De plaats van de kunstenaar volgens Marx en Engels
Marx en Engels stellen dus het talent, dat een kunstenaar kan voortbrengen, afhankelijk van een aantal aspecten in de capitalistische maatschappij. Zowel de bestellingsmogelijkheden, de graad van cultuur die de mensen hebben als de verdeling van het werk spelen een rol. In 'l'Idéologie Allemande' wordt het als volgt geformuleerd: "La concentration exclusive du talent artistique chez quelques individualités, et corrélativement son étouffement dans la grande masse des gens, est une conséquence de la décision du travail. A supposer que même que dans certaines conditions sociales chaque individu soit un excellent peintre, cela n'exclurait en aucune façon que chaque fût un peintre original, si bien que, là aussi, la distinction entre travail "humain" et travail "unique"aboutisse à un pur non sens." (p.397) De afhankelijkheid ten opzichte van arbeid, en de beperkingen op de kunst wordt afgeschaft in de hoogste fase van het socialisme zodat een schilder (kunstenaar) als dusdanig geen apparte plaats zal bekleden in de maatschappelijke praktijk. In de communistische maatschappij zullen er dus, volgens Marx en Engels, geen schilders meer zijn maar wel mensen die o.m. kunst zullen beoefenen (p.397). Dit laatste houdt ook in dat een communistische maatschappij andere vormen van kunstpraktijken, en productie van ideeën met zich zal brengen, want, 'niets is eeuwig'. Ook hiermee kan dus niet gerefereerd worden naar klassen om een marxistische uitleg te verantwoorden over een bepaalde kunst- of literair werk.
La vie n'est pas un paradis, mais on peut aider les gens en leur offrant des expositions à domicile par le biais de ces petis écrans quand les autres n'ont en effet que penser à l'argent. Imaginez une société de démunis, de dissidents, de refoulés, de putes, de malades mentales, de communistes, de femmes voilées voilées,... mais qu'ils aient la chance de se libérer un jour ou une nuit. Quand nous tous devant cette télé ou sous la simple aliénation que peut être peindre ou écrire. De se retrouver un verre en main devant ces tableaux bleus, de respirer, ensuite de prendre un verre en tout amitié, de draguer les plus belles filles et d'ensuite rentrer chez soi au nom du Moi sous un toit quand il y a toi et puis voilà. C'est pourtant si simple, mais voilà. Il y a la réalité, Shakespeare et puis tous les faux fuyants au nom du fourre-tout, de cruauté chez ces bourgeois(es), de frustration du sexe chez ces religieux pieux, et puis il y a nous dans ce Moi éclaté. Une orientation de méandres d'émotions vers les douces sources sous portions de fromage quand les bulles du Champagne nous rend tout drôle, tout moite. Quand l'artiste après visite du site ne sait ni se permettre du fromage ni du chocolat car trop cher. Qu'importe, puisque le piège à cons est devant la porte avec chauffeur qui fait ses heures en poirotant. Où sont les riches, où sont les pauvres (d'esprit). Il n'y a plus de riches, madame. Avez-vous remarquer que à cette télé France 2 on nous montre l'autre jour à nouveau pendant ses actualités des vieux qui vivent dans des cages à Hong Kong, ensuite (je parle de l'autre jour) c'est à nouveau Hitler sur des films (couleurs) de bonnes qualités quand les autres n'avaient pas droit de faire des films. Qu'est-ce qui a changé. Tout et rien, Madame. Je dis bien alors la possibilité de fantasmer car une fois le loyer payé c'est des petits boutons sur le nez de l'artiste car tout comme Breughel c'est le pipi des moines qu'il boit l'artiste, non du Champagne mais de la bière pour oublier la misère, puisqu'il n'y a rien de changé en tout apparence depuis des siècles ici. Je vous préviens: le jour où j'ai pour une fois 50 euro d'extra, je n'irai pas donner mon fric à la boulangère comme toujours, mais j'irai acheter pour une seule fois une toile de qualité et de la peinture à l'huile, et me voilà alors à nouveau à peindre, moi qui suit taxé de fou par ces types qui jouent les SS, parfois avec chiens méchants, mais je ne les voit plus pour l'instant, je me sens donc libéré jusqu'à un certain stade, mais le vend peut tourner, comme toujours. Une fois ma peinture de faite, je ferai l'amour avec mon amie qui m'aime me dit-elle. C'est pas ça le bonheur, je vous le demande. Et après cela je vais faire une photo de cette peinture, ensuite je me délasserai la nuit entre des drogués, des gitans et des musiciens noirs. Pour ensuite roupiller jusqu'aux petites heures. La seule chose que je faisais et ne sais plus faire pour cause de fric c'est la Côte d'Azur, avec vue sur la mer et rossignols, non la merde. Mais attention, là aussi je peux les emmerder et j'irais quand même hors saison. Tout le monde se rappelle le slogan 'Salomom, mais vous êtes juif?', je vous rappelle la suite, madame la bourgeoise, j'ai osé lui dire: 'ça ne fait rien, je vous garde quand même'. Qui sommes nous, je vous le demande. Pourquoi je parle de cela devant mes oeuvres d'art. Va t'en savoir. Et dis toi bien aussi : leur merci, quand il y a un seul merci dans le tas, j'en ai plus rien à foutre. Voilà. C'est ce qui s'appelle sans doute mon arrogance amère ou cynisme après toute cette merde de vie et débilité à la télé. 70 après, 5000 ans avant.
een klavermuts voor de ene een klucht voor de andere met de New York Times in handformaat op haar ontbijttafel met theezakjes met koordje en echte jus d'orange
terwijl de artiest in het echt van blikjes witte producten leefde zonder ontbijt en zonder New York op zijn lever dan wel
in het klein op zijn bed wat verfvlekken zelfs geen patoffels maar witte sokjes met gaatjes het bewijs dt of liever het teken van dat zijn tenen na het eten nog functioneren