes de silence, aux termes de reconnaissances égalées, mais subtile dans l'orientation de cette scission entre rationnel et doute. Doute de logique. Doute de minium d'incompréhension, de condition d'acquisition absente, mais ne déroute l'artiste aux mains magiques dans sa misère au quotidien, dans le champ même qui s'avère approprié de raisonnement louable envers l'ultime fin de l'être humain sur ce chemin qui découle d'une approche poétique certes, mais cartésienne. Relevant toute cause humaniste à son apothéose sous forme de discours de fous qui ne sont jamais dignes d'être publié puisque plus personne n'y comprend plus rien. Une incohérence absolue due au traumatisme chaotique d'une vie devenue trop ordonnée à cause d'une bêtise humaine au fric au pouvoir, et fonctionnaires aux petites manies dans les habitudes. A agir en deçà de sa conscience dans leurs scénarios de 'rois' si ce n'est de se rappeler Einstein: "ne faites rien contre votre conscience, même si l'Etat vous le demande". Même si c'est Israël, me demande t'elle. Surtout Israël puisque Israël est le produit de hommes (et de femmes) et non de dieu, dit il. Ah bon, dit elle. Se relâche un peu point de vue déterminisme, s'installant elle aussi malgré tout dans une forme de hiérarchie, où l'une chose doit être plus importante que l'autre, mais où il n'y a vraiment de cohérence dans ce suivisme de l'abjecte en sa société de soumission. On se demande pourquoi ils tournent tous en rond tous les jours dans des files de voitures. Pour gagner de l'argent dans la tyrannie douce, dit elle. Pourquoi faire, dit il. Pour subjuguer l'économiste de service au stade anal de son idéologie, et de payer la voiture et la maison qui est loin du boulot pour cause de ces files et vice versa. Mais encore? Pour cause de population circulaire à certaines heures, et pas d'autres. C'est ainsi dans la logique ils font aussi fonctionner des sirènes qui tout comme leurs stéréotypes nous affectent. L'artiste du cite lui régresserait plus vite que les autres ; sa condition a empiré. Beaucoup de fois aussi quand il fait nuit et qu'il n'y a pas d'autres voitures ils font fonctionner ces sirènes et ce Franquiste à côté de lui. D'autant plus d'absolus qu'ils intimident, et sont au dessus des lois puisqu'ils sauvent des vies humaines ainsi. En théorie. C'est en fait cela la somme des empreintes anachroniques dans le cerveau des habitants otages. Ce qui fonctionnerait comme un stimuli au troupeau par et pour l'ordre, non son contraire. Au nom d'une réalité spécifique mais objective, après les analyses de disons Lenin au sujet de Bogdanov et Poincaré, lu par plus personne, dit il. Mais il y eu cette assemblé de clandestins élus démocratiquement mille ans après, en se cachant à la tâche. Il y eu aussi cette belle fille blonde pseudo (?) arienne qui lui disait elle au moins être une vraie blonde. Et je sais le prouver, dit elle. Il renifla ses cheveux, puis osa la toucher, enleva son masque d'intellectuel et embrassa ses lèvres en lui donnant en chuchotant à l'oreille le numéro de code du débarquement des (fous) alliés, enleva son petit slip rose sous sa jupe, et puis lui dit 'je t'aime'. Elle lui a répondu par aussi un 'je t'aime' mais en fait c'était pas un 'je t'aime', mais un 'Ich liebe dich', et c'est alors qu'il ne se sentait plus un intellectuel du troupeau, mais un cas social vu toutes ces bières dans la misère et les secrets d'Etat révélés sous les draps. Le lendemain elle était partie, mais avant, elle lui confia ne pas comprendre ni Lacan ni Hitler. Moi aussi, dit il, mais c'est tout le monde. Ce qui nous a pas empêchés d'être schizophrène pour ces chrétiens 'illuminés', mais eux payés de l'establishment, dit il. Il n'y aurait personne d'autre. Qu'est-ce qu'on s'en fout dit elle, et elle se mit à tirer -avant de partir- comme une dingue à son sexe, ses beaux cheveux blonds dans le vend. Est-ce que tu as mal, dit elle. Il respire profondément et lui répond non. Demain un autre jour il pense. Est-ce qu'il pense? Tu me parais confus dit-elle. Je le suis, dit il. C'est ainsi après cette nuit de rêve que le KGB est devenu Allemand, et tante Hortense toujours dans le maquis. Une fois de retour au QJ la belle blonde dévoila tous ses secrets à l'armée nazie, mais personne ne la cru, sauf le général et Goering en personne. Mais il y eu un problème car son amant intellectuel était lui consciemment mal, ou faussement informé de la situation aussi bien par les médias que par ses supérieurs. C'est donc ainsi qu'il n'y eu pas vraiment de catastrophes chez les (fous) alliés, si ce n'est beaucoup de morts à cause de ces assassins, mais lui, l'intellectuel, n'était aucunement responsable de secrets divulgués car c'était donc des pseudo secrets pour mener l'ennemie vers d'autres horizons que là où les clandestins démocrates siégeaient. Et c'est ainsi que la lutte continua, non pour droit à une vie saine, mais pour la Nation de cons. Les nazis et Franquistes devenaient de plus en plus arrogants vu cet amour avorté d'ailleurs. Tous comme les boches le Franquiste cru avoir le pouvoir (à Bruxelles), et l'amour de cet intellectuel et de sa blonde un amour avorté, car en fait plus d'amour du tout et puis c'est tout. Et c'est ainsi que l'art n'intéressait plus personne après ça ; mais le professeur se plaignant de trop peu d'éducation stipulait malgré le scandale le fric toujours chez eux, pas chez nous. Voilà l'anachronisme en fait. Et puis se termina l'idylle entre l'intellectuel et l'Allemande donc, qui elle stipulait comme Rilke ou Goethe les troubles mentaux inévitables pour la création poétique, voire alchimique.
Rire de mes dires sans sourire de rien le bien et puis mourir dans le pire s'expire
Prélude de poésie qui soupire dans le rite mais ne se situe dans les méandres de son souffle émue et moite sans gène ni véritable espoir au soir dans ce noir pour croire
Une situation sans actions Le lit jaune Ses mots mauves A la recherche d'une orientation
d'un nouveau manifeste pour vieillards à nouveau en train de rire de mes dires
Il y eu des émeutes et puis plus rien
Le sang nettoyé par le temps de faux semblants qui efface sa mémoire comme un miroir dans son tiroir
Cachée de la lumière divine rassemble toutes les miettes de cette surenchère organisation au nom de tonton Pion Léon et mère en terre
L'alternative est d'échapper parfois à la réalité par le délire pour faire cesser le désire. Un va et vient entre absolu quelconque et l'objet même du discours, quand nous sommes réduits à être otages d'une réalité schizoïde, atteintes de 'trous noirs' dans la grisaille, où il y eu des fous sortant d'une rationalité pour rentrer dans une autre vu le peu d'éducation qui nous entoure encore. Tjechov aux toilettes, et la fin de l'art dans le train train assommant du quotidien ; même plus le droit de dérailler le temps d'une prélude direction Auschwitz. Chacun son petit juif honnête à porté de main, confondant le dentifrice et la mayonnaise, les orientations anachroniques du môme et le suivisme militaire des fonctionnaires. Le droit au croissants pour la femme de ménage Portugaise, et les meilleurs pains français (baguettes) pour les restaurants et les Allemands. Voilà Bruxelles. Rien a changé. Mille un uns pauvres d'esprits au pouvoir, où Baudelaire n'y retrouverait même plus ses moutons, si ce n'est les nouveaux Proust, les nouveaux Beckett, les nouveaux Kafka,... c'est pas Gallimard et à quoi bon: ils n'existent donc pas puisqu'ils ne passent pas sur CNN. Et vous auriez tout dit, ayant terminé à nouveau votre journal 'le Monde' en se disant pourquoi pas se permettre le parfum de la pub en dernière page (Charlotte Gainsbourg), mais impossible vu le prix des loyers, certainement à Paris ou Bruxelles. Mais c'est alors là remarquer la laideur devenue encore plus cher, tout comme le bruit ignoble et/ou leurs sirènes, donc pas là où les riches ont droit au silence, leurs intérêts aucunement en dehors de mandats ; et c'est ainsi qu'ils sont lisibles et compréhensibles, plus nous. Au sens des devoirs les plus appropriés. Si ce n'est d'effacer les fautes, pour en recommencer d'autres, dans une forme de romance, où l'on peut encore boire le rêve et danser sous étoiles de voiles en faisant des dettes. Communément nobles dans son sens le plus abjecte, mais ne pavoise en transactions abusives. Certes les scénarios sont devenus communément banaux, mais il n'empêche de dire dans cette soit disant nature des choses avoir ses sujets d'effrois pour altérer notre prudence tout en sachant ce système démystifiant toute gestion d'espace, de vue de cohérence, là où le désire échoue, là où s'entremêle doute et espoir, d'une vie meilleure malgré tout, par réflexions inhérentes à la réalité qui est fuie dans cet exil intérieur douteux. De chercher les mots, de les formuler en dehors de son soi-même, de dire le 'remember being', ce qui n'est pire que partout ailleurs, à la recherche de la sortie de ce cul-de-sac de 'civilisation' le plus profond, d'y entrevoir des amours avortés vu cette laideur, d'y entrevoir l'ombre du silence qui plane au dessus des fauves, mais de garder espoir malgré tout ; de se gaver d'espérance donc, et de joie (?) vu cet éternel recommencement du glouglou miam miam avant les actualités de 13 heures ; d'un temps résolu vers une fénémonologie d'un univers approprié pour ceux qui font partie de la géométrie. Ce qui donne cette forme de totalitarisme subtile (?), j'en conviens.
Quelles sont maintenant mon expérience et mes impressions d'une exposition? Et bien c'est plus comme avant. La promotion par internet est faite, mais les gens ne se déplacent plus, surtout pas après les heures de pointes infernales. La promotion est aussi faite par cartes, petits papiers, affiches,... . Indépendamment des quelques amis l'impact de tout cela est zéro. Tout comme mes livres qui sont cachés ou refusés aussi bien en Flandre que en Hollande ; et les médias actuels me sont interdits, bien au contraire de toujours les mêmes, aussi concernant expositions (au Sablon). Mais le travail est fait, et la maison remise en valeur à tous points de vues. Le loyer y est divisé et j'ose dire modeste en comparaison de là où je vis. Le dernier "cadeau" dans la misère: ma propriétaire (richissime boulangère) augmente mon loyer de 100 euro ; ce qui équivaut à un dixième de mes revenus en moins, et je ne vend rien. Elle a ses 100 euro sur cinq minutes d'un bon client le dimanche qui achète pralines et gâteaux, mais le capitalisme ne vous donne aucun répits et on a l'impression que tout leur est permis car il y en a six millions qui veulent prendre votre place en payant le double. "C'est tout de même dégueulasse", me dit-on. Le reste du troupeau ne veut pas être au courant, et c'est donc là aussi l'indifférence la plus totale. Pour nous aussi les impôts, pas pour ces riches épiciers pauvres d'esprit. Voilà où nous en sommes dans ce que l'on peut nommer communément la barbarie à visage humain. Tout mon argent est donc parti, et c'est donc à des analphabètes riches que je dois donner le peu d'argent qui me reste. Aujourd'hui sont donc venus deux amies à mon exposition, personne d'autre, malgré tant de frais en relations publiques ou promotion. Un peu plus loin ils font la file (un demi millions) pour Magritte, et en plus eux ils doivent payer. Une galerie d'art au Sablon (un paravent pour vente d'armes et de drogues selon les commérages) ne vend exactement rien depuis trois ans. Le défunt et commercial Corneille y a son magasin, et on y vend aussi presque rien malgré une esthétique plus commerciale et 'moderne' donc, mais le mec avait des problèmes avec son personnel car Cobra ou pas Cobra n'essayez vous pas de donner une petite carte ou un petit article d'art dans ce magasin huppé car on vous fous presque à la porte vous faisant comprendre que vous n'êtes là aussi pas à votre place. Tout comme Wittamer, autre boulangerie, à 6 euro le pain avec plastique et bien entendu la cliente allemande, elle habituée puisque friquée, à côté de vous. Et ce n'est pas encore les riches arrogants et les pédants le weekend. N'essayez-vous pas de vendre quelque chose. On ne vous donnera même pas 1 euro, et on vous dénigrera. Leur vie à eux est faite tout comme la majorité puisqu'ils ont maison(s). Pour nous ou la nouvelle génération c'est impossible. Mais sous un régime infernal cette ville bouge, travaille mais ne jouit plus de rien. Un peu plus loin l'école dite 'élitiste' ; une masse de parents collés l'un à l'autre comme du bétail pour chercher leurs enfants tout aussi mal habillés (sans couleurs) et pour la plupart ne se parlant pas en poireautant debout l'un à côté de l'autre pendant les heures de pointes. Bizarre aussi: malgré la synagogue on ne voit presque aucun juif, surtout pas dans cette école. Voilà où nous en sommes. Avant vous aviez encore les pics-assiettes, les snobs, les carriéristes concernant ces expositions d'art. Mais ça aussi c'est fini. Depuis le drame, cette erreur monstrueuse que fut le 20 ième siècle pour l'Occident et après quelques soubresauts on peut dire communément fini la civilisation (de couleurs). La pauvre fille qui s'occupe de mon exposition en a les larmes aux yeux car elle aime l'art, à en vivre dans des conditions que je nommerai par euphémisme comme étant inadéquate à sa condition sociale ou de femme. C'est pire qu'au temps de Baudelaire: les gens ne s'intéressent plus à un (bon) livre ni à l'art, sauf si on les oblige. Mon affiche fut directement arrachée à l'athénée royal de Koekelberg, mais gardée à la VUB (ULB). Résultat? Pas un seul étudiant ne vient. Ils ne sont pas obligés de venir ; ni pour leur carrière ni pour leurs cours. Si je pouvais encore pleurer cela m'arrangerai, mais je suis devenu trop cynique pour une larme en fin de compte.
