~ Gesticht àls Gesticht ter Voorkoming v/d Maatschappelijke Randdebiliteit ~
~ HÉT "progressief" Orgaan Der "Hangmatsocialisten" ~ Gesticht àls Gesticht ter Voorkoming v/d Maatschappelijke & Politieke Randdebiliteit
08-07-2010
De wraak van Alva
Het wereldkampioenschap
voetbal geeft ons dus een heruitgave van de strijd der verenigde
Provinciën tegen de Spaanse Furie. Onze Ollandse vrienden zullen dus
best begrijpen dat wij als zuidelijke provinciên deze keer eieren voor
ons geld zullen kiezen en getrouw wensen te blijven aan onze rechtmatige
edoch strenge heersers. Ze stuurden ons reeds één keer Alva en dat
moeten we geen tweede keer meer meemaken! Wij zullen dus onze zuidelijke
vuvuzelas ten dienste stellen aan de Spanje en hopen voor jullie het
allerbeste wat in deze context natuurlijk neerkomt op een afgetekende
nederlaag! PS:
hopelijk heeft jullie oranje ploeg intussen onderdak gevonden. Sommige
kwade tongen beweren hier dat ze bij de plaatselijke bevolking in Soweto
werden gelogeerd. Wij hechten daar geen geloof aan beste vrienden. Maar
hier scheiden zich dus definitief onze wegen. VIVA EL REY!
Hoe krenterig kan een Ollander zijn? Toch zullen we de loyale buur spelen. We supporteren voor de Duitsers EN voor de Ollanders...we switchen bij de rust. Eerste helft zingen we Duitse shlagers en blazen we onze vuvuzela's schor op "Du ( bist alles) van Peter Mafei en de tweede helft zuipen we Heineken uit limonadeglaasjes. We kunnen ons geluk echt niet op...
Total accusé de
«complicité d'assassinats et de travail forcé» en Birmanie
info libé
Dans un rapport que
«Libération» a pu consulter en avant-première, l'ONG EarthRights
International publie de nouveaux éléments montrant des violations
massives des droits de l'homme dans la zone exploitée par le pétrolier
français.
Exécutions, travail forcé, expropriations et
soutien financier à la junte, les nouvelles accusations portées à
l'encontre de Total en Birmanie sont sévères. Dans un rapport publié ce
matin que Libération
s'est procuré,
l'ONG américano-thaïlandaise Earth Rights International (ERI) accuse le
géant pétrolier français et ses partenaires américain (Chevron) et
thaïlandais de «complicité
d'assassinats ciblés, de travail forcé». ERI écrit également
que le gisement gazier de Yadana, géré par ces compagnies pétrolières
dans le sud du pays, demeure la «principale source de revenus d'une dictature
militaire notoirement répressive». Et, comme elle l'a déjà fait en avril,
appelle les compagnies à une plus grande transparence (lire ici). Ces accusations ne
sont pas nouvelles. En septembre dernier, ERI publiait deux rapports
accablants pour Total (lire ici) montrant, chiffres
et témoignages à l'appui, comment le groupe pétrolier entretenait des
liens très troubles avec le régime birman.
«Charte éthique» et
«éliminations ciblées»
Mais dix mois plus tard, ERI ne constate pas
franchement d'améliorations. Pis, dans son dernier document, l'ONG
détaille de nouvelles violations des droits de l'homme et révèle que
l'exploitation de Yadana par Total et ses partenaires a «généré plus de 9
milliards de dollars (7,17 milliards d'euros, ndlr) en Birmanie depuis
1998».
Ces accusations montre à nouveau le grand écart auquel se livre Total en
Birmanie: elle brandit sa «charte éthique» et cite les droits
sociaux et des droits de l'homme qui ne sont pourtant guère appliqués
sur le terrain. Contacté vendredi, le groupe pétrolier français n'a pas
souhaité s'exprimer avant d'avoir lu les 49 pages de l'enquête. Ces douze derniers
mois, ERI a rassemblé plusieurs témoignages dans la zone du pipeline de
Yadana. L'un d'eux rapporte l'exécution de deux hommes de l'ethnie Mon,
dans le village Ahlersakan. Ces «éliminations ciblées», selon EarthRights
International, auraient été commandités par «l'officier Balay
(aka) Nyi Nyi Soe du bataillon 282 spécialement chargé de la sécurité du
personnel des compagnies pétrolières et du gazoduc». Total et Chevron ont
confié leur sécurité et celle de leurs installations à l'armée birmane.
Pas moins de 14 bataillons seraient déployés dans la région de
Tenasserim où est installé le gisement et le pipeline reliant la mer
d'Andaman à la Thaïlande. Là, dans un corridor long de 60 km, vivent
près de 50.000 personnes. C'est dans cette zone que les villageois sont
forcés à s'entraîner pour aider l'armée à sécuriser les lieux. Des
témoins indiquent que certains entraînements obligatoires ont duré tout
le mois de février et qu'ils devaient financer de leur poche les
opérations.
«Total nous a payé chacun»
D'autres villageois ont précisé des cas
de travail forcé, une accusation récurrente pour Total qui s'est
pourtant engagé à lutter contre ce fléau en collaborant avec
l'Organisation internationale du travail. ERI avance qu'«entre fin 2009 et
début 2010»,
des soldats en nombre ont réquisitionné des habitants pour «porter des charges,
servir de guide dans la jungle, creuser des tranchées, dans les villages
de Zinba, Kaleingaung, Michaunglaung, etc.» Plus grave, il semble
même que Total ait été informé d'au moins un cas de travail forcé. Un
villageois de Zinba raconte: «A la fin de l'année 2009, j'ai dû aller
nettoyer le campement du bataillon 410. Notre chef de village nous a
demandé de couper la pelouse pour les soldats. Plus tard, Total est venu
et nous a payés 3000 Kyat (2,40 euros environ) chacun pour avoir
taillé de l'herbe avec nos engins.» Dans la seconde partie du rapport,
EarthRights International revient sur les revenus dégagés dans le projet
Yadana. Grâce à de nouveaux documents, ERI va plus loin que l'année
dernière et estime que les compagnies pétrolières auraient généré
quelque 9,031 milliards de dollars (7,2 milliards d'euros). Sur cette
somme, 1,679 milliard de dollars (1,33 milliard d'euros) auraient payé «les coûts de
développement et de fonctionnement». Les généraux birmans auraient perçu 4,599
milliards de dollars (3,65 milliards d'euros). Une bonne part de cette
somme serait sur des comptes de deux banques offshore: Overseas Chinese
Banking Corporation (OCBC) et DBS Group à Singapour. Matthew Smith croit
savoir qu'une part de ces «fonds est conservée sur des comptes privées
de personnes physiques» afin d'échapper à l'attention des listes de sanctions
internationales. En 2009, ERI écrivait que «Yadana a été un élément décisif
permettant au régime militaire birman d'être financièrement solvable». Autrement dit, il a
pu «à
la fois ignorer la pression des gouvernements occidentaux et refuser au
peuple birman toute demande démocratique». Cette année, l'ONG
avance que ces fonds pourraient «servir à des fins diverses, comme
l'acquisition illégale de technologies nucléaires ou d'armes
balistiques». Mais,
même en reprenant des informations publiées en juin sur les intentions
nucléaires de la Birmanie, le rapport n'apporte aucun nouvel élément de
preuve sur cette question.
Blijkbaar begint er
stilaan een lichtje te branden in de hoofden van vele Amerikanen
betreffende de oorlog in Afghanistan. met wat gezond boerenverstand
waren we dr ook al zelf achter gekomen maar hier heb je nog eens alles
op een rijtje en dat is dus GROOT nieuws in de USA. Vergeet vooral niet
het linkje te gebruiken en kijk vervolgens naar de CNN...
Fareed Zakaria
criticized the Afghanistan war in unusually harsh terms on his CNN program Sunday, saying that
"the whole enterprise in Afghanistan feels disproportionate, a very
expensive solution to what is turning out to be a small but real
problem." His
comments followed CIA director Leon
Panetta's admission last week that the number of Al Qaeda in
Afghanistan may be down to just 50 to 100 members, or even fewer. "If Al Qaeda is down
to 100 men there at the most," Zakaria asked, "why are we fighting a
major war?" Zakaria
noted that the war is costing the U.S. a fortune in both blood and
treasure. "Last month alone there were more than 100 NATO troops killed
in Afghanistan.," the CNN host said. "That's more than one allied death
for each living Al Qaeda member in the country in just one month. "The latest estimates
are that the war in Afghanistan will cost more than $100 billion in 2010
alone. That's a billion dollars for every member of Al Qaeda thought to
be living in Afghanistan in one year." To critics who suggest
that we need to continue fighting the war against the Taliban because
they are allied with Al Qaeda, Zakaria countered that "this would be
like fighting Italy in World War II after Hitler's regime had collapsed
and Berlin was in flames just because Italy had been allied with
Germany." "Why
are we investing so much time, energy, and effort when Al Qaeda is so
weak?" Zakaria concluded. "Is there a more cost-effective way to keep Al
Qaeda on the ropes than fight a major land and air war in Afghanistan? I
hope someone in Washington is thinking about this and not simply saying
we're going to stay the course because, well, we must stay the course."